C'est avec affliction que les Istiqlaliens de la ville d'Oujda et de l'Oriental ont appris le décès, survenu, après une longue maladie, dans la nuit du lundi 14 Ramadan 1437, correspondant au 20 juin 2016, de Haj Mohamed El Arbi, un des piliers du Parti de l'Istiqlal. Le défunt était le premier président de la municipalité d'Oujda après l'indépendance. Auparavant, c'était l'un des piliers de l'Organisation de la Révolution du 16 Août 1953 qui a asséné des coups bien ressentis au colonialisme français, tout comme il avait participé, aux côtés de ses compatriotes istiqlaliens, à plusieurs opérations de maquis. Le regretté disparu qui avait été « Mohtassib », durant des décennies, à la préfecture de la province d'Oujda et à l'ancienne Wilaya d'Oujda, avait également marqué le domaine de l'enseignement et de l'éducation, étant l'un des premiers fondateurs d'écoles privées, telle l'école Mohammadia dont le flambeau est porté par M. Faouzi El Arbi, fils du défunt. Il avait d'autant marqué le domaine des médias avec des écrits en matière de politique, culturelle et sociale. En cette douloureuse circonstance, nous nous joignons à l'inspection du parti à Oujda/Angad, à l'Organisation de la Révolution du 16 Août, à l'Organisation de la Jeunesse istiqlalienne, à l'Organisation de la Femme istiqlalienne et aux cadres de l'Agence régionale des quotidiens Al Alam et L'Opinion, pour présenter les plus sincères condoléances à l'ensemble des membres de la famille du regretté, de même qu'à la grande famille istiqlalienne. Puisse le Très Haut accueillir le défunt en Sa Sainte Miséricorde. Nous sommes à Allah et à Lui nous retournons