«Aujourd'hui, nous disposons des bases nécessaires et suffisantes pour la titrisation d'actifs et les émissions de Sukuks d'une manière générale», affirme Houda Chafil, directrice générale de Maghreb Titrisation. «Le Maroc a des besoins importants en matière de financement et il pourra actuellement s'adresser aux 2 marchés, local et international. Une émission de sukuks est considérée comme une opération de financement et non pas de cession. Cela a pour avantage de réduire l'imposition de 20 à 10% (à l'instar des intérêts bancaires) et de rendre de facto ces opérations plus attractives sur le plan fiscal.