Douze ans après la Déclaration de Marrakech relative à la prévention de la corruption, le Maroc n'a toujours pas trouvé le bon mécanisme pour lutter contre ce phénomène qui lui coûte annuellement 50 MMDH, soit l'équivalent de 5% du PIB. Si plusieurs initiatives ont été mises en place durant la dernière décennie pour endiguer cette mauvaise pratique, les résultats obtenus restent en deçà des attentes, comme en témoignent les bilans présentés lors de la conférence internationale organisée, les 24 et 25 octobre, par l'Instance Nationale de la Probité, de la Prévention et de la Lutte contre la Corruption (INPPLC). Le gotha de la lutte contre la corruption, qui a pris part à cette grand-messe, mise sur la digitalisation de tous les services de l'Etat, à commencer par ceux qui impliquent des transactions financières. Trouvez l'intégralité de l'article dans notre édition du 31 Octobre 2023, disponible en kiosque.