Madrid/Alger En dépit du tapage médiatique accompagnant la visite du président algérien, Abdelaziz Bouteflika, à Madrid, un haut responsable espagnol a tenu à préciser lors de ses entretiens effectués à Riyad quelques jours après cette visite, qu'“il est prématuré de parler d'axe ou même de partenariat stratégique” entre son pays et Alger. Par contre, il a laissé entendre au cours d'un dîner privé que son gouvernement, comme le secteur privé espagnol, s'intéresse davantage au marché algérien qui s'ouvre selon lui, à pas de géant. “Ce serait bête de rester à l'écart alors que l'Algérie possède aujourd'hui pas mal de “cash”.