Dbibina est songeur... Il ne cesse de s'interroger sur la profonde et insondable légèreté des gens qui persistent à vouloir avancer en regardant derrière eux. Des gens qui se sont enfermés dans le passé, qui refusent de voir le présent, qui refusent de considérer l'avenir, malgré toutes les preuves à leur disposition. Dbibina ne comprend pas que des gens comme Zakaria Boum-ni, Ali Lmra-bête et tant d'autres encore continuent à penser l'appareil sécuritaire du Maroc comme leur ennemi et l'ennemi de tout le monde, alors même que les chiffres sont là et que la réalité saute aux yeux : la police est l'émanation de la société et elle est aussi son amie. Mais Dbibina comprend finalement qu'il n'y a pas que l'amour qui rend aveugle, la haine aussi. La haine de soi, la haine des autres, la haine de tout et la haine contre tous. Là où la DGSN parle de fonctionnaires, ces individus ne voient que des tortionnaires et là où la DGSN multiplie les services, eux ne voient que des sévices. À écouter le malade hurlant Boum-ni et l'autre, plus discret, Lmra-bête, et leurs congénères, le Maroc et les Marocains sont en insécurité. Même si le Maroc vit bien et que les Marocains le sentent bien, même si les pays étrangers sollicitent les uns après les autres l'expertise de nos services de sécurité, eux voient le mal, encore le mal, toujours le mal. Dbibina implore le Créateur de leur venir en aide. Il n'est jamais venu à l'esprit de ces nihilistes que si la DGSN déploie 454 arrondissements de police sur le territoire, gérés et interconnectés par des réseaux numériques ultraperformants, c'est pour accroître l'offre de sécurité et non pour quadriller le pays, comme ils disent. Quand la police parle d'offre sécuritaire, elle montre son positionnement dans un cadre de gouvernance positive, managériale, pour répondre à une demande de sécurité. Les 20 millions d'appels d'urgence et les 900 000 interventions qui ont suivi sont la preuve de l'adhésion de la population et de sa confiance en sa police. Et pour cause ! Baisse de 25% des crimes de meurtre et de coups et blessures entraînant la mort, recul des agressions sexuelles de 4%, réduction des vols de voitures de 19% et des vols violents de 6%. On peut hurler autant qu'on veut devant sa caméra, les faits sont là, têtus, et le sentiment de sécurité est significativement renforcé, n'en déplaise à nos «amis». Il est également renforcé par l'orientation résolument scientifique et hautement technique de la police nationale. Boum-ni, Lmra-bête et les autres en sont encore à penser que la police agit sur coup de tête, réussit par pur hasard et quand elle coince, elle frappe. Et non, Messieurs, et quelques Mesdames, l'Institut des sciences forensiques de la DGSN multiplie ses interventions et ses recherches, le Laboratoire de la police scientifique et technique à Casablanca conserve, pour la 6ème année consécutive, la prestigieuse certification qualité ISO 17025, le service central et les laboratoires régionaux d'analyses des traces numériques expertisent à tour de bras... La digitalisation des services de police est aussi une marque de la modernisation de notre police. Dbibina a lu le rapport bilantiel de la DGSN et il se réjouit de la plateforme « tiers de confiance » qui permet aux citoyens d'utiliser tous les services administratifs numériques en étant rassurés sur la protection de leurs données personnelles. Mais les hurleurs ne peuvent comprendre cela, empêtrés qu'ils sont dans leur haine ! Quoi que la police fasse, elle est stigmatisée par ces pauvres gens en situation de mal-être. Dbibina se rappelle de ce proverbe qui veut que «quand on veut tuer son chien, on l'accuse de la rage», au point d'en devenir enragé, et il n'y a qu'à voir Boum-ni s'exprimer pour comprendre ce que veut dire être enragé. Enragé, oui ! Lui et d'autres, des exilés paumés, qui vivent mal le mal du pays et imputent tout le mal à la police. Ils ne voient pas que notre police, qui a connu une véritable mue, qui s'est professionnalisée, est sollicitée par Interpol, le FBI américain, la DGSI française, la sûreté belge, saoudienne, portugaise, allemande, autrichienne, ivoirienne, burkinabè, et Dbibina en passe... Ils ignorent l'action de la police auprès des populations sinistrées suite au séisme d'al Haouz, quand les éléments de la DGSN ont le plus normalement et civiquement du monde donné de leur temps et de leur sang. Que nos «amis» nihilistes se souviennent, si les volutes d'amertume et de rancœur qui embrument leurs cerveaux le leur permettent : Tous ces événements internationaux organisés et parfaitement réussis au Maroc sont-ils le fruit du hasard ? Il faut bien les sécuriser et, plus important, que les invités du royaume se sentent en sécurité ; alors que nos «amis» demandent aux responsables du FMI et de la Banque mondiale, qu'ils demandent à l'ONU et à la CAF, la FIFA, aux Oulémas d'Afrique et d'ailleurs, et aussi aux services de sécurité du Saint-Père qui était au Maroc en 2019. Qu'ils leur demandent, et ils sauront de quoi est capable notre sécurité nationale età quel point ses éléments, à la DGSN ou à la DGST, sont empathiques, efficaces, discrets, rassurants. Dbibina n'a aucun scrupule ni aucune gêne à dérouler les réalisations de la police nationale, car il en est convaincu, elles sont le fruit de plusieurs années de travail, d'organisation, de responsabilité et d'engagement. Savoir-faire et faire-savoir, voilà comment on peut résumer l'action de la police marocaine ; le savoir-faire, Dbibina en a parlé et pour le faire-savoir, il est dans le regret de dire à nos nihilistes les niveaux d'abonnements aux comptes DGSN sur les réseaux sociaux : 480 944 sur X (ex-Twitter), 440 000 sur Facebook et 207 000 sur Instagram. Comment ne pas être fier de cette police efficace, efficiente, organisée et mobilisée ? Comment ne pas lui reconnaître ses mérites et ses acquis ? Comment ne pas se reconnaître dans son action ? Il faut vraiment être cinglé, estropié du cerveau, en pleine débâcle psychologique comme le sont nos «amis» pour nier tout cela. Dbibina félicite la DGSN et conseille un bon vaccin contre la rage à ces ravagés du cœur et du cerveau.