Le Conseil supérieur de l'éducation, de la formation et de la recherche scientifique (CSEFRS), réuni jeudi à Rabat pour sa 17e session, a dressé le bilan des actions de son premier mandant d'une durée de cinq ans (de juillet 2014 à juillet 2019). "Le conseil est parvenu, en l'espace de cinq ans de travail, à produire une quantité honorable de travaux dont des études, des rapports, des avis et des évaluations globales, sectorielles et thématiques, ajoutant que ces travaux bénéficient d'une large reconnaissance de la part des institutions les plus prestigieuses aux plans national et international de la part des personnes averties marocaines et étrangères et des acteurs de l'enseignement et de la recherche scientifique qui y voient des travaux "utiles et opportuns, sérieux et pertinents, réfléchis et de bonne facture", indique le président du conseil, Omar Azziman. La directrice de l'Instance nationale de l'évaluation auprès du conseil, Rahma Bourqia, a, pour sa part, affirmé que les deux rapports au menu de la 17e session concernent essentiellement l'enseignement supérieur, et plus précisément le système universitaire à accès régulé et ses composantes se rapportant aux écoles d'ingénieurs, de commerce, comme l'ENCG et à tous les établissements qui sélectionnent les étudiants, pour ensuite le comparer avec le système ouvert qui a fait l'objet d'un rapport antérieur.