Dans une histoire peu commune, la jeune Espagnole Cristina a fait preuve d'une détermination remarquable pour récupérer son téléphone portable volé, allant jusqu'à voyager dans un autre pays. Après s'être fait dérober son téléphone lors d'une soirée en boîte de nuit à Madrid, elle a décidé de ne pas rester les bras croisés, malgré les difficultés rencontrées avec la police espagnole. L'histoire remonte à une soirée où Cristina s'amusait avec ses amis dans une boîte de nuit en plein centre de Madrid. Au cours de la soirée, elle a posé son téléphone dans son sac avant d'entrer aux toilettes. À son retour, son téléphone avait disparu. Comme toute victime de vol, elle s'est rendue à la police pour déposer une plainte, mais la réponse qu'elle a reçue l'a profondément surprise. Les agents lui ont expliqué qu'ils ne pouvaient pas pénétrer dans le domicile indiqué par la géolocalisation (GPS) comme étant l'endroit où se trouvait son téléphone, car cela nécessitait un mandat de perquisition officiel, une procédure qui pouvait prendre beaucoup de temps. Quelques jours plus tard, Cristina a remarqué que son téléphone n'apparaissait plus à Madrid, mais qu'il se trouvait désormais au Maroc, précisément à Tanger. Sans hésiter longtemps, elle a réservé un billet d'avion et s'est rendue elle-même sur place pour récupérer son téléphone, malgré les risques et les défis que cela impliquait. Dès son arrivée à Tanger, elle s'est immédiatement dirigée vers le commissariat de police marocain pour signaler son téléphone perdu. Cette fois-ci, son expérience a été complètement différente de celle vécue en Espagne. En moins d'une heure, la police marocaine a obtenu un mandat de perquisition, a accompagné Cristina à l'adresse indiquée et a réussi à récupérer son téléphone. Cette histoire a suscité de nombreuses réactions, d'autant plus que Cristina elle-même a souligné la grande différence entre le traitement de son affaire par la police espagnole et marocaine. Alors qu'elle a été confrontée à des complications bureaucratiques en Espagne, elle a trouvé rapidité et efficacité du côté marocain, ce qui lui a permis de récupérer son téléphone en un temps record. Cristina est rentrée en Espagne avec son téléphone et une histoire hors du commun, mais aussi avec un message fort sur la nécessité de revoir certaines procédures légales qui entravent le travail de la police espagnole, en comparaison avec la dynamique qu'elle a observée lors de son expérience au Maroc. L'histoire de Cristina reste un exemple de persévérance face aux obstacles, mais elle soulève également des questions sur l'efficacité des systèmes de sécurité dans la gestion de tels incidents. Cette affaire poussera-t-elle les autorités espagnoles à revoir certaines de leurs lois ? Seul le temps nous le dira.