La bi-nationalité, voilà un sujet qui provoque des urticaires qui sont autant de signes avant-coureurs de ce que sera le timbre du débat présidentiel qui aura lieu en France durant le premier trimestre de l'année prochaine.
Pour l'instant, on est (...)
Ce n'est pas que je veuille lui faire de la pub, mais la malhonnêteté du papier soulève le cœur jusqu'à la nausée tellement il est ordurier.
Il y a comme ça, quelques journalistes français qui se répandent en vociférant leur hystérie, parés qu'ils (...)
Maintenant que le vote est derrière nous, on va pouvoir palabrer tranquillement sans verser dans le manichéisme qui a trop marqué le débat sur la Constitution.
Il vrai que l'une des difficultés, c'est qu'on ne pouvait pas discuter le texte sans le (...)
Cette semaine, je fus interpellé par des militants du PJD qui ont jugé ma précédente chronique outrancière. J'en conviens.
Cette semaine, je fus interpellé par des militants du PJD qui ont jugé ma précédente chronique outrancière. J'en conviens. (...)
La définition que donne, Si Benkirane, de la liberté de croyance est terrible.
Avec la méthode qui consiste à avoir la réponse dans la question elle-même, il s'interroge : Que signifie liberté de croyance? dit-il «Qu'on permette à certains laïcs de (...)
C'est un enchantement que l'équipe nationale marocaine nous a offert samedi dernier.
Face à une équipe algérienne teigneuse, surtout dans les premières vingt minutes, les Lions de l'Atlas ont fait du ballon, du jeu pétillant, de la possession (...)
Avant le G8, la France, qui a souvent le talent de faire de belle opération de communication, a réuni, sous l'égide du président de la République, un G8 dédié à la planète Internet avec comme invités les vedettes de la galaxie du web dont la star et (...)
C'est un peu cocasse. L'Espagne, depuis le 15 mai, a sa place Tahrir: Puerta del sol en hispanique.
C'est un peu cocasse. L'Espagne, depuis le 15 mai, a sa place Tahrir: Puerta del sol en hispanique. C'est le monde à l'envers. Ce sont maintenant les (...)
Nous avons l'habitude de voir les photos des terroristes, surtout morts.
Voir un de ces salopards, pour les besoins de l'enquête et de la reconstitution, se mouvoir au milieu des policiers-ninjas a quelque chose de terrifiant. Ainsi donc, (...)
L'ennemi intime a cette capacité de sommeiller, d'hiberner et de se dissimuler sous les draps de l'ombre jusqu'à en surgira pour nous surprendre au moment propice de nos léthargies.
Ça y est. Ils ont recommencé. L'ennemi intérieur a bien choisi son (...)
Un des commentateurs du site français Mediapart; qui a publié ma précédente chronique sous le titre «Dégage ou le SMS politique», a attiré mon attention, tout en étant d'accord avec mon propos, sur l'usage abusif que j'ai fait de la notion «rue (...)
Personne avant la révolution tunisienne ne pouvait prédire la fortune du mot «dégage».
Expression familière s'il en est, elle s'est désormais imposée comme une injonction politique. Partie comme un cri de cœur, cette expression est devenue le mot (...)
Il y a dans ce qui agite le Maroc des promesses et des espérances qui peuvent être contrariées par sept péchés capitaux.
Il y a dans ce qui agite le Maroc des promesses et des espérances qui peuvent être contrariées par sept péchés capitaux :
La (...)
Trop, c'est trop. Voilà maintenant que des hystériques du clavier et des excités de la souris lancent un appel pour que les Marocains du monde boycottent le pays, retirent leurs argents des banques et cessent leurs envois de devises.
Trop, c'est (...)
Sur les 2 derniers mois, le Maroc, dans un rythme et un style qui sont les siens, a vu naître plusieurs initiatives qui configureront le futur paysage institutionnel : un CES, un projet de régionalisation, un débat national sur la réforme (...)
Un opuscule de 19 pages a constitué l'un des phénomènes de librairies en France. Il s'intitule « Indignez-vous ».
Il est écrit, assez mal par ailleurs puisqu'il est relativement répétitif et parfois simpliste, par un ancien diplomate de 93 ans du (...)
Bon soit. Il n'y a pas d'exception marocaine et personne de sensé ne peut nier le volume de nos problèmes.
Nous avons notre lot de misère, d'inégalité, d'injustice, d'abus, de passe-droit. Notre école est une véritable fabrique de l'échec. Nos (...)
La lettre commise par Abdelhak Serhane dans un quotidien parisien, je dois l'avouer, m'a interpellée à plusieurs égards.
Il soulève, pour moi, beaucoup de questions sur le rôle d'un intellectuel particulièrement un moment où une société a un besoin (...)
Le 20 février est devenu une marque déposée. Un label. En dehors de quelques noms, cités ici ou là, on n'en connaît pas précisément les promoteurs qui demeurent peu identifiés et presque anonymes.
En revanche, il y a pas mal de vieux routiers de la (...)
Les années de plomb, nous autres Marocains en avons goûté les affres. Nous sommes ensuite rentrés, pour s'y complaire près de vingt ans durant, dans une transition démocratique interminable comme si notre transition se voulait bravade au temps.
Et (...)
Les Editions Denoël viennent de ré-éditer un ouvrage que l'écrivain marocain Driss Chraïbi (1926-2007) avait publié en 1995 et que, depuis, on trouvait difficilement: « L'homme du Livre».
Un petit ouvrage tout entier consacré à la figure du Prophète (...)
L'œil de l'actualité est gorgé de sédition. Tel pour un tube de dentifrice, la foule arabe, une fois dehors, est devenue difficile à faire rentrer.
L'esprit est débordé par l'impensé. Rien n'est plus en abscisse et en ordonnée. Toutes les certitudes (...)
Parmi les dégâts collatéraux de la révolution égypto-tunisienne, il y a cette controverse sur les vacances des ministres français.
Bah ! Dégât est peut-être un mot trop fort. On en n'est pas à déplorer des morts même si, dans un futur proche, il y (...)
L'autoritarisme, c'est le premier ennemi de l'autorité. Les dirigeants arabes sont sommés de méditer cette sentence. Les peuples arabes sont comme las d'être indignes de la démocratie.
Ils sont las de cet autoritarisme oriental dont la marque de (...)
Les soulèvements, de jasmin ou de fève, font des victimes parmi les manifestants et des malheureux parmi les régnants. A tout malheur, quelque chose de bon, ils ont fini par faire, je le suppose, un heureux : Laurent Gbagbo.
Grâce à ces soulèvements (...)