Le 25 juillet 2003 s'est éteint dans son domicile à Casablanca notre ami et fidèle collaborateur Saïd Sadiki. Le rappel de l'excellente chronique qu'il avait publiée dans LGM à l'occasion de la commémoration du précédent anniversaire du 11 janvier (...)
REMUE-MENINGES
Etonnant Dr Khatib ! A son âge, le voici qui rebondit une fois de plus et occupe le proscenium du paysage politique national. Non pas en tant que président du principal mouvement d'opposition au gouvernement Jettou (PJD), non pas en (...)
Ce n'est pas parce que les extrémistes islamiques sont passés aux actes terroristes, qu'ils se sont fait exploser semant autour d'eux la mort et le malheur, que la vie doit s'arrêter, que le fonctionnement de la société doit cesser de se dérouler (...)
Que se passe-t-il à l'Union socialiste des forces populaires ? Y a-t-il conflit ouvert entre le premier secrétaire Abderrahman Youssoufi et son adjoint, Mohamed Elyazghi ? Ce conflit ira-t-il s'aggravant jusqu'à menacer l'unité du plus grand parti (...)
Depuis toujours, ils ont mené la vie routinière de partis politiques douillettement “installés” dans la société, s'activant au grand jour, reconnus officiellement, tantôt choyés par le pouvoir, tantôt brimés et empêchés de respirer. Vaille que (...)
Cinq semaines après les attentats-suicides du vendredi noir, le Maroc continue de vivre sous le choc. On n'en revient pas que cela ait pu se passer chez nous. Et, on a peur que cela ne recommence !
Bien évidemment, l'immense majorité des citoyens (...)
Le parti de la Justice et du Développement (PJD) est-il un parti politique comme les autres ? Est-il “fréquentable” ? Doit-on ou non le laisser libre d'agir au nom de la démocratie à laquelle il proclame être attaché ? Doit-on le dissoudre carrément (...)
Il serait bien naïf de croire que le terrorisme a frappé pour la dernière fois au Maroc, ce vendredi 16 mai. Ou que, grâce à la diligence et à l'efficacité des services de sécurité, tout danger est désormais écarté. Ou que les criminels et leurs (...)
Devant l'ampleur de la tragédie, l'énormité de la catastrophe, les morts, nos mots de tous les jours se révèlent soudain pour ce qu'ils sont réellement, faibles, pauvres, sans force, ni consistance ni portée. Des vocables chétifs, étriqués, usés, (...)
Il y a toujours quelque chose d'émouvant dans la chute d'un puissant. Soudain déchu de son pouvoir et de sa gloire, il apparaît pour ce qu'il n'a jamais cessé d'être : un homme fragile et vulnérable, jamais tout à fait à l'abri des faux-pas ou des (...)
Au-delà des échéances électorales, au-delà de l'action gouvernementale, il est probable qu'un grand débat politique va s'instaurer et se développer. Il s'agit du débat sur la réforme éventuelle de la Constitution.
Déjà, de-ci, de-là des voix se (...)
I- Que fait le gouvernement ?
L'annonce solennelle des résultats du dialogue social doit certes être saluée et mise positivement sur le compte du gouvernement Jettou. Mais il n'empêche que le gouvernement présidé par “l'homme du Roi”, six mois (...)
Tour à tour prévisible, attendue, programmée, annoncée, la voici
enfin consommée, la scission de la Confédération démocratique du travail (CDT). La naissance de la Fédération démocratique du travail (FDT), si elle a été laborieuse, n'a donc surpris (...)
Dans quelques jours donc, ce sera le 1er mai, la Fête du travail, marquée généralement à travers le monde par des défilés, des marches, des slogans, des banderoles de protestations ou de revendications. Les travailleurs se réuniront pour se compter (...)
On savait que, plus que tout autre, Abderrahman Youssoufi avait ressenti comme une gifle -non, ne parlons par de soufflet? mais plutôt de camouflet et c'est déjà beaucoup- la nomination de Driss Jettou au poste de Premier ministre.
Même si la (...)
I. - Les prophéties de Khatib
Le Dr Abdelkrim Khatib passe ses loisirs politiques à de bien étranges pratiques : il s'adonne à la sorcellerie. Ce qui est répréhensible en ces temps où les “adorateurs de Satan” pullulent. Sorcellerie est d'ailleurs (...)
Je découvre avec plaisir que notre confrère “Maroc Hebdo” peut faire l'humour et même dans l'humour à froid, au deuxième degré. En témoigne l'interview - une page pleine - que l'hebdomadaire casablancais recueille chez un illustre inconnu. Sous (...)
Satan n'est pas content du Maroc et des Marocains. Mais alors là, pas du tout. Comment je le sais ? Eh bien ! C'est lui-même qui m'en a touché quelques mots au cours d'un récent entretien. Rien de très original donc puisqu'il nous arrive à tous, (...)
Abdallah Kadiri était donc l'invité, mardi dernier, de Mustapha Alaoui, dans son émission mensuelle “Hiouar”. Connaissant l'homme, son parcours politique, ses compétences et surtout ses limites, on ne s'attendait pas à assister à une prestation (...)
Après les élections législatives, voici venir, à grands pas, les élections locales prévues en juin prochain. En l'espace donc de dix mois, le Maroc aura connu deux importantes échéances électorales.
On souhaite vivement que les “locales” se (...)
Jamais deux sans trois, dit -on et Abbas El Fassi, que nous estimons, ne nous en voudra pas de consacrer cette troisième chronique à son activité politique depuis la constitution du gouvernement de Driss Jettou. Nous le faisons à partir des (...)
J'avoue, à ma grande honte, être friand des “petites phrases” que lâchent les hommes politiques et dont je fais souvent, vous l'avez peut-être remarqué, mes choux gras. En voici, pour cette semaine, deux ou trois, prononcées par Abbas El Fassi, (...)
y a le temps des élections et le temps qui suit les élections. Même pour ceux d'entre eux qui s'en sont honorablement sortis il reste toujours des séquelles, des déceptions et des rancunes dures à gérer. Quant à ceux qui ont “ramassé des vertes”, (...)
Cinquante mille milliards de centimes. Quel fabuleux pactole, quel miraculeux “magot” ! Enorme, colossal, vertigineux. Quel ministre des finances ne pleurerait pas de joie de l'avoir à disposition ! Pensez donc à tout ce qu'il pourrait en faire. (...)
Un parti politique, c'est l'évidence même, a besoin d'argent pour vivre et exister. Et l'activité politique, théoriquement bénévole a un coût. De la simple impression des cartes et des timbres d'adhésion, aux factures d'électricité et de téléphone, (...)