Les inondations survenues récemment Casablanca révoltent les Casablancais et l'auteur des confessions dominicales aussi. Surtout au vu de l'immobilisme des responsables de la gestion de la ville. Dans ses confessions dominicales de ce dimanche, 10 janvier, Abu Wael Al-Rifi s'interroge sur l'utilité du wali et des onze gouverneurs qui sont en fonctions au Grand Casablanca, en plus du maire, au vu de ce qu'il vient de se passer. Le chroniqueur s'indigne face à l'absence de toute cette kyrielle de responsables locaux malgré les nombreux cris de détresse lancés par les Casablancais qui ont vu pour certains leurs toits détruits, pour d'autres leurs maisons inondées… Abu Wael affirme qu'il y a aura un avant et un après ces dernières inondations, tant la gestion de la capitale économique est chaotique. Les faux-fuyants, ajoute-t-il, n'y changeront rien. Cette gestion catastrophique constatées à Casablanca, analyse l'auteur, contraste avec les avancées spectaculaires réalisées par le Maroc grâce aux actions judicieuses de son Souverain. Version intégrale de la chronique : ICI
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