Est-ce le prix du « Zolpidem », psychotrope d'addiction de Kerry Kennedy, qui a grimpé, ou est-ce le polisarien qui a promis d' « être catholique maintenant », titre de l'ouvrage de celle qui adore jouer à la tamponneuse avec les camions remorques, qui l'a poussée à se remettre à dénigrer de nouveau le Maroc, au service du voisin de l'Est ? Dans un article publié sur le site de la chaîne de télévision américaine CNN, Kerry Kennedy a usé encore, et comme d'habitude, de la vieille astuce de la crédibilité inventée, par des citations reprises en boucle, censées se légitimer les unes les autres. Aminatou Haïdar, qui continue d'encaisser mensuellement son salaire de fonctionnaire communale de l'Etat marocain, fait ainsi une déclaration mensongère à certains journaleux européens, qui confondent par idéologie information et intox propagandiste et s'empressent de la publier. Déclarations qui sont reprises par Kerry Kennedy, comme étant des informations « vraies », puisque provenant d'une source proclamée « légitime », lauréate d'une distinction que Dame Kennedy lui a elle-même attribuée... offrant ainsi l'occasion à Haïdar de reprendre ses propres propos, relayés par Dame Kennedy, comme confirmés par une source « au-delà de tout soupçon »... De la sorte se fabriquent des « faits prouvés », diffusés par la suite à large échelle comme tels, de manière à manipuler l'opinion publique internationale et l'amener à croire dur comme fer que ces « faits » ont bel et bien eu lieu. N'ont-ils pas eu été repris maintes fois en boucles par les mêmes sources ! Il faut s'attendre à ce que les polisariens accordent, à leur tour, une distinction à Dame Kennedy, qu'elle pourrait faire figurer sur son CV. Renforçant encore plus son image de « militante humanitaire », donc d'une crédible accrue auprès des médias. Et, de ce fait, encore plus apte à relayer de nouveaux « faits avérés » totalement mensongers. Si Dame Kennedy devait faire ses discours anti-marocains devant un miroir, c'est Aminatou Haïdar que l'on y verrait. Et quand Haïdar s'adresse aux médias, c'est la lauréate de la distinction octroyée par la fondation présidée par Dame Kerry que les journalistes écoutent. Sauf que... il y en a marre ! Et ce ne sont pas les seuls Marocains qui le pensent. Partout dans le monde, nombre d'organisations de droits de l'Homme, jadis de renommée internationale, sont maintenant désignées du doigt comme étant au service d'intérêts occultes. Alors que les noms d'autres fondations, aux activités non moins « internationalement » douteuses, sont désormais accolés à de fausses révolutions, au cours desquelles la manipulation de l'information et des esprits a battu le plein. Bref, ça ne passe plus. Les gens, et ce, à travers le monde, ne croient plus en ce genre de contes. L'humanité souffre d'une indigestion d'intox après qu'on l'ait forcée à gober, au cours des dernières années, une quantité excessive d'informations manipulées, déformées ou même totalement inventées. N'est-ce pas, M. Collin Powell ? Dame Kerry, « the game is over », la partie est finie ! Même dans votre propre pays, tout le monde sait maintenant que dans les camps du Polisario, en Algérie, sont maintenues séquestrées depuis près de quatre décennies des populations marocaines d'origine sahraouie. Ils sont maintenant conscients que les jeunes de ces camps, écoeurés par le mensonge dans lequel ils ont grandi et fini par dévoiler, forment une véritable armée de réserve pour les narcoterroristes jihadistes qui sévissent au Sahara et au Sahel. Quant aux petits tours d'apprentis sorciers joués par les services de la sécurité militaire algérienne avec ces groupes jihadistes, chez eux comme au Nord du Mali, ce ne sont plus des secrets pour personne. Que ferez-vous, Dame Kerry, quand tout le monde saura que votre protégée Aminatou Haïdar distribue des billets de 200 Dhs à des adolescents de Laâyoune pour qu'ils aillent caillasser les forgeons de police au lieu d'aller s'instruire à l'école ? La magie noire de l'effet miroir va peut-être enfin se briser ! En fait, Dame Kerry, qu'allez écrire à CNN à propos de la répression sauvage à laquelle se sont livrés tout récemment les miliciens polisariens contre les populations des camps révoltés ? N'est-ce pas là la véritable « tragédie oubliée des droits humains » dont portent témoignage non pas quelques agents subversifs à la solde d'Alger, mais les milliers d'habitants des camps de la honte cernés de murs de remblais ? Faites attention, Dame Kerry ! Parmi les effets secondaires connus du Zolpidem, l'amnésie, les hallucinations, les cauchemars...