Il est indéniable que le dicton "Qui se sent morveux se mouche" se dit lorsque quelqu'un se sent coupable au point de se confesser. Cela s'applique parfaitement à TSA, le média tout ou rien sur l'Algérie qui, une fois de plus, a sorti un chiffon pour se torcher le nez. En effet le canard boiteux a eu vite fait de titrer, suite au drame qui a coûté la vie à deux de nos compatriotes, délibérément assassinés pour avoir été pris pour cible par un groupe armé : « Marocains tués au Mali : grossières accusations contre l'Algérie » et de s'en prendre à une certaine presse bien de chez nous et très au courant de la chose. « Cette fois, c'est l'assassinat de deux ressortissants marocains au Mali par un groupe terroriste qui est pris comme prétexte pour s'attaquer au pays voisin », poursuit la voix de son maître, ajoutant, « trois chauffeurs de camion marocains sont tombés dans une embuscade ». Il est une forte intention d'éclairer ces scribouillards de mauvaise prétentions, en leur précisant que les assaillants au nombre de quatre, qui plus est, étaient cagoulés et portaient des gilets pare-balles et qui ont quitté les lieux du crime sans le moindre regard à la cargaison transportée et sans emporter les camions, étaient lourdement équipés d'appareils ou d'armes militaires non conventionnels et de communication sophistiqués et qu'ils parlaient arabe avec un accent sahraoui francisé, selon forum FAR-Maroc, qui cite le témoignage de témoins oculaires. Au Mali, les langues dominantes sont le bambara et le français (langue officielle et administrative). L'arabe est très peu parlé (en queue de peloton), on le retrouve notamment au nord du pays dans quelques régions limitrophes à l'Algérie. Moult interrogations sur le mobile du crime Maintenant la question qui se pose, comment peut-on avancer que c'est un acte terroriste alors que l'enquête n'est pas encore bouclée et que, des sources maliennes font état de l'envoi d'une unité des forces spéciales marocaines au Mali pour l'enquête à Didieni. Le Maroc n'a pas désigné un quelconque coupable, pour l'heure, alors pourquoi tenter de s'innocenter, avant que de. Autant dire que si, acte terroriste est-il, cet attentat est pour le moins douteux. Pour quelle raison pourrait-on abattre et blesser aussi froidement et cruellement des camionneurs fussent-ils Marocains sans motif apparent. C'est clair cet acte de haine aura été, à coup sûr, conçu et ourdi par un ennemi du Maroc et dans la région, il n'y a pas besoin de compter il n'en est qu'un seul, suivez tous les regards du monde, ils ne désigneront que les services algériens et leurs sbires du polisario. C'est déchirant que de voir cet énergie du désespoir les envouter si soudainement car s'en prendre à des civils c'est pour le moins pathétique. Didieni est au nord de Bamako et qui au nord du Mali depuis que la France a annoncé en juin suspendre ses opérations militaires conjointes avec le Mali est le mieux placé pour profiter de la situation, c'est tout désigné, Algérie mon amour, Algérie pour toujours, par groupe terroristes interposés. En effet dans cette région nord du Mali, Al Qaeda au Maghreb Islamique (AQMI), le Groupe de soutien à l'islam et les musulmans (GSIM) ou qu'il s'agisse de l'Etat Islamique au Grand Sahara (EIGS), sévissent. Le terrorisme au nord du Mali et au Sahel alimenté par l'Algérie Ils tous ont un point commun, c'est un secret de polichinelle à part celui de combattre les forces internationales c'est de s'approvisionner en hommes chez le polisario et en armes en Algérie, sinon comment concevoir les "wanted" ou les mise à prix régulièrement publiés quant aux principaux chefs des groupes terroristes qui sévissent dans la région, (RVIM Al-Qaïda, et l'EIGS), tous des noms à connotations sahraouis pour la plupart dressés et élevés à Cuba sous les bons soins de Tindouf et d'Alger et qui en désespoir de cause et faute d'adversaires à portée de leurs minables Kalash, au demeurant, gracieusement fournies par le pays à l'Est de l'Eden, se convertissent à chaque arrivage en apprentis terroristes avant que de percer dans la hiérarchie extrémiste. Il semble que la responsabilité de l'appareil algérien et de ses milices terroristes installés à Tindouf se soit confirmée, à travers cet acte ignoble. Car pour l'heure, rien n'indique que ce soit là l'un de ces groupes qui ait pu commettre pareil acte au regard du modus operandi, un peu plus signé et à la perfection que celui d'un commando militaire d'un service bien plus établi que l'autre sauvage des terroristes. Les malheureux exécutants de ce massacre ou crime scrupuleux ne pouvant rien aux frontières marocaines et à la ceinture de sécurité, ont commencé à traquer des civils sans défense en Afrique, dans le plein respect de l'idéologie du terrorisme qu'ils ont contribué à engendrer dans la région du Sahel et du Sahara. Cet acte, ils devront bien finir par le payer un jour ou l'autre.