Ciment du Maroc ne voudrait pas être surpris par un redressement fiscal. Pour cela, «la société a constitué par prudence et sur la base des études de ses conseillers fiscaux, une provision pour faire face au risque de redressement». C'est ce qui ressort de l'attestation des commissaires aux comptes relative à l'exercice 2007. D'ailleurs, il est aussi fait mention que la société a fait l'objet en 2006 d'un contrôle fiscal au titre de l'IS, de l'IGR et de la TVA couvrant les années 2002 à 2005. Des notifications lui ont été adressées mais la société conteste l'ensemble des remarques notifiées.