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Une Rencontre placée sous le double signe de l'amitié-attirance allée avec l'élégance du beau style :
Fragments d'un discours culturel
Publié dans Albayane le 03 - 11 - 2013


Fragments d'un discours culturel
Quand un écrivain contemporain marocain d'envergure rencontre une écrivaine contemporaine consacrée Arts et Belles Lettres Françaises, cela donne le genre de Rencontres à immortaliser dans un beau livre. C'est la gageure et l'exploit qu'a réalisés Noureddine Mhakkak dans son livre d'Eloges publié dans Albayane. Mais Stéphanie Michineau, écrivaine française, puisqu'il s'agit bien d'elle, n'est pas la seule à avoir recouvré ses Lettres de Noblesse en faisant son entrée dans « le » beau livre. Elle s'y trouve insérée au milieu d'autres belles femmes qui ont toutes en commun, par-delà la beauté évidente émanant de leurs traits et de leurs attraits, une chose : laquelle ? Ce n'est pas le moment et j'y reviendrais par la suite.
Flash-back et Retour de flash, la belle âme Noureddine et la rimbaldienne Stéphanie dont il a su conquérir le cœur, ce qui n'est pas chose si aisée, son indépendance d'esprit ainsi que sa verdeur de caractère (jeunesse ?) et blancheur de tempérament comme humaniste qui s'indigne ! étant bien connues en France comme chercheure académique.
Pour répéter comme leitmotiv notre titre feu vert de démarrage, c'est donc une Rencontre d'amitié-attirance placée sous le double signe de l'amitié allée avec l'ode du beau style que la narratrice anonyme dont j'endosse temporairement le rôle diégétique non par fantaisie incongrue mais bel et bien par devoir narratologique, va nous narrer présentement. Sachant que tout ceci correspond à la réalité transposée sur un plan littéraire empruntant aux figures de style et styles de figures comme chiasme harmonieux.
Mais Chut, voici que vient venir Chhuchotter à vos oreilles l'incantation merveilleuse... des mots du récit merveilleux. Jouons le jeu du je identificatoire & métaphorique opérer en nous et nous transporter dans un autre Monde, celui des Livres, par le seul pouvoir des mots et de l'imagination sublime qu'ils recèlent.
Nour : Lumière éclairée
Par un de ces beaux jours ensoleillés qui donnent envie de sourire à la Vie, Nour/Lumière éclairée, envoya du Maroc quelques bribes de sa prose poétique du plus bel acabit qui soit à Papillon Couronné.
Stéphanie : Papillon couronné
Petite digression cette fois de l'auteur(e) non du morceau de bravoure mais de l'article (« morceau » ne convient pas ici, la terminologie ne recouvrant pas la longueur escomptée) sur la métaphore du « Papillon couronné », il ne faut exclure personne et nos amis francophones doivent pouvoir également trouver pied au sein de la narration féérique et surtout ne pas le perdre afin de ne pas « décrocher » complètement et à terme, de fermer le livre de l'histoire merveilleuse et pleine de métaphores et d'images entre la grande Demoiselle, l'écrivaine française Stéphanie et Monsieur l'écrivain marocain, Noureddine.
Nota Bene : « Papillon couronné » et signification textuelle de l'image d'un point de vue sémiologique (« board member of Semat », revue de sémiologie textes-images du Monde arabe). La signification du prénom « Stéphanie » correspond à « Couronne », elle a été figurée sous cette transposition métaphorique par le calligraphe Fathi Alouani à qui il faut rendre remerciement au passage comme jeune calligraphe marocain. Par-delà lui, cette reconnaissance de son travail servira de jonction et d'encouragement méritoire pour les jeunes talents du Maroc et d'ailleurs. Il faut en tirer valeur d'exemplarité pour les autres et non jalousies mal placées comme c'est parfois, c'est tout.
Reprenons le fil de l'histoire :
Mais Papillon couronné ne le connaissant pas, elle habite en France dans son fief vendéen, rappelons-le, el n'y prête guère attention [ le papillon est une femme à la silhouette bleue d'où la féminisation de l'entre-deux entre le masculin du lexique papillon, à la manière de Camille Laurens, comme écrivaine parisienne de l'autofiction. ]
Bien heureusement, l'homme de lumière éclairée ne se laisse pas décontenancer par la belle indifférence de l'écrivaine française et en homme courageux, téméraire et doué d'élégance, il revient à la charge et tente, par mille et un détours, de gagner son estime et son « intime ». Ce n'est pas par les blablas qu'il atteint sa cible mais plutôt en faisant montre de toutes ses prouesses littéraires par une ruse de bon aloi pour l'exigence de la littérature, il ne faut pas y voir autre chose.
