L'affaire de Sanae Marouani, la mère de 4 enfants dont le mari s'est remarié avec un faux certificat de ôzouba, délivré par un mokadem de Hay Nahda à Takadoum, un certificat de célibat sur une fausse déclaration d'honneur (charaf), suite. Le dossier confié au tribunal d'El Oussra, n°583/212/31, a attiré l'attention de Ramid qui ne compte pas le ranger dans les archives. Il faut savoir que l'association féminine en a fait son cheval de bataille et que les enfants ont été exclus parce qu'ils n'ont pas d'extrait d'acte de naissance. Le mari volage n'avait pas de livret de famille. La femme abandonnée avec ses 4 enfants, qui survivent difficilement, ne compte pas se taire. Elle va dénoncer à qui de droit cette injustice qui paraît invraisemblable à l'heure où la société est sur le qui-vive. A suivre. stop. Quand on compare les vaches hollandaises de la Foire Agricole de Meknès, qu'on a vues dans la belle page pub sur un papier glacé, avec les vaches rabougries et chétives qui paissent dans la vallée de Akkrach, on se dit « maitra bass ». Les pauvres bêtes au croisement de l'autoroute et de la pente qui mène au barrage font pitié parce qu'elles tiennent à peine debout. Le visiteur qui vient de l'Ukraine ou des Ardennes pour mesurer la température agricole à la Foire de Meknès et qui repart dans son pays sans voir le reste du pays, gardera une image idyllique avec des stands occupés par des taureaux de Abda et des vaches du Saïss, bien nourris, sans savoir qu'au souk du dimanche à Akkrach ou à Aïn Atiq, il y a des bêtes de somme, en somme bien fatiguées, à qui on a interdit de faire la foire… stop. A Témara, aux lotissements Anissa, un fonctionnaire des Eaux et Forêts ménage son entourage sous le moindre prétexte comme s'il était dans une réserve, chasse gardée où personne n'a le droit de se plaindre. Le Caïd était au courant du comportement de cet homme ainsi que la justice. Ce fonctionnaire a intérêt à changer de « mouâmalate » avec les citoyens qui ne vivent plus sous l'ère de la siba. A suivre. stop. On n'avait jamais encore vu ça. Un hammam à 250 dh…. Même avec un massage thaïlandais ou japonais, ça ne vaut pas le déplacement. C'est vrai qu'on avait déjà tout vu sur cette rive droite à la tarification maladroite du côté de l'Oued, mais Tom et Jéremy qui gèrent un fitness pour oulad ennass, devraient savoir que ce n'est plus un club privé, depuis sa réouverture, et depuis que la NC a crevé les abcès du favoritisme. Qu'ils se rappellent que la piscine pratique un prix piscine privée qu'on retrouve partout, alors que son hammam n'est pas celui du Bristol où Sarkozy se croyait en Malaisie avant le Printemps que l'on sait. stop. Le chalet vert en face d'El Kamra sur la route des concessionnaires auto, à deux pas de l'autoroute, n'est plus. Il a été démoli sans attirer l'attention des derniers défenseurs des valeurs urbaines. Il n'y a plus que 2 hauts palmiers qui n'ont pas été vendus par les palmipèdes de la spéculation immobilière. stop. Depuis la mort de Ali Bab, l'ex-patron du magazine « Forbes » qui avait invité à Tanger au Solazur, avant qu'il ne soit vendu à Caligula, Elisabeth Taylor, Giovanni de Fiat sans inviter Doghmi, et autres monstres sacrés de la finance internationale, pour ses 70 ans, le canard du canard à l'orange et du pognon publie ce qu'on lui raconte par e-mail au lieu de se rendre sur place pour dresser ses classements. Mais, il est vrai que les vrais milliardaires dans le pays du soleil couchant à la belle étoile, n'ouvrent pas facilement leurs portes. Si bien qu'on ne sait pas exactement où ils en sont et quelles leçons en tirer. Alors que, ailleurs, on sait tout sur les grandes fortunes et combien elles donnent de tunes aux associations caritatives au bord de la dérive. stop. A Dar Es-Sakka. El Bak ma izhek. Dans le temple de l'argent, la direction ne dépense pas un centime sans justification. Ce qui est bien vu par Bank Al-Maghrib qui n'aime pas le gâchis et les dépenses inutiles. En pratiquant l'austérité, la direction ira loin, disent des pingouins qui se taisent dans leur petit coin. stop. Mehdi