Le roman de Hmoudane arbore un titre original qui rassemble des entités décisives dans le parcours du protagoniste Mahmoud. «Le Ciel» auquel le héros est soumis malgré lui, une sorte de fatalité qu'accepte volontiers le personnage en suivant (...)
Encore cette enfance marocaine saccagée ! Décidément, on n'en finit pas de tenter de régler les comptes avec un passé lourd d'injustices. C'est la première impression que m'a inspiré la découverte du «Fils du souk» de Driss Bouissef Rekab (Ed. Saâd (...)
Abdelkébir Khatibi nous a quittés le 16 mars 2009. Mais avant de partir, il s'est lancé un dernier défi : écrire son autobiographie intellectuelle. Comment quelqu'un qui a écrit quasiment dans tous les genres, essayiste, dramaturge, poète, (...)
L'indication «roman» est indéniablement visible sur la couverture du livre de Mahi Binebine aussi bien dans son édition marocaine chez Le Fennec que dans la française chez Flammarion. L'œuvre est parue voilà bientôt six mois et elle a eu un bon (...)
Abdellatif Abboubi réussit enfin à présenter au lecteur un ensemble de textes de Mohammed Khaïr-Eddine qui mérite attention et considération : « L'enterrement et autres proses brèves (1963-1994) » (Ed. Art & Arts / William Blake and Co. Edit., (...)
Habillé de ma vigueur, j'entends monter du côté gauche du poème une pensée du désastre». C'est sur ces propos que s'ouvre le dernier recueil de poésie de Rachid Khaless : «Dissidences» (Ed. L'Harmattan, Coll. «Poètes des cinq continents», 2009, 80 (...)
abdellah baida*
Kébir Mustapha Ammi, natif de Taza en 1952 et résident en France, est actuellement en tournée au Maroc. Une rencontre-débat avec lui est prévue ce samedi 15 mai à 16h à l'Institut français de Rabat (Salle Gérard Philippe). C'est (...)
abdellah baida : Critique littéraire
Le colonialisme demeure une question brûlante dans l'histoire de l'humanité, une sorte de tache noire dans notre parcours sur terre. Peut-on considérer que ce passé serait dépassé ? Omar Mounir répond par la (...)
Abdellah Baida
A la Une de l'édition du week-end dernier du journal « Le Soir échos » (23-25 avril 2010), attire l'attention une caricature assez troublante : la tombe du théâtre marocain devant laquelle se recueille la représentation du cinéma qui (...)
Ces cinq piliers de la littérature marocaine nous parlent encore et nous interpellent. Pour leur rendre hommage, pour se ressourcer dans leurs œuvres et pour continuer à les découvrir plus et mieux, plusieurs chercheurs vont se pencher durant deux (...)
Je viens de relire pour la énième fois ce court récit (roman ?) de Mohamed Leftah au titre emblématique et problématique «Hawa» (Ed. La Différence, 2010, 123 pages). Je remonte dans le passé à ma première lecture de ce texte. C'était bien avant sa (...)