Il ne l'assomme pas de ses références pompeuses (et dieu sait pourtant qu'il en a... et des plus belles !). Ô ça non ! alors. Plus subtil que cela, il fait montre sur Facebook (comme outil d'utilité démocratique pour les cultures) de tous les livres qu'il a rédigés jusqu'ici... ornés de couvertures sublimes et colorées. La première étape est franchie, la deuxième étant bien entendu de s'intéresser à elle. Il place son livre Colette : par-delà le bien et le mal ? (MPE/Paris) au centre de ses beaux regards. Stéphanie n'échappe pas en cela aux femmes entre toutes les femmes, elle souhaite que l'on s'intéresse à elle ou plutôt à ce qu'elle pense et surtout à ce qu'elle en exprime. Où en étions-nous déjà ?
Papillon couronné, ému(e) donc de cette qualité de noblesse allée avec la noblesse de style, en est touché(e). Ces bons soins, ces cadeaux, en quatre mots, « ce don de soi » d'un écrivain de renom si bien attentionné, perce son cœur telle la flèche de Cupidon. Mais ce n'est pas d'amour dont il s'agit (du moins pas au sens d'acte consommé), ce n'est pas ça. Cet amour qui lient intimement et artistiquement l'écrivain contemporain marocain Noureddine et l'écrivaine contemporaine française Stéphanie, c'est à travers eux le symbole de la communion qui est prônée comme idéal de paix et d'amour universel.
On retrouve bien là d'ailleurs, la conviction profonde des deux écrivains. Car descendons de notre échelle de fééries et autres images tirées du Rêve pour retrouver le pragmatisme des réalités concrètes et qui s'accomplit sur terre en d'autres termes, sans en avoir trop l'esprit (« terre à terre », joke ) sur le terrain !
J'en arrive enfin au pourquoi des écritures et du terme d' « éloges » emprunté par Monsieur l'écrivain Noureddine Mhakkak. Ce n'est pas simple pose de sa part comme virtuose des mots et de la bonne vibration des accords entre eux, c'est bel et bien réflexion profonde qu'il met en place ici comme Penseur par excellence : chercheur académique, éminent Docteur et spécialiste de sémiotique narrative, membre de la coordination des chercheurs sur les Littératures Maghrébines et comparées, membre de l'union des écrivains du Maroc, membre de l'association des critiques de cinéma au Maroc et j'en passe...et des meilleurs...
J'en viens ainsi au fil de la plume et suivant tricotage à mettre la loupe sur le point commun qui relie toutes ces femmes (dont ma modeste présence virtuelle mais elle est bien réelle aussi, c'est ce qui fait tout le charme et la transcendance de ce genre de Rencontres sublimes... celle de l'aâme ! ) autour de lui. Toutes « ses » femmes ou plutôt toutes les femmes qu'il aime d'amitié-aimance et qu'il a réunies autour du livre (son livre, différent à chaque fois, comme symbole d'une amitié inaltérable entre elles & lui que n'entamera pas le temps qui passe mais bien au contraire, le temps fonctionnant comme ami pour les cœurs épris de sentiments tendres et sincères ainsi que partagés comme c'est, sans nul doute, le cas ici !)... toutes ses femmes donc, je reviens au point de départ comme intellectuelle de mon analyse scientifique, ont en commun Arts et Lettres et ont acquis gain de cause et de cœur (très important le cœur pour le Poète superbe) dans le domaine. Ce sont en premier lieu, comme il se doit, les femmes du pays, les femmes magrébines (marocaines) qui ont bien certainement, le vent en poupe mais d'autres nationalités y sont représentées : notamment l'italienne avec mon amie... mon alter... mon ego d'Arts et Lettres à l'italienne, la musa nostra, Donna Berta Corvi. La France occupe à cet égard, une place de premier choix (comme écrivaine française, je n'en puis qu'être touchée... merci, merci infiniment !) puisque la langue requise par l'écrivain marocain pour louer l'Eternel féminin correspond à la langue de Molière et de tous les autres écrivains français : Victor Hugo, Charles Baudelaire et pour respecter la parité et citer deux écrivaines françaises où va sa préférence, Gabrielle-Sidonie Colette (Quel plaisir cela a été pour moi de l'apprendre de ses mots... je les ai lus avec le plaisir qu'une amoureuse aurait pu prendre de la bouche adorée de son bien-aimé) et Françoise Sagan, d'autres encore.
