Donald Trump peut-il être dangereux pour la candidature commune à l'organisation du Mondial 2026 ? Les Etats-Unis, le Mexique et le Canada souhaiteraient organiser le Mondial 2026 ensemble mais les déclarations du président américain Donald Trump ne faciliteraient pas leur tâche.Le président de la Fédération américaine (USSoccer) Sunil Gulati a admis jeudi que la politique internationale du président Donald Trump pouvait avoir un impact négatif sur la candidature des Etats-Unis, du Mexique et du Canada à l'organisation de la Coupe du monde 2026. «Cela ne se joue pas seulement sur les stades, les hôtels et tout cela. Ce qui importe aussi, c'est la perception de l'Amérique dans une période difficile pour notre monde», a expliqué le dirigeant sur ESPN. «Il y a des choses qu'on peut contrôler, mais on ne peut pas contrôler ce qui se passe en Corée, ce qui se passe avec l'ambassade des Etats-Unis en Israël, ce qui se passe en matière de lutte contre le réchauffement climatique», a-t-il poursuivi, en référence à des décisions ou déclarations controversées de Trump depuis son élection. «Il faut qu'on se bouge pour convaincre à la fin du processus 104 personnes de voter pour nous», a conclu celui qui quittera son poste en février, tout en restant président du comité de candidature au Mondial 2026, pour lequel seul le Maroc a aussi déposé un dossier. Les Etats-Unis, le Mexique et le Canada souhaiteraient organiser le Mondial 2026 ensemble mais les déclarations du président américain Donald Trump ne faciliteraient pas leur tâche.Le président de la Fédération américaine (USSoccer) Sunil Gulati a admis jeudi que la politique internationale du président Donald Trump pouvait avoir un impact négatif sur la candidature des Etats-Unis, du Mexique et du Canada à l'organisation de la Coupe du monde 2026. «Cela ne se joue pas seulement sur les stades, les hôtels et tout cela. Ce qui importe aussi, c'est la perception de l'Amérique dans une période difficile pour notre monde», a expliqué le dirigeant sur ESPN. «Il y a des choses qu'on peut contrôler, mais on ne peut pas contrôler ce qui se passe en Corée, ce qui se passe avec l'ambassade des Etats-Unis en Israël, ce qui se passe en matière de lutte contre le réchauffement climatique», a-t-il poursuivi, en référence à des décisions ou déclarations controversées de Trump depuis son élection. «Il faut qu'on se bouge pour convaincre à la fin du processus 104 personnes de voter pour nous», a conclu celui qui quittera son poste en février, tout en restant président du comité de candidature au Mondial 2026, pour lequel seul le Maroc a aussi déposé un dossier.