Les adversaires du Maroc ont essuyé un nouveau camouflet, jeudi à la plénière du Parlement européen à Strasbourg, par «le rejet de certains amendements» qu'il tentaient de passer dans des résolution relatives aux droits de l'homme. Echaudé par ses multiples déconvenues au niveau des commissions, le même quarteron a tenté d'introduire des passages aux résolutions relatives aux droits de l'homme et la démocratie dans le monde et la politique de l'Union européenne en la matière, aux relations entre l'Union européenne et la Ligue des Etats arabes et sur la coopération dans la lutte contre le terrorisme et aux priorités 2015 de l'Union européenne pour le Conseil des droits de l'homme des Nations unies. Comme à l'accoutumée, les passages toxiques colportés par ces mêmes personnes, qui ont fait du dénigrement du Maroc leur commerce, visaient l'état des libertés dans le royaume, son intégrité territoriale et sa souveraineté, mais ces tentatives ont été vaines, car dans lors du vote, elles ont été rejetées catégoriquement par les eurodéputés, sinon simplement ignorées. Dans une déclaration à la MAP, le co-président de la commission mixte parlementaire Maroc-UE, Abderrahim Atmoun s'est félicité de «cette nouvelle victoire» qui témoigne de la grande considération des eurodéputés pour le Maroc et son ancrage irréversible dans les valeurs démocratiques. M. Atmoun a tenu à rendre hommage à la diplomatie officielle et à l'abnégation et à la vigilance de ses collègues marocains au sein de la commission pour le suivi permanent de tous les textes produits par l'hémicycle européen afin de défendre les intérêts suprêmes de la nation et de conforter les relations privilégiées du royaume avec l'Union européenne.