Pour mon compte et en tant que membre du Conseil-Comité Scientifique du CESL (Centre d'Etudes Supérieures de la Littérature) en France, à Tours, appelé aussi « le Petit Paris », qui prône l'humanisme au cœur de ses prérogatives ; mais aussi comme membre du Conseil-Comité Scientifique en France de l'association féministe Mix-Cité qui a son siège à Paris et qui officie des colloques internationaux où je suis en première ligne, triée sur le volet parmi la sélection draconienne de six autres, imaginez un peu le travail que cela peut représenter. Je ne compte pas mon temps et je prends même sur mes vacances pour lire et relire les articles venus du Monde entier, à les vérifier et revérifier, et dieu sait que ce n'est pas si simple lorsqu'ils proviennent de collègues étrangers, éminents scientifiques dans leur domaine certes, mais ne maîtrisant pas toujours à la perfection les subtilités et pureté de langue française requise. Le niveau est de qualité scientifique d'excellence, il faut savoir s'y hisser. S'ils n'y pourvoient pas, ils ou leur travaux sont écartés bien évidemment...
Enfin, évinçons le noir pour retrouver le jaune et les clartés de vues de l'Exercice de Style de l'écrivain de renom, Noureddine Mhakkak. En France, on nommerait sa prouesse poétique : « Exercice d'admiration », au Maroc « Eloge » mais c'est bel et bien la même chose dont il s'agit. Je soussignée donc Stéphanie Michineau, membre scientifique éminente de l'Association féministe parisienne Mix-Cité en France qui mêle si habilement et subtilement la recherche (idées) à la cause de terrain (manifestations dans la Capitale en faveur de la Gay pride notamment et j'y étais d'ailleurs...) et qui possède de multiples antennes sur le territoire français à l'échelle nationale (notamment à Rennes, Nantes, Orléans..), soutenir cette série d'Eloges insérée dans le livre d'entre tous les livres ( publié dans le journal marocain Albayane ) comme exemplarité en matière de féminisme et comme mains tendues au Maroc pour servir la Cause des femmes et rendre superbe ! hommage de ce fait ou plutôt de ces mots mais c'est la même chose si l'on requiert la valeur performative aux mots.
Je m'explique... j'explique en quoi.
Comme spécialiste dans le domaine de l'Ecriture-Femme, la démarche du poète marocain, Noureddine Mhakkak ne m'a pas échappé et j'y ai été éminemment sensible : il tente de redonner un visage aux femmes puisqu'on le perçoit dans une de ses belles œuvres picturales (car dans Arts et Lettres, il y aussi les Arts qui ne comptent pas pour rien et à qui il faut redonner leur place due... en tant que chercheure dont la démarche de critique créatrice a été accréditée d'acception inhérente au CESL qui s'inscrit dans la continuité de l'Association Internationale de la Critique littéraire habilitée par l'UNESCO dont le CESL a pris le relais et tremplin effectif depuis 2010, je m'y attèle actuellement avec vigueur, rigueur et ténacité... !) intitulée de manière très significative Des Femmes et des hommes, ce sont les seuls qui aient un visage, les femmes, quant à elles, sont toutes de dos. Et c'est effectivement ce que la belle âme d'auteur doué de mille et un talents, réussit à faire... Quelle prouesse... !
En cela, je m'y suis reprise par deux fois pour lui faire don de ma photographie. Une première fois, le livre de la belle âme d'auteur intitulé Les Sept Vagues de l'amour (éd. Universelle, 2012, Casablanca/Maroc) cachait le bas de mon visage et ce n'était pas bon. J'ai jeté le livre... pour mieux y revenir et le tenir dans... la force de mes deux mains faisant écho à... la force que j'ai voulu sortir de mes yeux pour mieux ramener à moi l'éclair de l'objectif de l'appareil-photo afin qu'il prenne possession de l'ensemble de mon visage: cela commence par la fixité et lumière de l'œil pour s'étendre à la bouche qu'éclaire un sourire immense comme ouverture au Monde. Et lorsqu'on a lu Noureddine Mhakkak ainsi que j'ai commencé à m'y plonger tête baissée au premier abord et je continuerais désormais car son univers parle à mon esprit, entre dans mon cœur et a des vertus bénéfiques, d'apaisement sur mon corps, je ne pourrais plus m'en passer désormais, l'on n'est pas s'en savoir à quel point la vue « du » Sourire fonctionne en lui comme flot et courant d'images prises à la Source bien évidemment de la figure emblématique & biblique de Mona Lisa.
