Alors que le match de foot Maroc-Gabon était bel et bien un match amical, des ploucs qui voient le match de l'année à chaque fois, se sont précipités au café El Farabi dont le gérant n'a de yeux que pour le joueur El Arabi, pour être aux premiers rangs. En fait on en est arrivé là. Le foot est devenu un refuge pour des gens qui ne se préoccupent de rien d'autre que du ballon qu'une firme a distribué aux normaux physiquement et aux infirmes qui n'en demandaient pas. Que peut-on espérer avec une populace qui ignore la mécanique, notamment le joint de culasse - les médicaments vont baisser au mois de juin dit Monsieur Santé – qui parle de la situation de son ministère d'avant 2012 jamais de 2013 et 2014, histoire de sauver ses meubles. Ces fanatiques qui ne veulent pas comprendre les lettres et les mathématiques, dont seul compte dans la semaine, le match Maroc-Gabon qui n'est qu'une rencontre amicale. Certainement pas une partie de foot radicale. stop. Réctif. Il fallait lire la Piovra , la mafia italienne qui a inspiré Tahar Ben Jelloun qui ne s'est pas penché sur celle des pays de l'Extrême Couchant. stop. Une belle erreur de notre part, l'auteur de la rubrique et non le correcteur, s'est glissé dans le flash sur le Ricks de Casablanca. Il s'agit d'un pianiste et non d'un trompetiste. Coltrane et Sonny Rollins nous font tourner la tête. stop. On en parle chez des travailleurs immigrés qui sont victimes de magouille quand ils sont loin des lieux du crime où le partage d'une succession des terres Milk se fait de façon unilatérale. Dans la préfecture Houcine Dardou qui a été spolié par le Majliss Al Wissaya qui a failli à sa mission. Le travailleur immigré et ses frères lésés, ne veulent pas se taire car il s'agit de droits légitimes. Les terres collectives qui ont provoqué un scandale dans la région, se trouvent à Tabouda Bir Tam Tam, province de Sefrou dont les cerises auront un drôle de goût si le TME et sa famille, ne récupèrent pas leurs biens. Le ministère de l'Intérieur doit ouvrir une enquête pour prouver que l'abus ne passe plus. stop. A la wilaya de Rabat-Salé-Zemmour-Zaër, tout arrive en même temps : La Cour des Comptes, le marronnier dans la région du gland qui ne rapporte pas grand chose à Maâmoura et l'Inspection Générale de l'Intérieur qui veut mettre fin aux abus que feu Hassan Amrani avait déjà remarqués, en redonnant du punch aux cadres compétents fantomisés. stop. Parlant de la Ford Transit, le fils de pub écrit « Livreur au grand cœur »... Mon cœur d'attache... chantait Enricos Macias qui n'a pas repris Melocoton et Macias... stop. Un sujet tabou à aborder avec des pincettes. L'alcool qui tue comme le tabac mais dont on ne parle pas. Cette fois c'est pire il s'agit de la vodka qui ne vient ni de kiev qui fait l'actualité ni de Genève où vient de s'ouvrir le salon de l'auto où la Peugeot 308 a décroché par hasard - ? – le prix de la voiture de l'année à la veille de l'inauguration de la fête des 4 roues, mais des fabriques de Casablanca, qui refilent aux adolescents une mixture macabre à 50 et 70 dhs la bouteille qui entraîne des maux de tête et des crampes d'estomac où certains sont prêts à réciter la chahada tant ils voient la mort pointer à l'horizon. Au nom de quoi il faut laisser ces fabricants de malheur faire de l'argent au détriment de la santé des buveurs inconscients qui croient que le dépôt et le marchand de pinard vendenr des produits contrôlés. Or, c'est le nœud de l'affaire. Tant que c'est une boisson interdite par la religion comme tant d'autres sauf la bière halal, on laisse faire. Or, c'est justement là que le bât blesse et qu'il faut réagir. stop. Pourquoi les tribunaux ne cherchent pas à savoir si un inculpé suit un traitement médical, comme si c'était du Bluff. Et pourquoi un tribunal du commerce de Témara, ne veut pas entendre parler d'un commerce où les employés sont au chômage à cause d'une décision administrative. La justice n'est pas sensible aux milliers de chômeurs à cause de la aâdala qui traîne