La Vie éco a déjà publié sur ses colonnes une présentation du livre de l'écrivain, qui a reçu le prix Goncourt. Retour sur des faits d'une période noire, que l'Etat veut faire oublier.
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Kamel Daoud insiste : « Le seul (...)
Si la science-fiction imagine et met en scène des découvertes scientifiques ou technologiques, la dystopie est en revanche centrée sur les conséquences possibles des changements d'ordre social et politique. Peut-être que nous y sommes déjà.
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C'est acté. Les hôteliers n'ont plus le droit d'exiger la présentation de l'acte de mariage à une femme et un homme qui veulent réserver une chambre dans un hôtel. Déjà qu'ils n'avaient pas ce droit puisqu'aucune loi ne l'exigeait. Mais tout le (...)
Dès son indépendance, le Maroc avait choisi la voie du libéralisme. Dans un contexte de guerre froide entre les deux blocs, l'Occidental et le Soviétique, l'on parlait encore, sans complexe, de capitalisme. Système économique dont la charge en (...)
Le métier de journaliste fait encore rêver les jeunes. Son attrait se délite, cependant, à cause de la perte de sens et de l'obligation, parfois, de n'amplifier que la voix de son maître. Sans réaction, les nuances entre information, communication (...)
Le lorem ipsum ou lipsum est un faux texte en latin qui sert à remplir une page avec une suite de mots qui ne veulent rien dire. Quelques-uns de nos politiques parlent couramment cette «langue». Un outil magique pour escamoter le fond en focalisant (...)
Les industries culturelles et créatives offrent un miroir aux alouettes réfléchissant l'image d'un Maroc pas loin de pouvoir réaliser les mêmes performances que les pays dont les politiques culturelles sont déjà structurées.
Le 4 novembre 2021, (...)
Maintenant que Ramadan touche à sa fin, faisons un bilan afin que, nous-mêmes, ne restions pas (que) sur notre faim. Qu'avons-nous appris?Qu'allons-nous garder? Que restera-t-il de notre amour de Dieu pendant ce mois sacré?
Maintenant que le plein (...)
Quelques questions sont essentielles pour évoluer ou dépasser un blocage. Elles ne sont pas posées par peur, pudeur, démagogie ou bien simplement parce qu'elles rentrent dans la catégorie du non-dit. Pour l'intérêt général, essayons de dire ce qui (...)
Amusons-nous un peu et jouons à nous imaginer appliquer (tous) les vrais préceptes de l'islam pendant Ramadan. Je vous rassure d'emblée, ce n'est qu'un jeu !
Essayons d'imaginer comment notre islam, modéré et ouvert, pourrait nous aider, pendant le (...)
Deux valeurs, entre autres, sont nécessaires pour une économie saine et florissante. Une pour l'offre qui a besoin d'innovation, l'autre pour la demande qui nécessite la confiance entre le vendeur et l'acheteur. Cette histoire raconte comment la (...)
Ramadan nous rend encore plus humains, plus sensibles à la misère humaine et aux inégalités économiques et sociales. Côté humanisme, que du bénéf ! Côté spirituel, nous assurons le plein de foi pour l'année. Que du bonheur !
Aadel Essaadani
Acteur (...)
Quel rapport ? Puisque l'ennemi de la création est la peur, transformons nos défauts en qualités pour que notre fatalisme devienne résilience. Quand on n'a plus peur de perdre ce qu'on a, on devient invincible. L'innovation est à ce prix.
Aadel (...)
Faisons travailler nos tribunaux administratifs pour nous aider à mettre le Maroc en marche. Que notre justice administrative nous aide à ce que nos impôts servent véritablement l'intérêt général.
Aadel Essaadani
Acteur culturel, il a été à (...)
Où est passé le tant espéré élan provoqué par l'exploit de l'équipe marocaine de football ? À croire que notre nature (ou culture) nous rattrape dès que nous baissons la garde ! Alors, comment faire pour que «Niya» devienne notre leitmotiv commun (...)
Que propose notre pays à ses citoyens en matière d'action culturelle ? Quelle offre est faite au Marocain pour se construire et nourrir son cerveau ? Ce qui nous manque vraiment, c'est faire société, la culture y contribue.
Aadel Essaadani
Acteur (...)
A propos des théâtres que l'on construit à grands frais et que l'on n'ouvre pas, viendrait-il un jour où l'on se demanderait pourquoi ? Serait-il temps de se poser les questions de la responsabilité, de la compétence, des publics et de la politique (...)
Un point commun entre histoire, idéologie, religion, politique, culture et économie pourrait se résumer en un seul mot : influence. Chez nous, elle pourrait finir par fabriquer des monstres.
Aadel Essaadani
Acteur culturel, il a été à l'origine de (...)
Et si c'était, d'abord, par une psychanalyse collective qu'il nous fallait commencer avant d'essayer autre chose ? Si elle est réussie, le cerveau disponible de tous les Marocains finirait par construire et s'approprier le meilleur des destins (...)
Un scénario dans lequel deux types de Marocains jouent chacun son propre rôle. Le premier participe à la marche du pays qui lui garantit le minimum vital. L'autre essaie de trouver l'essentiel pour vivre, quitte à devenir une charge et un danger (...)
L'institutionnalisation de ce street art, à travers des festivals, lui a ôté son effet
de surprise et lui a fait perdre son essence originale alternative. Les tags perdent
en expression ce qu'ils gagnent en légalité.
D'un coup, le visage de (...)
Economie, culture, politique. Nous avons longtemps cru que ces trois domaines n'ont rien à faire ensemble et ne devraient pas se mélanger. La solution se trouve, peut-être, dans le bon dosage entre les trois.
Aadel Essaadani
Acteur culturel, il a (...)