Revenons à la ou plutôt ma photographie qui a été prise dans un lieu éminemment symbolique de la bibliothèque intime du président du CESL et Vice-président du Centre prestigieux en France des Etudes Supérieures de la Renaissance, mon ami, le Dr. Frédéric-Gaël Theuriau. Ce n'est pas un hasard puisque de ce fait, la photographie devient photofiction, pour reprendre la terminologie « du genre où j'excelle » suivant les dires du journaliste indépendant in Albayane (Merci, Nour, ma modestie faisant obstacle pour que j'en use de la sorte à mon égard... ce serait de l'outrecuidance et c'est loin d'être mon Style) puisque située dans l'entre-deux du vécu et de la mise en fiction, la représentation de soi figurée par l'image fonctionnant comme double. L'infographiste de Tunisie (encore ce beau pays du Maghreb mis à contribution pour s'insérer dans ma démarche de critique créatrice que trois... qu'écrivis-je ? quatre artistes dans le beau Pays magrébin et depuis Flo Soltar, l'artiste confirmée et photographe professionnelle qui a ouvert le bal d'exercices artistiques comme purs moments de Poésie à la Rochelle/France, bien connue à la hauteur de ville maritime de richesses de patrimoines et d'Arts, ont suivi. Mohamed Miniaoui (c'est son nom, résidant à Sousse) a transposé en transfiguration photographique, un lion à mes côtés, figurant l'Afrique. Ce croquis étant surréaliste et avant tout, tenant lieu de performance artistique légèrement atypique en France, et ce afin d'être bien compris dans cette démarche auprès du public lettré français, il a effectué le changement qui s'imposait à savoir remplacer mon nom véritable de Stéphanie Michineau en mon double autofictionnel, Fanny Cosi que j'ai endossé la première fois pour la sortie de ma première création pure puis requis sur Facebook en seconde postulation hétéronymique (plus intime celle-là, en sous-couche telle que permet le paramétrage FB); avatar utilisé, je reviens au léger éclaircissement de bon aloi, en cas de performances considérées plus limites en France afin de ne pas entamer sérieux et crédibilité auprès de mes cadres de publications parisiens plus collés-montés (je songe notamment à la philologie, c'est un engagement aussi). Cette performance artistique que d'aucuns pourraient ou pourront trouver plus borderline s'inscrit cependant dans un dépassement et comme ouverture de la recherche par-delà la France puisque je suis avant tout chercheure internationale de par mes affiliations administratives et d'engagement auprès de plusieurs pays (Maroc d'abord pour ne pas faillir à la politesse et rendre hommage et remerciements à tous les travaux de publications effectués jusqu'ici dans les journaux marocains publiant mes propres articles mais aussi, plus nombreux que les miens propres à l'heure actuelle, ceux portant sur mon œuvre : Tunisie, Roumanie, Inde, Afrique...). Ici c'est effectivement l'Afrique qui est concernée. Lire en pleine nature (c'est le titre de l'œuvre picturale donnée par l'artiste M M) prendra appui pour illustrer tout prochainement un compte rendu sur Pensées en désuétude (Mhamed Miniaoui va l'apprendre en lisant et partageant l'article auprès de sa communauté tunisienne et magrébine mais aussi et alii... ce sera une vraie surprise !) puisque le chercheur africain, le Dr Pascal Mindier, spécialiste de l'écrivain français célèbre L-F Céline, enseignant-chercheur & maître de conférences en Afrique, et auteurs de nombreuses publications internationales, a concocté un morceau de bravoure scientifique qui fera date dans sa faculté de Côte d'Ivoire, je n'en doute pas un instant. Un travail et un suivi sont d'ores et déjà prévus à un niveau master pour rendre compte et tirer la quintessence de mon livre de Pensées en désuétude (Paris, Edilivre : 2010). J'ai tout lieu de m'en réjouir à titre personnel mais pas seulement... c'est plus que cela encore car sinon pourquoi l'évoquer ici dans cette éminente publication ( ?). Non, c'est dans un idéal commun d'universel entre nous, Noureddine et moi-même, qu'il trouve essor. Voilà qui est dit concernant l'humanisme. L'humanisme drainant le féminisme qui s'inscrit dans la ligne droite de l'humanisme (aider les femmes c'est aider à la bonne entente et à l'harmonie de couple entre hommes et femmes, il faut voir loin... toujours), c'est empreint des bonnes pensées pour le bien et le mieux des femmes ET