Encore une bonne raclée pour les ennemis de notre cause nationale suprême ! Le conseil de sécurité de l'instance onusienne vient de rendre publique la résolution 25 48 stipulant la prolongation d'une année la mission de la Minurso. On n'a plus à tergiverser sur cette question, puisque les dès sont jetés pour une énième désillusion des séparatistes et leurs acolytes de l'est du royaume. D'autant plus que la suggestion relative à l'autonomie sur les provinces marocaines récupérées gagne, de jour en en jour, de crédibilité sur l'arène mondiale. Une offre solide, loyale et durable que les grands de la planète soutiennent et qui met un terme à toute autre réclamation de séparatisme et d'autodétermination. La nomination d'un nouvel émissaire du SG de l'ONU, dans les jours qui viennent, remettrait sur selle les rencontres en table ronde, déjà entamées successivement en 2018 et 2019. La junte algéroise a beau se dissimuler de son intrusion dans ce conflit artificiel résolument maroco-marocain pour des convoitises hyper hégémoniques sur la région. Au fil du temps, il s'enrage de voir ses chimères s'estomper, au regard du réalisme et de la sagesse dont le Maroc traite le dossier saharien, mais aussi du retour à l'évidence dont les pays africains, jadis hâblés par la soldatesque algérienne, ne cessent de faire montre, non seulement par le ralliement à la thèse marocaine, mais aussi par la plantation des antennes diplomatiques à Laâyoune et Dakhla. C'est dire combien le processus de régulation à base d'un dialogue politique entre divers antagonistes, s'avère inéluctable. Chose que les militaristes d'Alger tentent vainement d'atermoyer à travers des altercations sordides que ni ses propagandes mystificatrices d'antan dans le camp africain ni ses ressources pétrolières soudoyantes, ne pouvaient indéfiniment avoir de l'ascendant sur son giron. Aujourd'hui, Alger, affaibli par l'effritement de son régime autocratique et désavoué par la communauté internationale est semblable à une vipère étêtée dont la queue s'agite encore aux ultimes convulsions sans aucune issue à ses mirages. Par contre, le Maroc fort conforté par sa suggestion, sa détermination et la perception positive dont il jouit sur la scène universelle, s'en allait se lancer dans l'édification tous azimuts de ses terres qui lui reviennent de droit, après se les avoir adjugés du joug colonial. Il se devra, en fait, de poursuivre ce labeur d'envergure, tout en s'armant de vigilance et maintenant la stabilité que les mercenaires comptent embraser!