Le Discours du Trône 2022 avait évoqué la nécessité de réformer le Code de la famille parce que sa pratique avait mis en exergue des lacunes. Comme il est normal pour un sujet sociétal, un temps de latence a été observé, pour permettre à tous les (...)
La crise du Niger n'est pas un accident, une petite révolution de plais, comme une certaine presse française nous la décrit. Si intervention de la CEDEAO il y a, il n'a y pas de risque militaire, parce que les 2500 soldats de la CEDEAO pourront (...)
Le Cabinet Royal, par communiqué, informe le peuple que le Premier ministre Israélien, dans une lettre adressée à Sa Majesté annonce qu'Israël reconnaît officiellement la souveraineté du Maroc sur le Sahara occidental ; que cette officialisation (...)
Pas de démocratie sans partis, pas de partis sans moyens, c'est la problématique du financement posée aux systèmes représentatifs.
Rappelons certaines vérités politiques, prouvées par les chiffres et qui nécessitent une réponse institutionnelle, (...)
Le propre des réseaux d'influence c'est de ne pas s'avancer à pas cadencés. C'est une erreur que de croire qu'un pays étend son influence par une seule action. Le Maroc vieil empire, sait, même dans les temps actuels, développer son influence, sans (...)
Le positionnement de l'Algérie, ses actions diplomatiques, sa communication sont devenus une véritable énigme pour les observateurs, parce qu'erratiques et surtout irrationnels.
L'inimitié avec le Maroc ne peut pas servir d'explication exclusive. (...)
Le positionnement de l'Algérie, ses actions diplomatiques, sa communication sont devenus une véritable énigme pour les observateurs, parce qu'erratiques et surtout irrationnels.
L'inimitié avec le Maroc ne peut pas servir d'explication exclusive. (...)
Tous les doutes sont dissipés. Le dernier conseil des ministres est venu à point nommé pour démontrer que le Maroc ne remet pas aux calendes grecques les réformes structurelles enclenchées, pour se consacrer à la gestion des effets de la crise, même (...)
On le sait et il y a consensus dessus ! Le gouvernement doit arbitrer au quotidien, entre les fameux équilibres macro-économiques et les besoins de la population. Il faudra de l'inventivité et de la rigueur en même temps. Ce n'est pas d'une facilité (...)
« Ce n'est pas parce que c'est difficile que l'on n'ose pas. C'est parce qu'on n'ose pas que c'est difficile », Sénèque. La bourrasque est là, les gouvernements valsent, des Etats vacillent et ce n'est que le commencement.
La guerre d'Ukraine est un (...)
Dans quelques heures, l'annonce officielle des résultats du Baccalauréat aura lieu. Nous aurons droit aux pourcentages de réussite par branches, par sexe, par région etc... Tout le monde félicitera les reçus... sauf les enseignants qui respectent (...)
Sénèque écrivait : «ce n'est pas parce que c'est difficile que l'on n'ose pas, mais c'est parce que l'on n'ose pas que c'est difficile». Cette phrase millénaire s'applique à la situation actuelle au niveau mondial. La stagflation menace, la guerre (...)
Même Marine Le Pen était convaincue que le Président français aurait la majorité absolue, parce que tel était le cas depuis l'adoption du quinquennat. Les électeurs ont déjoué les pronostics. La France est ingouvernable, à moins d'une alliance de (...)
L'opinion publique se saisit, une nouvelle fois, du phénomène de la triche aux examens et de l'ingéniosité sans cesse renouvelée des tricheurs. Il s'agit d'un véritable marronnier, un sujet qui revient sur la table chaque fin d'année scolaire.
On ne (...)
La Commission européenne a répondu sèchement à l'annonce de suspension du traité d'amitié et de bon voisinage qui liait Alger à Madrid. Les termes choisis relèvent du lexique diplomatique de conflit. Laâmamra, diplomate de carrière, ne pouvait pas (...)
La capitale du Maroc a inauguré l'année de l'Afrique. Le plus important, c'est le volet culturel qui permettra à n'en pas douter, aux artistes, auteurs du continent de rencontrer un public avide de découvertes.
Sur le plan musical, on peut dire que (...)
L'impuissance de l'ONU devient grotesque. Elle n'a aucune prise sur le conflit Ukrainien qui entre dans son quatrième mois. Ni l'OTAN ni Moscou, n'accordent le moindre intérêt à ce que De Gaulle appelait le machin. Pourtant, ce conflit met face à (...)
Beaucoup de gouvernants, dont les nôtres ont préféré croire que le phénomène inflationniste n'était que conjoncturel. Le fait qu'il ait débuté à la sortie de la crise sanitaire, du Covid-19 et que les circuits de distribution disfonctionnent face à (...)
Revoir un dirigeant du PJD s'exprimer sur une chaîne qatarie, l'annonce d'une coordination entre les partis d'opposition, pour défendre la démocratie peut donner l'impression d'une vitalité retrouvée de la vie politique. Ce n'est malheureusement (...)
Les résultats du dialogue social sont mitigés. Les fonctionnaires gagnent une plus grande fluidité du déroulement de carrière, un effet rétroactif qui ouvre la perspective de rappels conséquents.
Les salariés du privé n'ont que la hausse du SMIG, (...)
Le gouvernement a fait ses choix. En démocratie on en prend acte d'abord, on les critique ensuite s'il y a lieu. Maintenant on ne peut pas tout sacrifier au social, nous avons un outil productif à soutenir, des secteurs à maintenir, d'autres (...)
La guerre en Ukraine est un évènement historique qui aura des effets profonds dans le monde de demain. Il ne s'agit pas ici de commenter la guerre en elle-même, mais de se projeter sur le monde de demain, parce que l'affrontement Occident-Russie se (...)
Aziz Akhannouch a été très clair. Le Chef du gouvernement a écarté la possibilité d'une loi de Finances rectificative et a promis de tenir tous ses engagements, en particulier sur le plan social et qu'il trouvera les moyens financiers pour le faire. (...)
Le programme gouvernemental a été violemment percuté par quatre éléments exogènes : la sécheresse, l'inflation, le coût de l'énergie et les ruptures de chaînes au niveau du marché mondial. L'exécutif n'a aucune responsabilité dans ces évènements, il (...)
Les déclarations d'Ahmed Rahhou sont claires et très importantes. Le Conseil de la concurrence qu'il préside n'a pas pour tâche de fixer les prix, d'ailleurs, il est contre toute tentation de fausser le jeu du marché, en fixant les prix de manière (...)