Erire sur une femme des arts et des lettres comme l'écrivaine et traductrice italienne Berta Corvi est une aventure culturelle agréable. Car on écrivant sur le parcours riche de cette femme brillante, on ne peut qu'écrire sur le roman, la poésie et bien évidement sur l'art de la traduction. Car Berta Corvi travaille avec un grand amour sur ces trois champs culturels. D'abord elle est une poétesse fine qui aime tant décrire le monde avec des mots simples mais profonds, des mots pleins de métaphores, des mots qui reflètent les battements de son cœur plein d'amour et d'amitié envers la nature, les gens , et les choses .En suite elle est une traductrice professionnelle qui aime tant son métier de traduction . Ainsi elle a traduit des romans et des recueils de poésie qui sont écrits en français, cette langue que Berta Covri l'adore, vers sa langue natale qui n'est que l'italien, la langue douce, la langue harmonieuse, la langue des célèbres écrivains et musiciens tels Dante et Léonard de Vinci, ou encore elle traduit aussi des œuvres de l'italien vers le français avec une grande maîtrise. Ainsi elle a traduit le roman de langue italienne «Le feu intérieur», de l'écrivain Giovanni Andreoli, vers le français. Comme elle a traduit vers l'italien le livre poétique «Pensées en désuétude» écrit en français par l'écrivaine française Stéphanie Michineau (Fanny Cosi). Berta Corvi ne s'arrête pas là, elle est une femme des arts et des lettres qui possède un esprit ouvert et un cœur qui adore la culture universelle, c'est pour cela qu'elle a plongé dans les œuvres poétiques d'un écrivain marocain contemporain de langue française qui n'est que moi, Noureddine Mhakkak.