Signe des temps. Et pourquoi un journaliste, fidèle depuis plus de 40 ans, qui a commencé par la rubrique « Les choses de la vie » dans les seventies, quand on avait des pervenches, sans papillon, qui nous surveillaient gentiment sans jamais l'épée (...)
Mjid du tennis, qui a inscrit son nom en or dans les annales de Safi, Assfi, dit-on à la gare routière d'Al Kamra, est parti au printemps. Mais il n'aura pas marqué uniquement ce sport qui reste le préféré de l'élite et des ramasseurs de balles, (...)
Avenue Misr qui descend de Bab El Alou à Bab El Had. Jusqu'à l'entrée de Zankat Tagine où on vendait certainement des tagines autrefois là où il y avait la Perception avant que les impôts ne tuent l'impôt, on vient de couper des arbres à la racine (...)
Ce drame a fait le tour de la région de Bouznika, localité paisible où des cigognes venues d'Alsace choisissent le toit de l'ancienne église pour séjourner dans la région. Une femme dans un élan de démence a fait boire à son amant une mixture qui (...)
A la prison de Tanger, les détenus peuvent regarder Al Jazeera qui n'est certes pas une chaîne de divertissement comme Géo ou Escale qui peuvent chanter « kéttati jamila wa smouha Namira », mais par rapport au pénitencier de Hay Salam, menu (...)
Alors que le match de foot Maroc-Gabon était bel et bien un match amical, des ploucs qui voient le match de l'année à chaque fois, se sont précipités au café El Farabi dont le gérant n'a de yeux que pour le joueur El Arabi, pour être aux premiers (...)
Que s'est-il passé pour que le patron intérimaire de la Fédération Royale Marocaine de Football, Abdallah Rhallam, s'en prenne à la TV qui doit à la fédé 200 MDH.
Jusqu'ici on ne le savait pas et on croyait même que des transmissions qui vident les (...)
Signe des temps. Les jeunes n'organisent plus de boum, ces surprises parties que chantait la chanteuse Sheila obligée de filmer son premier accouchement parce qu'on racontait que c'était un homme, comme la grande Zoa de Régine mariée à Roger (...)
14 et 15 février 2014. Subitement un faux printemps est arrivé. Les enfants qui rentraient à la maison en fin d'après-midi, sont restés dans les quartiers populaires, dans la rue confondant le gazouillis des oiseaux avec les petites motos qui (...)
A la prison de Tanger, les détenus peuvent regarder Al Jazeera qui n'est certes pas une chaîne de divertissement comme Géo ou Escale qui peuvent chanter « kéttati jamila wa smouha Namira », mais par rapport au pénitencier de Hay Salam, menu (...)
Lahlimi du HCP ne fait plus la une ni la deux de notre rubrique, depuis que tout le monde en parle, c'est comme tata rmada qui change au gré de ce qui l'arrange. Après avoir mis le feu dans les chiffres qu'il a lancés lors des journées portes (...)
CNSS. Que les brimades cessent ! Le citoyen vient demander son dû et non l'aumône. Qu'on cesse de mépriser le retraité et le travailleur qui viennent faire la queue pour récupérer les frais médicaux (suite).
La CNSS récupère un argent fou en fixant (...)
Quel rapport entre la harira, la harcha, cette galette qui fait la loi dans les souks, et la jellaba ? Elles reflètent bien l'exception qui fait la règle là où on ne l'attend pas. La harira une fois ingurgitée, on n'a plus envie de manger autre (...)
Suite à notre télégramme du mercredi 23 octobre, concernant le renvoi d'un enfant, nous avons reçu des précisions de la direction de la Maison d'Enfants Akkari.
Celle-ci précise que la Maison d'Enfants Akkari « a renvoyé ce jeune dans le cadre d'un (...)
La ville va se vider comme une coquille de Oualidia. Des épiciers vont fermer durant 10, 15 jours, laissant des clients en panne, courant de rue en rue pour trouver un moul hanoute qui ne s'est pas attardé à Imintanout, un bekal sur boîte vocale. (...)
Alors que la Redal joue l'alternance sans connivence en développant les branchements sociaux dans les quartiers chauds, à Casa, la Lydec s'embrouille avec des voies qui ne sont pas ouvertes, qui compliquent la pose des tuyaux, conduites d'eau et (...)
Sous prétexte de la concurrence chinoise et tonkinoise, chantait la Franco-Américaine Joséphine Baker, la chanteuse qui avait adopté une Khiriya, que Hassan II avait dépannée avec de gros chèques, des sociétés de Casablanca menacent de fermer leurs (...)
Lu sur Hespress où rien ne presse, tant qu'on remplit le vide comme on peut : « Les gens se suicident sous les roues des trains à Casablanca ». Des gens ? Alors que ça arrive très rarement, le site est catégorique : « Les gens se suicident... ». (...)
Le devoir, c'est ainsi qu'on parle maintenant de la vague de solidarité, déployée sans chichi avec une crise qui s'allonge, pendant qu'elle ralentit, dans les pays riches, qui n'en ont pas bavé, pendant qu'elle envoyait les desperados sur le pavé à (...)
Il a suffi que le site « Méditerranée » sur l'internet, pas toujours net, raconte que des Africains sont interdits de louer un appartement à Casablanca, pour que ça fasse le tour des journaux dont la vie est désormais liée au virtuel qui revient sur (...)
Dwaz, dwam et dwa. Phénomène de survie. Des jeunes et des moins jeunes qui veulent payer des médicaments, remplir leur tajine ou rester jeunes, en fumant un pétard au ftar et après le ftor, quand les rues sont désertes, déposent n'importe quelle (...)
Signe des temps. Aussi invraisemblable que cela puisse paraître, les jeunes d'aujourd'hui respectent le Ramadan, surtout ceux qui vivent encore dans leur famille. Alors que dans les années 60 et jusqu'aux débuts des années 70, ça fumait dans les (...)
Brave peuple que le nôtre, qui accepte sans discuter qu'on fête un mariage, dans un quartier populaire jusqu'à 5 h du matin, l'heure, chantait Dutronc, où les travestis se rasaient, ce qui devrait être faux, ces gens auraient plus intérêt à se raser (...)
Avec la disparition de Mohamed Idrissi Kaïtouni, le directeur politique, administratif et spirituel de « L'Opinion », qu'un site sur l'internet de l'Hexagone vient récemment de choisir comme titre, qu'on connaissait déjà en Argentine, on peut dire (...)
Sans emploi, dit-on. Mais ça ne traduit pas exactement la situation du chômeur, un mot qui n'a pas perdu sa connotation, comme du temps où il reflétait le désarroi total. Un sans emploi aujourd'hui, c'est toujours un citoyen – un mot qui ne (...)