L'Hexagone ne semble pas avoir digéré le fait qu'aucune de ses entreprises ne figure parmi les quatre consortiums sélectionnés pour participer à l'appel d'offres pour la construction de la première tranche de la centrale solaire de Ouarzazate. Le pays compte se rattraper sur la deuxième tranche et annonce déjà par voie de presse (sur un portail spécialisé) ses ambitions. La machine du lobbying auprès des autorités marocaines ne devrait pas tarder à entrer en action. Pour rappel, lors des phases de présélection, la Fédération de l'énergie avait reçu la visite de plusieurs grandes entreprises françaises du domaine énergétique comme EDF et Veolia.