Abdou a montré sur 2M ses prouesses musicales, un artiste sincère qu'on peut voir sur Facebook, un nom à retenir… stop. Une adolescente qui a été obligée d'aller faire une commission, est montée à la terrasse où elle s'est jetée dans le vide. Un drame qui a marqué le quartier de l'ex-SAFT, monument historique démoli par Boutoukhross. Quelles que soient les raisons qui ont jalonné ce geste stupéfiant, l'indignation est générale dans le quartier. stop. Un technicien Ould Ennass car il n'y en a pas que dans les officines de pharmacie qui vendent des somnifères à crédit et dans les offices qui ont le sens du partage. En effet, quand on appelle ce connaisseur du satellite et du modem – pas celui de François Bayrou qui sera ministre des Habous dans le gouvernement de François Hollande – pour qu'il vienne réparer la télé en panne, sans se déplacer, il dit au client en détresse de prendre la parabole, d'appuyer sur « Exit » et de suivre ses directives jusqu'à ce que le satellite redémarre… et que les images par milliards reviennent. Un autre moul parabole se déplacera pour jouer au « tiknissiane » pour toucher 20 ou 30 dirhams alors qu'il s'agit d'une simple manipulation de touches qui donne du fil à retordre aux saintes-nitouches. stop. Le concours du livre à Tanger offre 10.000 dh à l'écrivain vainqueur. Mais vraiment et sans rancœur, dix mille dirhams, c'est quoi pour quelqu'un qui s'est crevé pour rédiger un texte publiable ? Un prix honorifique sans pactole qui affole, c'est plus symbolique. stop. « Sensibilisation aux dangers des mines antipersonnel entre les provinces de Smara et Assa-Zag ». Il y a certainement un complément d'info qui manque. Car le terrain est miné de Gueltat Zemmour à Bir Lahlou en passant Amgala et autres Mahbès, à une époque où les armes ont chassé la gazelle qui est revenue dans les 4x4 des rallyes rêvés par Moul bali qui rêve de Bali, Bahia et Baltimore… stop. A la veille du grand soir qui attendait le pays des 365 fromages, des plaines du Limousin et des châteaux de la Loire, très peu d'observateurs ont osé formuler des prévisions sur les élections de la dernière chance de la France. Comme l'avait fait « Jeune Afrique » en mai 1981 en publiant à sa « une » la photo de François Mitterrand, quelques heures avant le résultat des législatives. Une audace pour l'hebdo africain publié dans le pays de Charlie Hebdo. Durant toute la dernière semaine, avant le jour « J » et l'heure « H », François Hollande qui allait voir exploser les Champs Elysées et le boulevard Vaugirard, peu de spécialistes ont prévu la défaite d'un Sarko qui a commencé par s'en prendre à la racaille avec un air de gendarme de Saint Tropez – il est moins drôle que De Funes – pour terminer dans la ratatouille où ses proches doutaient d'une victoire même à la Pyrrhus, De Douste Blazy, humilié dans une soirée anti-sida par des membres de Act-Up dont Himmich se réclame pour qu'on lui fasse de la réclame, en passant par Rama Yade qui n'a pas signé la motion de soutien à Nicolas moins prisé que Félix Potin, Chantal Jouhaneau, Fadela Amara qui a compris qu'elle comptait pour du beurre, contrairement à la Bernadette girouette logée par les Hariri qui appelle à voter pour le maire de Neuilly qui a cru qu'on pouvait diriger l'Elysée comme on dirige une mairie du Cac 40 et des fervents de Down Street. Dimanche soir, le dernier tour, Sarko va chanter avec Laurent Voulzy « Et les Beatles chantaient… et…. ». stop. Parlant du programme de Mawazine, un confrère parle à juste titre de la participation de la nièce accueillie dans la liesse et de Red One que des mauvaises langues appellent Redouane comme le chauffeur de taxi habillé en maxi, le producteur en vogue qui a, nous dit-on, lancé Lady Gaga… Pourquoi pas Lady Chatterley… ? stop. Enfin, la même page variétés dans ce support économique qui ne veut rien rater pour ne pas paraître pour un raté, raconte que l'attachante Naïma Samih est la Piaf marocaine alors qu'elles n'ont ni le même parcours ni la même destinée. Peut-être Hamdaouia qui n'a pas connu de mal de dents avec un Marcel Cerdan… stop.