Même avec un handicap d'un partage des points ici à Casablanca, sachant que les mathématiques n'ont jamais accompagné le roi foot. Il est dit que Salhi (sans les petits ponts) peut à tout moment mettre le feu sur ce mythique stade du Sétif, dont, personnellement, j'en connais l'ambiance sportive et sa voisine, l'extra sportive qui n'a pas lieu d'être. Salhi mais aussi le «Rubesh», Ossagona, bon de la tête comme pour l'organisation du jeu, chose qui le place, à coup certain, vendable. Assurance pro Rajaouie vous me diriez comme si les locaux de Sétif seront là à voir et se taire. Oui, il y a ce baroudeur et terrible Ben Ytou , celui qui a lessivé un certain Chagou. Des individualités mais aussi du football collectif. Les 2 formations se comptent parmi les plus respectueuses en terre d'Afrique avec des palmarès fort honorables, écrits, d'ailleur en lettres d'or. Un derby Nord-Africain. Beaucoup d'enjeux sont pris en considération mais on gardera celui qui se déroulera sur le rectangle vert nonobstant, les surprises de dernière minute. Genre, le rituel arbitrage ou l'accueil froid qui, pour certains malintentionnés, fait partie du jeu. Un code pin « Mamfakinch » et c'est comme ça que le peuple rajaoui, ambassadeur du football national, ira à Sétif avec cette ambition Hakikia de ramener la qualification comme l'ont fait, par le passé, les courageux et talentueux copains à Fethi Jamal, cochés par feu Cabrita sous la houlette du président Retnani. Salhi, Romao et Boudrika, comme en 1989, pourquoi pas ?