Afin de réhabiliter le livre et encourager à la lecture, la médiathèque Tachfini a organisé mercerdi en collabioration avec la direction regionale de la culture la 2ème édition du « Carnaval du Livre » avec la participation d'en viron 600 enfants et quelques 6O jeunes volontaire pour l'animation des differents ateliers organisé parrallèlement animateurs. Outre le superbe carnaval qui a parcouru les principales artères de la ville d'El Jadida, de nombreuses séances de lectures et d'art de conte légendaire ont été du programme à la grande jois des centaines d'enfants interessés. La journée s'est cloturée en apothéose avec l'hommage rendu à l'ecrivain marocain Larbi Benjelloun en reconnaissance à ses grands travaux dédiés en particulier à l'Enfant Larbi Benjelloun, écrivain très célèbre au Maroc, est originaire de la ville de Fès, mais il habite àKenitra, il écrit des histoires pour petits garçons et filles et il écrit des livre aussi....... Spécialiste dans la littérature de l'Enfant, Larbi Benjelloun est connu pour avoir anticipé en 2005 sur l'idée du code de la famille. A ce moment-là, le code de la famille, dans sa nouvelle version, venait de naître et l'envie de le faire connaître auprès de l'opinion publique inspirait des initiatives. L'une de celles-ci a abouti à la réalisation d'un livret, dans le cadre de la coopération maroco-britannique, par l'écrivain Larbi Benjelloun. Ce livret, intitulé «Le juge de la famille : mes droits et obligations à l'égard de ma famille», explique, à la manière d'une bande dessinée, les principes de la Moudawana. D'abord édité en arabe classique, le livret a été ensuite généralisé à plusieurs réseaux associatifs à travers le Maroc. De là s'est révélée la nécessité de le traduire en langue amazighe standard. Grâce à l'appui technique de l'Institut royal de la culture amazighe, l'association «Femme Action», en partenariat avec l'ambassade de Grande-Bretagne, a lancé, vendredi 29 février, «Le juge de la famille» en tifinagh. Pour «Femme Action», avoir opté pour cette version répond aux attentes de plus en plus croissantes des populations parlant amazighes dans les différentes régions du Royaume, mais aussi à l'intérêt d'en faire un instrument d'éducation et de renforcement des capacités. Ainsi, cette version amazighe, qui aura coûté 63.000 dirhams, a fait l'objet, samedi 1er mars, d'un atelier qui a réuni 25 associations dotées de réseaux locaux actifs dans la lutte contre l'analphabétisme. 15.000 exemplaires du livret en tifinagh seront distribués et d'autres devront suivre dès que le besoin s'en fera sentir. Quelques 65.000 exemplaires du premier livret ont été distribués aux femmes ayant bénéficié de cours d'alphabétisation à travers plus de 300 ONG. Ce livret constitue un outil didactique et pédagogique qui explique, à travers la trame d'une histoire illustrée, les principales dispositions du code de la famille, d'une manière simplifiée et adaptée au niveau des bénéficiaires. Il est principalement axé sur les thèmes se rapportant au statut personnel, comme le divorce et la garde des enfants.