des hommes que Noureddine à songer à ma faire poser entre toutes ses femmes ou à l'échelle universelle, comme clin d'œil biblique, entre toutes les femmes. L'idée en serait celle-là : la couleur jaune (j'ai opté en dernière instance pour la couleur du Soleil... mon amie italienne Berta ayant déjà accaparée d'un tee-shirt épousant le haut de son corps la couleur du CŒUR avec un petit cœur comme collier (très symbolique le collier et il fait signe, on le comprend d'emblée, mise en abyme en quelque sorte, pour recourir à une figure de Style suivant mes terminologies requises comme chercheure scientifique, comme « miroir dans le miroir ») ferait office de rappel de la signifiance du prénom Noureddine. Jaune comme pour refléter la signifiance du prénom Nour/Lumière. « Stéphanie » habillée de jaune et de sourire arboré, se serait fait butiner le coeur par l'amour de Noureddine et les vagues vertes (symbole d'Amour avec un grand A) l'aurait transportée ; ce qui expliquerait la magnificence et l'épanouissement de son sourire proche de l'extase. L'idée est superbe et je suis heureuse et fière de l'avoir mise en pratique pour l'exigence de la littérature ou plus exactement l'écriture-femme... LES FEMMES en ont encore et toujours besoin en ces temps de résurgence d'obscur voire d'obscurantisme (il faut bien appeler un chat... un chat). Pendant que je laissais courir ma plume, « mon petit doigt » vient de me signifier plus que jamais. En effet, c'est le cas... au Maroc, en France, comme ailleurs. Comme point d'ancrage et valeur de signifiance à l'exercice d'Eloge performatif, l'artiste à multiples facettes et talents, Noureddine Mhakkak, a pourvu son album du titre faisant office de formule éminemment révélatrice ainsi que d'hommage à l'écrivain célèbre, Marcel Proust, d'ailleurs contemporain de la grande écrivaine Colette (ils se connaissaient et dans ma thèse publiée l'Autofiction dans l'oeuvre de Colette (Paris, éd. Publibook, 2009), j'ai taché d'en déployer les résurgences et points communs notamment en matière de mémoire involontaire et du traitement du temps). Alors me direz-vous, comment doit-on analyser cette formule érudite et simple en même temps, c'est ce qui en confère toute la beauté et force d'évocation. En voici la réponse. Les femmes qui lisent ne sont pas dangereuses, c'est ainsi qu'il faut l'interpréter (qui a bien pu avoir l'outrecuidance de divulguer et de propager le contraire ? Je me le demande encore !) ; pour continuer sur si belle lancée, elles sont adorables aux yeux de l'auteur ...éclairé que je salue encore une fois ! pour si belle vue ...éclairée & panoramique et ouverte au Monde de l'Amour, Noureddine... puisque ces-ses Femmes choisies sont ses amies... ! En cela et j'en terminerais là-dessus, l'élégant écrivain au beau style et chercheur académique, Noureddine Mhakkak (sorte de double salvateur au Maroc que je reconnais et revendique comme pair étant donné nos points communs à foison) se fait messager et exemplarité de la voix/voie à servir...
J'en ai fini présentement pour cet article situé (comme j'aime à le faire comme cadeaux pour le Maroc) dans l'entre-deux à savoir entre poésie par les beaux mots usités et choisis avec infinie délicatesse de ma part, me mettant à la place du Lecteur, toujours et ayant souci de sa bonne et belle réception mais aussi d'analyse par la réflexion et l'approfondissement des pensées pouvant possiblement servir de matière à réflexion, encore et toujours en direction et par souci d'une réception qui porte ses fruits et draine avec elle le plus de Monde possible sans exclure personne, jamais ... ! et sur la narration de la belle histoire merveilleuse pleine de métaphores, de symboles et d'images à la façon marocaine, mais je reviendrai.... Les lecteurs d'Albayane et les autres du Maroc pourrons compter sur et avec ma présence virtuelle puisque je possède une page publique Facebook intitulée : « Stéphanie Michineau : Ecrivain-chercheur ». A très bientôt donc pour la continuation de la belle aventure d'amitié-attirance Arts et Belles Lettres entre un écrivain contemporain marocain, Noureddine Mhakkak et une écrivaine contemporaine française, Stéphanie Michineau ; ou quand deux grands esprits se rencontrent, ils vont vous parler de quoi ? d'Arts et Lettres, toujours et encore dans un beau Style...


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