Le NMD est totalement absent du programme gouvernemental
Dans son intervention, Mohamed Benmoussa s'est penché sur la portée du nouveau modèle de développement dont les réformes et les projets sont malheureusement absents dans le programme et les (...)
Les Inspirations ECO a posé cinq questions à l'économiste Mohamed Benmoussa pour décrypter durant la semaine du 8 au 12 mai, la loi de Finances 2017. Il répond aujourd'hui à la cinquième et dernière question.
Les Inpirations ECO : Que pensez-vous du (...)
Les Inspirations ECO a posé cinq questions à l'économiste Mohamed Benmoussa pour décrypter, durant la semaine du 8 au 12 mai, la loi de Finances 2017. Il répond aujourd'hui à la quatrième question.
L'ambition mesurée en matière de croissance, (...)
Les Inspirations ECO a posé cinq questions à l'économiste Mohammed Benmoussa pour décryter, durant la semaine du 8 au 12 mai, la loi de Finances 2017. Il répond aujourd'hui à la deuxième question.
La tant attendue réforme de la fiscalité (...)
Les Inspirations ECO a posé 4 questions à l'économiste Mohammed Benmoussa pour décrypter la loi de Finances 2017. Il répond aujourd'hui à la première question.
Quel est l'impact du projet de loi de finances 2017 sur les banques et les marchés (...)
Sans doute que le secrétaire général du PJD, Abdelilah Benkirane, continue de célébrer avec ses partisans son succès aux législatives du 7 octobre dernier. Sa victoire électorale est incontestable et nul démocrate convaincu ne pourrait songer un (...)
La réforme fiscale est le 6e et dernier axe stratégique de ce que serait ma politique économique. Cette réforme a pour vocation d'accroître fortement les recettes fiscales, pour donner aux pouvoirs publics les moyens de leur intervention et la (...)
Les dépenses publiques vont avoisiner les 390 MMDH en 2016 contre 164 MMDH en 2003. L'effet multiplicateur est de 2,4 fois sur 13 années. En un peu plus d'une décennie, les dépenses publiques se sont dégradées de près de 6 points de PIB (+11 points (...)
Le financement de l'économie nationale est essentiellement intermédié : quasiment tout passe par l'entremise du système bancaire. Les flux traités sur le marché financier primaire sont négligeables. Lorsque les banques éternuent, c'est toute (...)
Au même titre que le travail, le capital est un facteur de production indispensable au fonctionnement des entreprises, et le crédit bancaire permet de favoriser l'accumulation de capital par le recours à la dette nécessaire au financement des (...)
Un pays ne peut être performant dans tous les secteurs économiques. Il doit faire des choix stratégiques et mettre toutes ses forces là où il dispose de facteurs clés de succès. Cette règle de bon sens a été établie depuis la naissance de la pensée (...)
Le moins que l'on puisse dire de la relation entre le gouvernement Benkirane I et le patronat, c'est qu'elle s'est caractérisée tout au long des cinq années qui viennent de s'écouler par une défiance partagée. Ce sentiment irraisonné a été lourd de (...)
Après deux semaines de délire idéologique et de surenchère électoraliste, toute la classe politique doit revenir au réel. Et cette règle s'applique au premier chef au parti qui a gagné les élections et qui présidera aux destinées du prochain (...)
Les citoyens marocains ont dit leur dernier mot, vendredi 7 octobre, en renouvelant leur confiance en le PJD, seul parti islamiste au pouvoir au Maghreb et dans le monde arabe. Le peuple lui accorde un nouveau mandat de cinq années et approuve (...)
Objet : réaction à l'émission «On n'est pas couché» du 21 mai 2016.
Cher monsieur Ruquier,
Vous n'êtes pas sans savoir que votre émission «ON N'EST PAS COUCHE» (ONPC) est suivie au Maroc par un large public assidu. Cette exposition médiatique à (...)
La banque centrale marocaine a acquis, au fil des années, la réputation d'un sérieux sans faille, voire même d'une certaine austérité. Outre l'image réfléchie à travers la personnalité de son gouverneur, qui n'est pas sans effet sur la teneur de la (...)
Le couperet vient de tomber en matière de droit à l'avortement. La commission consultative a rendu son verdict. Les femmes marocaines n'accèderont pas au droit à l'avortement, ni ne pourront prétendre au droit de disposer de leur corps. Ce corps (...)
Ma précédente tribune a essayé de montrer à quel point les fonctions économiques de l'impôt d'Etat sont très imparfaitement assumées au Maroc. Ce dévoiement du système fiscal abîme le contrat social liant les citoyens à l'Etat et justifie (...)
La plus grande réforme du système fiscal marocain remonte au milieu de la décennie 1980, lorsque les trois impôts majeurs ont été créés : la TVA en 1986, l'IS en 1988 et l'IGR en 1990. Depuis cette réforme, les lois de finances se sont succédé pour (...)
Comme toutes les collectivités territoriales du royaume, la commune urbaine et la région de Casablanca doivent se doter d'une vision à moyen et à long terme de leurs équilibres financiers. Elles doivent disposer d'un plan stratégique, visant à (...)
Les territoires sont au cœur du développement économique des pays. Les régions et les grandes métropoles sont confrontées aux mêmes défis stratégiques que les entreprises ou les Etats. À l'image des mégalopoles des nations avancées (New York, Paris, (...)
Le Maroc est en mouvement. Porté par le peuple et encadré avec consentement par le Souverain, le mouvement de réformes avance inexorablement vers un modèle de société démocratique, en dépit d'un parcours jonché d'une multitude d'écueils. Si certains (...)
Dans ma tribune du 7 février dernier intitulée «Réforme de l'Etat», j'affirmais l'urgence d'une réforme politique, administrative et économique de l'Etat. J'ajoutais, aussi, pour conclure mon propos : «Aujourd'hui, le reflet d'un espoir citoyen (...)
Finalement, le royaume du Maroc aura sa 6e Constitution, après celles de décembre 1962, juillet 1970, mars 1972, septembre 1992 et septembre 1996. La nouvelle réforme constitutionnelle a été voulue par le peuple et décidée par le Souverain. Si elle (...)
Très calmement, on annonce au grand public, à l'occasion d'une rencontre média ou au détour d'une conversation en off, la décision de la SNI de se délester de ses principales participations. Lesieur, Centrale laitière, Cosumar, Marjane, Acima et (...)