Dans ses confessions de ce dimanche 1er novembre 2020, Abu Wael al-Rifi s'arrête sur la grande victoire réalisée par le Maroc dans la défense de son intégrité territoriale et poursuit ses révélations sur certains droits-de-l'hommiste... C'est par le succès retentissant obtenu par le Maroc, en faveur du Sahara marocain, à la dernière réunion du Conseil de sécurité de l'ONU qu'Abu Wael entame ses dernières confessions dominicales. Le chroniqueur affirme que cette victoire mérite d'être méditée. C'est un signe édifiant sur la nouvelle approche avec laquelle est abordé le dossier du Sahara marocain sous une forte impulsion américaine, analyse-t-il. L'auteur voit dans la forte dynamique conduite par l'administration Trump, un développement positif qui ne déplaît qu'à quelques rares pays comme l'Afrique du sud qui voue une inimitié héritée du passé à l'encontre du Maroc. Abu Wael al-Rifi rapporte que les Américains ont savamment préparé et piloté la réunion du Conseil du sécurité en rejetant les amendements inadéquats et en imposant les bons termes de la nouvelle décision prise. Au vu de ce qu'il s'était passé, il n'est pas exclu, selon le chroniqueur, que les Etats-Unis inaugurent, eux aussi, leur consulat à Laâyoune. Le locataire de la Maison Blanche, poursuit le chroniqueur, a esquissé par la voix du secrétaire d'Etat aux Affaires étrangères, les contours du nouvel ordre mondial en annonçant la décision américaine de rompre avec Amnesty International et Human Rights Watch. Abu Wael al-Rifi souligne que ce nouvel ordre mondial est annonciateur du monde de l'après-corona. Un monde qui est désormais ouvert sur toutes les éventualités, écrit le chroniqueur, y compris celle pouvant voir arriver à la tête de l'Algérie, par exemple, un nouveau Président qui éviterait aux Algériens de devoir vivre, encore une fois, sous l'emprise d'un Président grabataire, incapable de gérer les affaires du pays et se laissant diriger depuis sa chambre de réanimation en Allemagne. Revenant à l'actualité nationale, l'auteur des confessions dominicales rend un hommage appuyé à l'artiste-peintre Mohamed Malehi et au journaliste Driss Ouhab, tous deux emportés récemment par le coronavirus. Le chroniqueur donne Malehdi comme l'exemple du patriote sincère et Ouhab comme le bvéritable ami à la fidélité sans faille. Par ailleurs, le chroniqueur consacre le reste de sa chronique à celles et ceux qui, sous prétexte de défendre les droits de l'Homme, en font un fructueux fonds de commerce. Il prévient qu'il continuera à les dénoncer en apportant de nouvelles preuves incontestables.