Le journaliste Quentin Müller du service Monde de la revue "Marianne d'à côté "et Thérèse Di Campo photojournaliste indépendante ont été expulsés du Maroc pour ne pas s'être conformés aux exigences législatives en matière de la déontologie journalistique en vigueur au Maroc. Eh oui, même les journalistes marocains, faute d'accréditation, ne peuvent en aucun cas exercer leur noble profession en toutes circonstances sans ce sésame. C'est ainsi par ici. La "Marianne d'à côté ", au regard de l'engouement qu'elle porte au Maroc, aura vite fait de dériver en s'empressant dans un article à la va-vite-fait, qui en dit long sur ses ressentiments, qui entre nous soit dit, n'est qu'une haine, mordicus, "et le mot est léger " que mène cette revue à l'égard du Royaume du Maroc. Mais là, n'est pas le sujet ! La "Marianne d'à côté " dans sa réponse à l'expulsion de ses journalistes du Maroc à la "version officielle de Rabat" reconnaît cependant « que pour avoir caché leur qualité de journalistes à la police marocaine des frontières ces deux individus se sont livrés, en se cachant derrière le fameux "d'après la presse locale " et "omettant la version officielle " que les deux scribouillards se sont livrés à des activités suspectes assimilées par les autorités à de l'espionnage ». Et du coup, vas-y que je tente, dans une énergie du désespoir de descendre les Institutions du Royaume reconnaissant toutefois, que : « Les journalistes qui atterrissent au Maroc pour des raisons professionnelles sont généralement munis de ce fameux sésame qu'est l'accréditation journalistique qu'ils doivent arborer aux autorités, avant leur entrée sur le territoire ». Et vas-y, que je t'en conte des choses à travers ceci, « un argument fallacieux, car au Maroc, les journalistes étrangers en sont réduits à se passer d'une telle autorisation. Et ce, pour travailler en toute indépendance au Royaume de Mohammed VI ». Peut-être, pour les médias français crédibles et ils sont nombreux, ceux autorisés, conformément à la Législation marocaine à avoir œuvré pour avoir les primeurs de l'information ce n'est pas le même chemin. Même les plus "français " de la chose se sont rendus à l'évidence. Et de "conditionaliser " la chose : « Tel ne semblait pas être le cas de Quentin Müller et Thérèse Di Campo, toujours "d'après la presse locale " les deux « salariés » de Marianne ont tenté de jouer aux apprentis sorciers en se livrant à des activités suspectes comme bon leur semblait comme si le Maroc était un territoire appartenant à la France et qu'en tant que Français, ils pouvaient faire ce qu'ils veulent sans avoir à rendre compte à qui que ce soit. Se faire passer ainsi pour des touristes en se rendant à Marrakech avant de se diriger vers Rabat et s'établir dans un hôtel à Casablanca pour entamer des activités hostiles juste pour viser le Roi du Maroc n'est aucunement envisageable pour aucun des Marocains, on le dit haut et fort, c'est un crime de lèse-majesté. C'est sous l'apparence d'une femme coiffée d'un bonnet phrygien qui représente la République française et ses valeurs traduites par cette devise qu'est « liberté, fraternité, égalité, que la France à travers la « Marianne d'à côté », s'exprime. Pourtant, il ne faut pas être devin, c'est un important symbole "république " et une icône de la liberté et de la démocratie qui est en train de s'écrouler à travers la revue de la "Marianne d'à côté " justement. On peut relayer la liberté d'expression que la France défend si bien à travers ce gazouillement sur X ou Twitter, c'est tout comme, du Docteur ès Lettres, Journaliste freelance Barbouch Rachid, « Mon article {sur Médiapart} a été supprimé par Edwy Plenel patron de Mediapart. Edwy Plenel est un journaliste qui a longtemps vécu en Algérie. Il y a fait sa scolarité et ses études universitaires c'est un ami de longue date des généraux algériens. Donc aucune surprise ». En effet, l'article de Barbouch Rachid qui ne faisait que relater l'aventure ou la mésaventure de Quentin Müller et Thérèse Di Campo, a été supprimé après que le sieur journaliste de son état le premier nommé, eut sollicité Médiapart pour retirer l'article de Barbouch dans « ses bienvenues sur nos lignes », "Hello @Mediapart @edwyplenel, je sais que c'est un blog, mais ce qui y est écrit est grave, faux et calomnieux. Pouvez-vous faire quelque chose ? Merci ». La réponse ne s'est pas fait attendre Edwy Plenel patron de Mediapart qui pourtant et régulièrement une fois par semaine sur les ondes d'une radio marocaine s'exprime librement sur tous les sujets, a eu vite fait de s'exécuter n'en déplaise à cette notion de liberté d'expression qu'opiniâtrement on ne cesse de brandir dans l'Hexagone pour le meilleur des principes. Qu'est-ce à croire ? Si ce n'est qu'un loup est dans la bergerie. Mais la solidarité de la presse française n'est plus à établir même à tort et ce, quel qu'en soit, le fameux x, avec ou sans preuve, la horde médiatique s'emballe dès lors qu'il s'agit du Royaume du Maroc, c'est connu, car dicté. On l'a vu accuser le Maroc, à maintes reprises à tort et à travers de balivernes sans avoir pu prouver la moindre présomption et Pegasus restera ancré à travers certains esprits du faux chemin de traverse emprunté par les médias français. Mais que veut-on ? Marianne est dépoitraillée elle n'est pas voilée et elle a le sein nu que l'on ne saurait voir ici bled, pour d'autres valeurs plus humaines celles-là.