On savait que les sports de combat causaient parfois, souvent, des lésions dans le crâne des sportifs qui s'adonnent à ces disciplines, mais dans le cas de Zakaria Boum Boum, Zakaria Boum-ni, ce ne sont plus des lésions, c'est une destruction. N'importe quel médecin en première année de spécialité de psychiatrie verrait ces ravages à la première seconde de la première minute des vidéos de notre homme. Zakaria Boum-ni fait des vidéos sur la politique, mais il a très peu lu et il n'est pas sûr qu'il ait tout compris de ce qu'il a lu. Il enchaîne les insultes, les menaces, et pour prouver ce qu'il dit, il jure que c'est vrai. On a connu des méthodes plus crédibles. Il agite ses bras d'une manière désordonnée, il essaie parfois d'esquisser des sourires, mais des sourires tellement crispés qu'ils révèlent le mal profond qui l'atteint. Imaginez le nombre de coups qu'il a reçu sur la tête... le cerveau le plus robuste n'y résisterait pas, alors que dire de celui de Zakaria Boum-ni ! Ses gestes sont désordonnés, son regard est trop fixe, le débit de paroles et l'intonation se veulent porteurs mais ils démontrent le vide d'arguments et l'insulte gratuite contre les responsables du pays. Dbibina regarde ses vidéos et arrive toujours à la même conclusion, «cet homme est cinglé», et il ressent toujours le même sentiment, de la pitié face à la douleur interne que ressent cet homme ravagé. Depuis ce jour où, face à des journalistes passifs d'une chaîne française, il déchire son passeport marocain face aux caméras, sa folie s'est aggravée. Quand on détruit son passeport, c'est qu'on renonce à sa vie, son enfance, sa famille, son appartenance et son identité. Seul un être instable, peut-être fou, peut faire ça. Mais Dbibina refuse ce sentiment de pitié, qu'il ne pourrait avoir que pour un accidenté de la vie. Car Boum-ni, dans sa folie, est devenu méchant, et même bête et méchant. Il insulte tout le monde, et dès que le Maroc engrange un succès de plus, sa folie atteint des sommets. Par exemple, quand le royaume a eu le privilège et l'honneur de recevoir l'assemblée générale d'Interpol pour 2025, Boum-ni a pété quelques plombs de plus ; il crie, il postillonne, il insulte, il menace, sa voix devient aigüe, ses gestes sont encore plus désordonnés que jamais. Et un coupable à ses yeux, toujours le même, Hammouchi. Il fait une fixation, il a une obsession, pour le directeur général de la police du Maroc, au point de dire, dans son délire, qu'il a été auditionné par le président d'Interpol alors même que le patron de la police nationale a été félicité par le responsable pour la confiance accordée au Maroc par Interpol qui tiendra son assemblée générale 2025 dans le royaume. Hammouchi auditionné ? Non, Hammouchi ovationné ! que ça plaise ou non à Boum-ni, en proie à une grave crise de délirium dès que le Maroc est à l'honneur. Autre signe d'instabilité... son instabilité physique. Il quitte le Maroc après s'être brouillé avec tout le monde, et va en France. Il se brouille avec les français et va au Canada, où il est en train de se brouiller avec les canadiens. Cerveau ravagé par les coups reçus, cerveau embrouillé, embrumé, cet homme est malade, il faut le soigner avant qu'il ne commette des actes vraiment graves contre les personnes, comme il a commencé à faire à Montréal, en s'en prenant à plusieurs personnes, ce qui lui a valu une condamnation à la lourde amende de 30 000 dollars pour agression verbale. Dbibina prend à témoins les rares personnes qui ont encore la force de suivre les hurlements et les vociférations de Boum-ni sur les réseaux sociaux ; cet homme ment en se présentant comme un champion sportif, avec des titres qu'il est seul à voir, des performances qu'il est seul à connaître, des exploits dont il rêve seul. Il est animé par la haine, souffre de troubles de la personnalité, rejeté par la France, condamné par le Canada et insulte et même menace physiquement toute personne qui n'est pas d'accord avec lui. Dans ses vidéos, il accuse sans preuves et comme il n'a aucune preuve, alors il insulte. Il s'en prend à Hammouchi et à Interpol et à son président, qu'il insulte aussi. C'est aussi un trait de sa maladie psychique, ressentir de la douleur à chaque succès engrangé par le Maroc. Dbibina s'attend à ce que Boum-ni insulte la FIFA, la CAF, le FMI, la Banque mondiale, et tous les autres pays ou organismes qui font confiance au Maroc pour sa stabilité et sa sécurité. Même si ça ne plaît pas au prétendu boxeur devenu vrai cinglé.