Un pédophile : une victime de 5ans! Ce sont des enfants. Petits, fragiles d'esprit, et innocents. Mais c'est surtout leur manque d'expérience de la vie qui fait d'eux des proies faciles pour ces prédateurs : les pédophiles. C'est à Taourirt qu'habite «S», une fillette de 5ans. Une enfant comme toutes les autres ; qui sortait tous les jours pour jouer avec les gosses du quartier, pour se bagarrer avec eux, courir après le ballon bref, «S» vivait une enfance « normale ». «M», lui, est un père de famille âgé d'une quarantaine d'années (père de 3 enfants). Le monsieur avait une bonne réputation dans sa ville. Il n'habitait pas loin de la jeune fille. D'ailleurs, la maison de «S» était sur le chemin de son travail. Et il avait l'habitude de lui donnait quelques bonbons ou pièces de monnaies quand il la rencontrait sur son chemin. Une après-midi, la petite fillette jouait, comme d'habitude, pas loin de sa maison. Quand elle aperçut «M», de loin, elle se précipita vers lui espérant qu'il lui offrira son bonus habituel. Mais cette fois, «M» n'avait pas de bonbons sur lui, et il lui suggère de l'accompagner à l'épicier pour en acheter. La fille ne refuse guère. Mais la mauvaise intention de «M» les emmena à une maison abandonnée là où il abusa de la petite fille. Effrayée, la petite fille ne dit pas un mot. Mais le changement de son comportement intrigua sa mère qui finit par découvrir la cruelle vérité. Choquée et révolté, la mère se dirigea immédiatement vers le poste de police le plus proche. L'enquête a montré que «S» n'était pas la première victime de «M» et qu'il avait abusé d'autres filles un peu plus âgées qu'elle. «M» ne comptait sûrement pas s'arrêter là, et s'il était toujours libre en ce moment il aurait sûrement fait plus de victimes. N.A Il attaque sa femme au tribunal avec une arme blanche Mère de trois enfants et épouse d'un homme d'une quarantaine d'années. Son mariage a duré de longues années. Un vrai enfer, selon elle. Il la maltraitait et la faisait vivre un vrai cauchemar psychologique. La jeune épouse ne peut plus supporter la situation et demande, finalement, le divorce pour discorde. Ce que le mari n'a pu accepter. C'était le jour de la grande audience, et en sortant de la salle du tribunal de famille de Fès, le couple continue la dispute qu'il avait commençait à l'intérieur. Le mari n'a pu supporter les mots provocants de sa femme et le fait de se faire humilier par elle. Et d'un geste surprenant, il sort un couteau et l'enfonce dans le ventre de cette dernière qui tombe inerte dans une flac de sang. Se rendant compte de la gravité de son crime ; le mari essaie de prendre la fuite, mais il fut très vite rattrapé par les témoins de l'horrible scène. Après les avoir alertés, les éléments de la protection civile se sont rendus sur les lieux pour évacuer la blessée vers l'hôpital. La chance a été de son côté : malgré la gravité de sa blessure, la jeune femme a été sauvée. L'époux, lui, est soumis aux interrogatoires au commissariat de la police. Tout est mal qui finit mal. Coups et blessures volontaires : il écope de deux ans de prison C'est fou que, de nos jours, ce que le monde peut être violent et même insensé. Le jeune O. J. a été condamné par le tribunal de première instance à deux ans de prison assortis d'une amende pour avoir fracturé le crâne de M N avec une barre de fer . Les faits remontent à la nuit du 2 juin, lorsque O.J, vigile de son état, rentre de son travail un peu vers 20heures. Arrivé à hauteur de sa ruelle, il est stoppé net par M.N, ivre qui l'abreuve d'injures. La fatigue de la journée de travail aidant, une échauffourée éclate entre les deux hommes. Soulard habitué des faits M.N n'use pas de la langue de bois pour traiter O.J de tous les noms d'oiseaux. Il aura fallu l'intervention des voisins pour séparer les deux hommes Ne sachant plus se contrôler, O.J entre chez lui, se saisit d'une barre de fer qui traînait sur le sol et assène à M.N un violent coup sur la tête. Les pompiers sont vite alertés et M.N, couvert de sang, est conduit à l'hôpital. Une plainte est déposée le lendemain et les éléments de la Gendarmerie Royale sont partis cueillir O.J. Le parquet a retenu les charges de coups et blessures volontaires assortis d'une amende de 2000 dirhams pour les frais médicaux de la victime. Mais une intervention de la famille de O.J a fait désister la victime devant le juge. Malgré cela la sentence prononcée est de deux ans de prison avec sursis, 3500dirhams pour réparations des préjudices et 1000 dirhams d'amende.