Abu Wael Al-Rifi place une partie de sa chronique hebdomadaire, de ce dimanche 10 janvier, sous le signe de la solidarité et de l'indignation. Solidarité avec notre collègue Ridouane Erramdani et indignation face au geste, incompréhensible, commis par le gouverneur en charge de la communication au sein du ministère de l'Intérieur qui a tenté de cacher le ciel par un tamis. C'est ce qu'exprime Abu Wael Al-Rifi dans une partie de ses dernières confessions dominicales. Dénonçant lui aussi l'absence du wali, du maire et des gouverneurs au moment où Casablanca était inondé et ses habitants souffraient le martyre, le chroniqueur s'indigne, avec la même force, contre l'appel téléphonique passé par le gouverneur en charge de la communication au sein du ministère de l'Intérieur à Ridoaune Erramdani. Pour rappel, ce gouverneur avait ainsi demandé à notre collègue de supprimer une publication concernant la souffrance des Casablancais et l'absence des responsables de la ville. Un acte que qualifie Abu Wael de réflexe révolu qui n'a plus sa place dans le Maroc d'aujourd'hui. C'est aussi avec la même force que dénonce l'auteur des confessions dominicales la série de mensonges que publie Ali Ammar concernant Ahmed Charaï. Abu Wael Rappelle que Ammar est un escroc notoire connu de tous qui ne peut en aucun cas porter à Moulay Ahmed Charaï dont le dynamisme, mu par son patriotisme, est exemplaire. En mettant en exergue les hautes qualités de Ridouane Erramdani et d'Ahmed Charaï, Abu Wael Al-Rifi salue leur engagement sincère pour la patrie. Par la même occasion, il rappelle leur quatre vérités à bien des menteurs malintentionnés dont fait partie Ali Ammar. Chronique intégrale : بوح الأحد
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