Que s'est-il passé pour que le patron intérimaire de la Fédération Royale Marocaine de Football, Abdallah Rhallam, s'en prenne à la TV qui doit à la fédé 200 MDH. Jusqu'ici on ne le savait pas et on croyait même que des transmissions qui vident les cafés et les mahlabates, étaient gratuites. D'autre part pourquoi on a attendu que le coût des diffusions tourne autour de 200 MDH pour en parler dans « ALM » ? A moins que la Fédération se trouve dans une situation financière plus importante que la recherche d'un entraîneur qui n'a trouvé preneur faute de mizaniya qui fait mal à la riada el badaniya. stop. Un chauffeur employé chez une famille style oulad el alépa qui ne connaissent pas la madeleine de Proust ould el aâila, a ramené à la maison, une punaise qui s'était collé à son blouson, qu'il avait l'habitude de jeter sur une chaise dans la cuisine de ses employeurs. La femme du chauffeur est entrée dans une colère folle quand il lui a dit que ça venait de ses patrons... Du coup elle lui a dit de dire à sa patronne d'acheter Baygon...L'histoire a fait le tour du café ou le « chéfor » prend le matin son ftor. stop. Des employeurs véreux qui n'ont pas encore attrapé la petite vérole croient que n'importe qui peut faire l'affaire derrière les fourneaux. Un pâtissier a cru qu'il allait conserver sa clientèle en virant un cuisinier diplômé qui possède une solide expérience dans le métier. Croyant bien faire, l'a remplacé par un cuistot qui ne se réveille même pas tôt et qui ne maîtrise nullement la préparation des menus. Du coup les clients ont commencé à fuir les tables où les gens ne viennent pas pour s'attabler mais pour dépenser leur blé afin de déguster de bons mets. C'est un cas parmi bien d'autres où des petits patrons recrutent n'importe qui après être tombés sur un os qui exige d'être bien payé. Qu'il s'agisse d'un vendeur de friture, de maâkoda ou de panini apprécié par Bâ Dinini. En fait, le client est de plus en plus regardant sur la marchandise. Sevré par les infos sur le droit du consommateur, il ne veut pas être trompé. stop. Rick's Café Casablanca fête ses dix ans avec une pleine page dans le canard des chiffres fâchés avec les lettres. Une visite discrète sans demander qu'on nous guide, a démontré que cet établissement n'a rien à voir avec le film culte avec Ingrid Bergman qui ressort en DVD « Les fraises sauvages » et Humphrey Bogard au visage de boxeur à Honfleur qui plait à la gente féminine calmée à la quinine. Même pas la musique du célèbre trompettiste, ni la clientèle où autrefois on entrait fel found, en turban, seroil en mlifa, à côté de gentleman cocody en trois pièces, tandis que de nos jours le costume traditionnel ne côtoie plus la clientèle qui invente du conflictuel qui n'existe pas. Rick's café avec ses rideaux kitch n'évoque pas l'ambiance du café légendaire qu'on ne retrouvera pas, même en projetant Casablanca du matin au soir. Alors Rick's tout court ? Plutôt. stop Un journal qui « offre » à ses lecteurs 24 pages illisibles pour le commun des mortels, communication financière du CIH, qui n'ouvre pas son budget pub à tous, devrait avoir un peu de respect pour le lectorat qui n'a pas une défaillance de l'odorat, quand il faut flairer les coups fourrés. De nombreux MRE, qui rentrent définitivement au Maroc, sont détenteurs de la double nationalité. Du coup, pour investir ou percevoir les revenus générés par leurs biens détenus à l'étranger, ils n'avaient aucune difficulté pour traverser la frontière. Pour la plupart, cela rentrait dans le cadre de la normalité. En effet, rares sont les immigrés au courant des dispositions légales relatives à l'obligation de procéder à une déclaration auprès de l'Office des Changes. Or, la non-déclaration de ces opérations financières constitue une infraction au dahir de 1959. En ce qui concerne les deux nationalités, il y a ceux qui se croient allemands ou flamands à part entière en affichant à chaque fois leurs papiers comme si c'est un privilège, et il y a ceux qui ont la double sans jouer les troubles-fête. Juste une question de commodité où il n'exhibe pas leur passeport stranger – prononcez stringer comme dans Cabaret de Bob Fos...stop. Elle était attendue la réouverture de la grotte d'Altamira dans le nord de l'Espagne – Lascaux ibérique – une grotte avec ses dessins rupestres qui appartient au patrimoine mondial. Cela nous fait penser à la Galerie Altamira de Maaghraoui qui aide les jeunes artistes dans sa galerie de l'Agdal où les galeries se maintiennent dans le concert des cafés qui seront toujours les bienvenus, la cafétéria reste synonyme de la liberté d'expression, contrairement aux crétins qui disent un café entre deux cafés. stop. Insolite. Dans un super de l'Agdal qui vend de l'alcool aux heures précises, on vend aussi des gobelets en pile près de la caisse dans le cas où l'acheteur aurait l'idée de picoler dans sa voiture, nouveau signe de liberté que certains ne se refusent pas pendant le week-end. Aujourd'hui un gobelet, demain un tire bouchon pour compléter la zina, ya zina chante l'un des papes du raï sans papauté, amateur de Vieux Papes, qui a disparu des rayons. stop. Ziada fel Islam. Des cafétiers accrochent à l'entrée de leur terrasse «Wifi», pour bien indiquer que le consommateurs peut naviguer à l'œil sur son portable qui n'a pas encore été remplacé par le smartphone qui séduit aussi les arabophones qui ne se contentent plus d'Al Jazeera qui ne leur dit pas tout sur la Crimée, l'Ukraine où l'ex-président «Ghadara el bilad» qui n'a pas trouvé l'exil dans les Sables d'Or, comme Ben Ali habillé en gandora et sa coiffora en tchador. stop. Wilaya de Rabat-Salé-Zemmour-Zaërs. Le nettoyage technique se fait par lui même. Sachant que le nouveau wali ne va pas se laisser marcher sur les pieds, des chefs, des sous-chefs et des petits-chefs qui ont largement profité des absences pour raison de santé de l'ancien wali, commencent à ranger leurs freins pour ne pas se retrouver dans le pétrin avec des «milf» encombrants. La transparence s'installe alors que personne n'a encore été rappelé à l'ordre. stop. Aux courses de Casablanca qui entrent par la grande porte. Un cheval nommé Hijab... en attendant un cheval Jihad... Egalement au programme, La Farina et Khalwiya, une femelle, certainement une bête qui fuit la fête. stop. Sacrilège ! On repeint les anciennes portes en bois naturel avec une peinture moche. Comme la porte d'entrée de Dar Fkira de Sania Gharbiya. Fin d'une époque. Lalla Chrifa El Alamiya qui soignait nar el farsiya, va se retourner dans sa dernière demeure. stop. A mercredi.