Les milices du Polisario continuent de violer les principes les plus élémentaires des droits de l'Homme au vu et au su des autorités algériennes et médias algériens, qui se murent dans le silence dès qu'il s'agit de crimes commis par le fils gâté dénommé la république arabe sahraouie démocratique. Ces milices ont procédé depuis le mois d'août dernier à la privation de la jeune Sahraouie Mahjouba Mohamed Hamdidaf, agée de 23 ans, de son droit légitime d'expression et de circulation en toute liberté, ce qui représente une violation flagrante et inacceptable des droits de l'Homme tels que reconnus à l'échelle internationale et met à nu les allégations fallacieuses du Polisario et de son mentor l'Algérie qui prétendent la défense des droits de l'Homme et des libertés fondamentales. Pour la reconstitution des faits de cette affaire, cette jeune Sahraouie naturalisée espagnole s'est rendue dans les camps de Tindouf au sud-ouest algérien pour passer quelques jours avec ses parents biologiques avant que les milices armées de la pseudo Rasd ne lui confisquent son passeport, argent et documents administratifs, puis l'enfermer dans une chambre isolée sous la surveillance de la bande séparatiste.