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Notre ambition est de hisser la région de Méknès-Tafilalet au rang qui lui échoit aux plans économique, social et culturel M. Mohamed Ansari, candidat istiqlalien pour le renouvellement du tiers de la Chambre des Conseillers
Prendre part à la course pour le renouvellement du tiers de la Chambre des conseillers n'est pas pour M. Mohamed Ansari une fin en soi mais seulement un moyen pour mieux défendre et promouvoir la région de Méknès-Tafilalet qui, déplore-t-il, recèle de réelles et inestimables potentialités mais qui est demeurée marginalisée des décennies durant sans que les gouvernements successifs ne s'en occupent suffisamment. Dans un entretien qu'il a accordé à «L'Opinion», M. Ansari, avocat , membre du Comité exécutif du Parti de l'Istiqlal, coordinateur pour le parti dans ladite région, président de commune, membre du conseil provincial d'Errachidia et du conseil régional de Méknès-Tafilalet, président de la commission de la justice, de la législation et des droits de l'homme à la Chambre des conseillers et fort d'une expérience parlementaire de seize ans, considère que le collectivités locales sont la clef de voûte de tout développement local, provincial, régional et national et que de ce fait et de par sa composition, la deuxième chambre qui se compose de représentants des collectivités territoriales, des chambres professionnelles et des organisations syndicales, constitue un cadre et une tribune appropriés pour la défense des intérêts de chacune de ces entités et, en particulier, des régions les moins favorisées comme c'est le cas justement pour celle dont il espère être le porte-parole sous la coupole. Le développement local est, rappelle encore M. Ansari, au cœur du programme et du fond doctrinal du PI à côté de la préservation de l'identité nationale, principalement à l'échelon régional et la région de Méknès-Tafilalet est, à ce titre, concernée au premier degré en tant que maillon essentiel du tissu économique, social et culturel national bien sûr mais également en raison de l'injustice dont elle pâtit depuis des décennies et des déficits qu'elle a accumulés en matière d'éducation, de logement, de santé et même au plan agricole alors qu'elle dispose de terres des plus fertiles du Royaume, constitue un impressionnant réservoir d'eau et dispose d'un tout aussi important patrimoine forestier… Le candidat Ansari est donc parfaitement conscient de la lourde responsabilité qu'il devra assumer aussi bien sous la coupole qu'en dehors de celle-ci à travers, précise-t-il, des propositions (de lois) «raisonnables et réalistes» et un programme basé sur la défense et la promotion des intérêts de la région de manière à lui permettre d'occuper la place qui lui échoit et d'en faire un pôle d'attraction (des investissements), notamment dans de domaine agricole étant donnés les atouts sus-mentionnés. Il sait aussi pertinemment que celle-ci manque cruellement de barrages à usage agricole, de centres hospitaliers universitaires, d'établissements d'enseignement supérieur, de maisons pour handicapés (et ils sont nombreux dans la région) et de bien d'autres infrastructures et services dont il affirme considérer comme des dossiers brûlants qu'il convient de traiter et de «plaider» en priorité et qu'il s'engage solennellement à défendre de toute son énergie conformément aux orientations et engagements du parti dont il est membre dirigeant et coordinateur pour la région considérée. Par conséquent, il lance un appel à tous les grands électeurs afin qu'ils assument pleinement leurs responsabilités en faisant le bon choix et en distinguant comme il se doit le bon grain de l'ivraie étant au demeurant convaincu qu'ils sont tout aussi conscients de leur devoir et qu'ils ont assez d'expérience, d'instruction et de sens de l'intérêt public pour voter dans le sens qui sert le mieux les intérêts de leur région et permet de la hisser au niveau «auquel nous aspirons tous».