Que des conseillers soient déroutés dans leur politique du « laisser pourrir » par une gestion soucieuse des intérêts des citoyens réussie avec brio par une assemblée à majorité istiqlalienne et un président respecté par ceux qui l'ont fait élire, on peut comprendre, politique politicienne et intérêt partisan obligent ! Qu'une soit-disant opposition tente tout pour ternir l'image et du président et du parti auquel il appartient par des accusations à odeurs d'allégations mensongères et des poursuites dites symboliques et qui ne peuvent d'ailleurs qu'être symboliques par leur parti pris connu et reconnu et par leur manque d'éléments tangibles pour corroborer leurs allégations mensongères, c'est déjà inadmissible mais… Que l'indécence ait atteint un degré de schizophrénie et d'hystérie qui pousse au mensonge et à tout subterfuge pour induire la population en erreur, c'est vraiment lamentable. La commune a déjà fait l'objet d'inspections différentes, inspection générale de l'Administration territoriale, la Cour des comptes et autres, aucune dilapidation de deniers publics n'a été relevée. Le président lance d'ailleurs un défi à ses détracteurs de donner une seule preuve de dysfonctionnement, de dilapidation ou de projets fictifs dans cette commune. La commune s'apprête d'ailleurs à concrétiser des projets structurants pour le développement d'Itzer, loin de cette zizanie voulue et orientée. Le recasement et la réhabilitation du « Ksar Laqdim » avec un coût estimé à 2 milliards 200 millions, la réhabilitation du réseau de distribution d'eau potable d'un coût de 7 millions de dhs et ce, grâce notamment aux efforts consentis par le nouveau gouverneur pour promouvoir la récente et jeune province. L'instigateur de cette mascarade est connu, le mobile aussi. On finance des mouvements depuis que le président a eu le courage, malgré le degré de parenté avec un entrepreneur, de refuser certaines demandes peu orthodoxes. Toute la population d'Itzer sait que le différend entre le président et l'instigateur est d'ordre personnel et familial et qu'on veuille sortir des animosités de la sphère du privé vers le débat public, à chacun sa morale ! En tout cas cette morale n'est pas celle du président initié à la grandeur d'âme du parti du Zaim Allal El Fassi. Le compte administratif a été toujours voté à l'unanimité, on se demande si ceux qui s'en prennent au président disqualifient aussi tous ceux qui ont voté en toute âme et conscience, et qui sont d'une moralité exemplaire selon les habitants que nous avons pu interroger sur le sujet. Ces donneurs de leçon peuvent-ils expliquer le rejet du compte administratif de trois communes de leur obédience ? Et auront-ils le courage d'interpeller le président de la région sur la marginalisation qu'il fait subir à cette commune ? Dans la gestion de la chose publique, les acteurs doivent avoir le courage de résister à la tentation de prendre des postures démagogiques, infructueuses, souvent accusatrices à tort et surtout génératrices d'effets pervers susceptibles de déboussoler le citoyen, de le laisser à la merci de manipulations médiatiques et des procès d'intention. La dernière session du conseil soldée par l'approbation du compte administratif à l'unanimité, pose un vrai problème de « crise de sens » pour certaines personnes. Cela tient à la difficulté, voire l'impossibilité de proposer une vision cohérente, crédible de références et capable de dépasser la démagogie accusatrice, nihiliste vers une vraie critique constructive, respectueuse des institutions, des compétences de chacun pour la mise en forme d'un projet sociétal commun qui puisse répondre aux aspirations légitimes des citoyens d'Itzer. . La protestation qu'on a voulue initier à Itzer, profitant du climat ambiant, ne peut qu'échouer parce qu'il manque d'objectivité et de décence. Le conseil continue de réfléchir sur les meilleurs moyens de lutter contre la précarité conformément au vœu de Sa Majesté, et la préfecture, en la personne de M. le gouverneur, se veut un véritable garant de la transparence dans la gestion des affaires publiques et un chef d'orchestre pour la mise en œuvre et la réussite de l'INDH initiée par le Souverain. Les adeptes du nihilisme n'ont donc qu'à changer leur comportement pour s'impliquer dans ce projet du règne ou avoir la décence de se taire… Les temps ont changé, les paroles creuses et vides de sens n'ont plus de pignon sur rue, on a plus qu'à se soumettre aux valeurs défendues par une majorité démocratique ou se démettre…