Combien ils étaient 45.000 ou plus, 55.000 avec la fameuse « Abassia ». Ils étaient là et c'est le plus important. « Une identité, un dévouement, s'offrir du spectacle, imposer le produit Raja ». Filali Rachid jeune étudiant universitaire avait pris sa place à partir de 15h00. Le Wifak Sétif c'est du sérieux. On est en Ligue des Champions et c'est un podium Africain qu'il faudrait ne pas rater. Oui, mais voilà, les petits ponts à Salhi ne serviront à rien, par contre pour les scuds à Ben Ytou (45 et 65ème minute), « la Magana » eut des moments d'arrêt avant de ...réagir. Un replis défensif de l'ESS ponctué souvent par des contres forts organisés. Heureusement que les Karouchi (sur péno, 74) et, auparavant, Salhi (47ème) ont rattrapé, à temps, un retard qui pouvait être fatal, toujours qu'il est avant l'explication du voyage d'Alger. Des occasions de buts ratés, on signalera celles des Karouchi, Issen, Ossagona himself comme quoi, les Verts ont des potentialités d'inquiéter l'ESS même chez lui, à l'intérieur même de ce stade dit « d'Annar oua Al Intissar ». Romao très prudent avec 3 médians dont un Kokou et Ba Maâmer (casseurs de jeu). Il va falloir jouer le tout en terre d'Algérie et, c'est vrai, quand les Verts ont trouvé, leurs repaires (entrée de Hafidi et sortie de Salhi); les choses ont bougé dans le bon sens ... Le feu pour les uns, la victoire pour les nôtres. Voici un objectif qui reste jouable, applicable et valable. N'est-ce pas qu'on est en matière de football, roi des surprises.