Y a-t-il vraiment des contradictions fondamentales entre connaissance scientifique et vulgaire ? Avant de trouver la réponse opportune, d'abord il faut décrire la vulgarisation, paronyme de vulcanisation, détachée de toute liaison avec la science, terme purement spécifié. Pour y aborder il sera nécessaire d'être vous-même vulgaire, sens plus restreint de l'ignorance dans sa forme brute, discordance, incohérence... Depuis cette approximation, la connaissance vulgaire peut se combiner avec la langue vulgaire,qui signifie le discours libre sans lexique , rhétorique,ni lien logique. Cette image linguistique présente un théâtre favorable pour les discours spontanés, paroles creuses, courtes méditations, enfin pires jugements... Donc, la vulgarisation peut être définie par un champ bourré des informations désordonnées, usuelle quand même,où l'alternation de la raison avec le faux savoir. L'apprentissage dans ce cas sera une question de chance par coïncidence, une sorte d'aveugle- sagesse qui mènera fatalement vers l'incertitude et la douloureuse inquiétude. Toute sagesse non basée sur des épreuves approuvés ,ni sens clarifié ou concordance justifiée va sûrement nous enliser dans des conceptions confuses et ténébreuses, de nuit la nuit .en conséquence ;c'est de l'abstraite obscurité. En dépit de ça nous nous demandons, est-ce que la connaissance vulgaire présenterait toujours un oiseau de mauvais augures,ne présage rien de bon ? La réponse temporaire prendra lui-même une forme alternative, pareillement au matelas des isolés !, une fois positive l'autre au contraire. Puisqu'il y avait des expériences et épreuves justifiées et valables il n'y aura aucun inconvénient des les adopter comme acquit et référence pour la société afin d'en profiter, tant qu'ils soient admises scientifiquement. La science méthodique ne s'opposera jamais à la connaissance vulgaire en cas d'intersection concrète et utile .le but sera donc unifié pour les bonnes conséquences non les façons d'agir ou de dire. Le meilleur domaine, d'après cette déduction, qui doit embrasser aimablement la connaissance vulgaire ; c'est, favorablement ; la médecine au long terme .car celle-ci n'a aucun but hors l'intérêt de l'humanité, et que sa valeur dépend de sa large rentabilité qui doit être enfin, la guérison et le bonheur du patient. Si la connaissance vulgaire peut, depuis ses primitives procédures, assurer ce rêve il sera donc logiquement en intercession avec la médecine moderne, présumée exclusivement scientifique. Pour bien clarifier les choses ; il faut d'abord identifier la popularité en confusion de vulgarité. quand on dirait popularité nous rencontrons une série de termes parallèles aux sens, tout amples et profondes .il y a eu la population ;le peuple ,populaire , peuplement etc. cela nous mènent objectivement vers la patrie ,le patriote , citoyenneté, citadin et paysan,la civilisation et en fin la communauté. Nous sommes alors devant un héritage grandiose, un réseau entrelacé par divers activités et expériences, léguées depuis des siècles et époques. Cet héritage bourré d'informations et événements ne doit jamais être supprimé de l'idéal et la conscience gravée au fond populaire. Ses accumulations présentes dans les coutumes et traditions pourront être automatiquement scientifiques à cause des ses persistances, bien plus, ses efficacités qui jouaient toujours en faveur de telles ou telles populations. C'est une connaissance alors ; qui a conservé sa légitimité de sa propre nature , simplicité ainsi que sa rentabilité. Le rôle de la science ne prétend qu'à ce résulta, c'est d'être utile et avantageuse à l'égard de la société humaine et son environnement, rien de plus. A ce point là, s'entrecroisèrent la connaissance scientifique, terme purement scolaire, et la populaire .cette dernière n'est finalement qu'un ensemble d'expériences et procédures appliquées par coïncidence et admises collectivement, siècle après siècle, comme une écriture gravée sur une pierre. Donc la connaissance vulgaire peut être une matière particulière pour la populaire, ou plutôt ,brut pour la scientifique. Limage logique, approximatif, qui relie les unes aux autres est une simple transitivité mathématique, qui s'ordonna de cette façon : Vulgaire populaire scientifique, le résulta sera donc : Vulgaire scientifique, ou plus précisément : Médecine vulgairo- populaire médecine moderne. Cette transitivité peut se transformer en symétrie qui s'équivoquera naturellement selon les conditions et obligations : Vulgaire scientifique. Rappel : pour être un très bon médecin, ideal, vous devez adopter une belle croyance et attitude, soit religieuse, qui est la plus tolérable dans le domaine, soit une conception raisonnable qui tend à préserver un espace intellectuel et émotionnel dans son Moi profond. Un médecin qui ne tiens pas une telle portion ne sera, risquons le terme, qu'un simple technicien, ou plutôt un bon mécanicien !!! Un médecin qui n'a pas appris l'histoire médicale au sérieux ne sera jamais intéressé à l'histoire de son propre patient ! Le triage de la vulgarisation aux dispensaires et circonscriptions était toujours une efficace moyenne pour dépister les épidémies et les maladies provoquées collectivement. Hippocrate n'était-t-il pas un philosophe avant qu'il soit médecin ? Que deviendrait –il son sermon à présent ? Et Avicenne qu'en dites- vous ? Nous serons de retour, à bientôt…