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DECÈS D'UN NOUVEAU-NE DE 8 JOURS : La clinique ne disposait pas de réanimation néo-natale
Publié dans La Gazette du Maroc le 31 - 07 - 2007

Les erreurs médicales se multiplient, mais ne se ressemblent pas. Beaucoup de décès ont eu lieu dans des hôpitaux ou des cliniques et peu de familles se rendent comptent de la cause réelle du décès. Une affaire scandaleuse éclatera dans les prochains jours, parce que le père de la victime est médecin chercheur. Un nouveau-né de sexe féminin est mort dans une clinique, 8 jours après sa naissance.
Le 30 juillet dernier, vers 9 H 15 mn, le père, médecin de son état, contacte le gynécologue de son épouse pour lui annoncer que, suite à ses prévisions, la grossesse est arrivée à terme. Ils se fixent rendez-vous à 10 H dans une clinique Casablancaise, choisie par le médecin traitant. Le père-médecin attendra 15 H avant qu'on lui annonce la naissance d'un bébé de sexe féminin. Mais quelques minutes après, commencent les prémices d'un drame : le nouveau-né présente des difficultés respiratoires.
Les équipements de la clinique, dit le gynécologue, ont connu subitement des pannes au niveau du réseau de distribution du service de réanimation néo-natale. Il fallait donc faire appel à une ambulance du SAMU pour transporter le bébé vers une autre clinique « mieux équipée ». 1000 DH pour le transport et 500 DH pour le pédiatre qui devait accompagner le nouveau-né dans l'ambulance.
Au service réanimation de cette deuxième clinique, le père-médecin devait débourser 5000 DH / jour. Le 8ème jour, on lui annonce le décès du bébé. Affaire à suivre, car le père n'est aucunement disposé à baisser les bras devant de tels agissements, surtout qu'il est lui aussi médecin.
BOISSONS ALCOOLISEES
Fermeture de l'épicerie du rond-point Shell
lusieurs plaintes ont été enregistrées contre un café sis Hay Nadia sur la grande ceinture. Une descente de la police judiciaire a permis l'arrestation de 18 personnes, dont dix jeunes filles et le propriétaire du café, où les habitués s'adonnaient à la consommation de la Chicha fourrée de chira. Les mis en cause ont été déférés devant le tribunal pour incitation à la débauche.
ACQUISITION D'APPARTEMENTS
L'escroquerie bête
Ahmed Nabil, originaire de Sidi Moumen, ne s'est pas fait exploser. Mais la fin de son parcours a démontré qu'il s'agissait d'un escroc, bête comme tout. Ahmed se faisait passer pour un employé du C.I.H et/ou de Sofac-Crédit. Il passait sa journée à guetter devant les locaux de ces deux établissements, d'éventuels acheteurs de maisons. Il leur promettait de servir d'intermédiaire, pour l'obtention rapide d'un crédit avec des taux bas.
Après leur avoir demandé de constituer un dossier, il leur faisait visiter des appartements, surtout dans les résidences d'Addoha, à l'insu des responsables et des promoteurs immobiliers. Mais le hic, c'est que Ahmed, lorsqu'il demandait à ses proies des avances variant entre 5.000 et 10.000 DH, il leur donnait un chèque, le sien. Deux de la dizaine de victimes qu'il a escroquées lui ont tendu un piège et l'ont attrapé pour ne le relâcher que dans les locaux du commissariat de police. Ayant des antécédents en matière d'escroquerie, Ahmed Nabil, né en 1967, était aussi recherché pour émission de chèques sans provision.
MEURTRE SUIVI D'UN VIOL
Zoubida qui disparaît en vedette
Un cadavre d'une personne de sexe féminin a été retrouvé dans un quartier de l'arrondissement Mers Sultan-El Fida. L'identification judiciaire a relevé des empruntes appartenant à une certaine Zoubida Soudki. Une fille connue dans le quartier pour sa bonté, sa générosité et sa légèreté aussi. Elle vendait de la drogue, buvait, couchait avec des hommes dont elle avait envie et soutenait, chaque fois qu'elle le pouvait, les sans-emplois.
L'enquête, qui a duré quatre jours après la découverte du cadavre, a conduit les policiers au meurtrier. Un débauché du quartier qui voulait coucher avec Zoubida malgré elle. Elle s'est débattue pour l'en empêcher. Il a fini par la tuer puis la violer et la sodomiser…morte. Lorsque les enquêteurs ont conduit le meurtrier sur le lieu du crime pour la reconstitution, les jeunes du quartier ont constitué une foule qui s'est acharnée sur les policiers pour leur arracher le coupable. Ils voulaient le luncher et se faire justice, tellement Zoubida leur était chère !
VOL DANS UNE MAISON
700.000 DH de bijoux disparus
F. Mouslih est une jeune dame qui vit et travaille en Arabie Saoudite. Comme beaucoup de filles du genre, elle a acheté une maison qu'elle a richement meublée et a confié la clé à son frère Mohamed qui venait de temps à autre veiller sur les biens de sa sœur et surveiller la femme de ménage qui s'occupait de l'entretien. Arrive la jeune dame d'Arabie Saoudite la semaine dernière, pour passer quelques jours auprès de sa famille. Mauvaise surprise. Elle découvre que ses bijoux, dont dix montres de luxe, huit bagues, deux bracelets et trois paires de boucles d'oreilles, le tout en or serti, ont disparu. Un portable de marque Motorola aussi. Une plainte a été déposée. Le butin est estimé à 700.000 DH. La police judiciaire de Hay Mohammadi a entamé son enquête et a remarqué qu'aucune trace d'effraction n'existait. Tout était bien à sa place, à l'exception des bijoux. Bien entendu, la sœur ne pouvait pas douter de son frère. Elle soupçonnait plutôt la femme de ménage qui aurait profité d'une courte absence du frère Mohamed, pour mettre la main sur le petit trésor. Mais l'enquête judiciaire n'a pas de cœur. Ce ne pouvait être que le frère, qui avait la clé, qui était capable d'un geste pareil. Quelques minutes d'interrogatoire ont suffi pour qu'un quart d'heure après, Mohamed Mouslih et les enquêteurs se retrouvent dans l'Ancienne Médina, chez un bijoutier à qui le frère a vendu les biens de la sœur. Une perquisition a révélé l'existence d'une partie des bijoux volés. Vol et abus de confiance. Tels ont été les chefs d'inculpation retenus contre le frère Mohamed.
INCITATION à LA DéBAUCHE
Descente dans un café
de Chicha
lusieurs plaintes ont été enregistrées contre un café sis Hay Nadia sur la grande ceinture. Une descente de la police judiciaire a permis l'arrestation de 18 personnes, dont dix jeunes filles et le propriétaire du café, où les habitués s'adonnaient à la consommation de la Chicha fourrée de chira. Les mis en cause ont été déférés devant le tribunal pour incitation à la débauche.


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