les pieds ? stop. Karim Zaz l'ancien boss de Wana mali qui n'est pas allé au Mali, a été interpellé pour détournement, dit la presse en ligne, peu dans la presse écrite à qui il offrait de la pub en couleurs. stop Dommage tous ces courts-métrages projetés au festival des courts-métrages qu'on ne voit ni au 7ème Art, 7ème ciel dans une ville sans salle, sans poivre et sel, ni sur les deux chaînes qui ne programment que des longs navets qui gâcheraient une bonne soupe qui ne loupe jamais, un amateur de bio, en ces temps des soupçons où l'on vend « b'tata dial frigo » aux ménagères qui veulent en faire des frites alors qu'elles mettent du temps pour cuir, à cause évidemment de leur chaire dure à cuire. Ces télés qui ne paient pas les retransmissions de match comme si elles étaient les dépositaires de la baraka de Sidi Fabor et Lalla Biliki, devraient opter pour des quotas où les téléspectateurs profiteraient de ces courts-métrages qui n'ont pas d'âge, qu'on peut revoir à chaque fois. Sans ébranler la bonne foi. stop. Stratégie éolienne. Ces choses sérieuses commencent titre Echostar. pourquoi avant l'énergie venue du vent c'était Er-Rich ? Quoi qu'il en soit, le cahier de charges de l'appel d'offres relatif aux parcs éoliens aux soumissionnaires pré-qualifiés ne peut être que du bonheur maintenant qu'on parle sérieusement du vent du changement. stop. La CIMR pour qui un retraité qui ne pointe pas, est considéré comme au cimetière , a encore frappé le mois dernier, en oubliant les chibanis bannis par le mauvais sort. stop. Pour la chroniqueuse belliqueuse, il faut embarquer tout le monde, en parlant d'une voiture des pompiers bloquée au quartier Oulfa de Casablanca – une fois n'est pas oulfa – Pour les marchands de légumes et fruits qui se trouvaient sur le passage – ils ne sont pas prévoyants ces Bouazizi – la sanction s'impose. Ainsi que les élus et les services municipaux qui doivent être aussi punis, ainsi que les services sanitaires pour avoir laisser se développer le commerce de nourritures – elle ne dit pas terrestres, elle n'a pas lu Gide – et enfin sanction pour les commerçants, lourde sanction dit-elle, pour tentative d'empoissonnement et exploitation de la misère de leurs concitoyens, trop pauvres pour s'approvisionner ailleurs. Le journalisme mène à tout dit-on à condition de s'en sortir ajoute-t-on. Mais apparemment certains et certaines sont tellement fiers dans leur rôle de rédempteur et de donneur de leçons, qu'ils ne sont pas prêts de s'en sortir. stop. A croire la une du canard de la fortune, le voyage royal en Afrique ne comporte que des volets commerciaux. Alors qu'à côté du partenariat on peut noter le lancement du village de pêche aménagé dans la commune d'Alté combé, le soutien au Fonds d'appui aux femmes de Côte d'Ivoire, le lancement de la construction de logements sociaux ainsi que la réalisation de 5000 classes pour les écoles primaires. stop. Malgré les difficultés rencontrées sur les marchés extérieurs, notamment ceux de l'Union Européenne, le Maroc a pu réaliser une bonne performance dans l'exportation de primeurs avec une croissance de 5% pour le premier mois de l'année. En effet, les exportations globales de primeurs ont atteint, au 31 janvier, environ 389.940 tonnes, contre 341.900 tonnes comparée à la même période de la campagne précédente. Cette hausse est principalement due à une progression des exportations de la courgette (+47%), du haricot vert (+27%), du poivron (+25%) et de la tomate (+9%). Cette dernière représente environ 61% du total exporté des produits maraîchers, suivie par différents produits tels les haricots verts, la courgette, le poivron. De quoi pousser les cuisinières de Asnières et le cordons bleus du pays de Richelien, à préparer de bonnes ratatouilles qui feront oublier la semaine de froid entre Paris et Rabat, qui a réjoui les andouilles, jaloux des relations entre les deux amis de longue date quand on échangeait des dattes contre des soieries de Lyon et du filet-mignon. stop. A lundi.