Faites le bien au lieu du mal... * UN HOMME ENtRE dans une bibliothèque et demande à la préposée : -- Madame, pouvez-vous m'aider à chercher un livre? -- Certainement Monsieur, lequel ? -- Son titre est «L'homme, le sexe fort». Alors, la préposée répond sur le champ : -- Les livres de Science-fiction sont au sous-sol, Monsieur ! * C'ESt UNE JEUNE fEMME qUI fAIt la vaisselle quand son mari arrive : -- que fais-tu chérie ? -- Ben ! tu vois bien, la vaisselle. -- Mais pas aujourd'hui ! c'est ton anniversaire. -- Mon chéri... que tu es adorable ! -- Laisse la vaisselle... tu la feras demain. Blagues proposées par Madame Badrya Belhaj de tétouan * LE MOUtON EN CHAIR n'étant plus de ce monde. Reste malheureusement dans la moulinette du crédit, un petit os, effrayant et difficile à «digérer». Un os à même de donner un goût peu appétissant aux prochains mois d'un remboursement qui s'annonce éreintant, voire assommant ! qu'à cela ne tienne ! diraient les optimistes endurcis. L'essentiel est d'avoir festoyé à plein régime, à pleines dents, durant trois jours (ou plus), mettant carrément en veilleuse tout souci. Cependant, l'effrayant fantôme du crédit ne va pas tarder à hanter de plus belle les nuits qui vont suivre, plaçant en vedette un mouton qui ne fait plus partie des vivants mais qui persistera à tenir le haut de l'affiche des préoccupations, asphyxiant au plus haut degré leur vie quotidienne tant que l'ardoise n'est pas totalement effacée. * ALORS, SI LE PAUVRE mammifère, avec ou sans ses (deux) cornes, est bel et bien mort et superbement enterré dans le ventre humain, le crédit, lui, demeure toujours en vie, prompt à cogner impitoyablement, toujours plus fort et plus douloureux. Et, sans avoir la cynique idée de remuer le fameux couteau dans la... chair, disons que le non moins pauvre citoyen, quant à lui, va continuer pour un bon bout de temps à être constamment pris à la gorge par ses impitoyables créanciers qui n'ont que l'argent à la bouche... Ces mêmes créanciers qui étaient, il n'y a pas lontemps, très gentils, très doux et généreusement serviables ! Le citoyen quant à lui, après avoir vu la vie en rose, n'a plus qu'à ruminer ses regrets de s'être tant endetté pour finir par broyer du noir pendant des mois, sinon des années... que Dieu lui vienne en aide !