Dans une interview réalisée par l'hebdomadaire français Le Point, Abdelmadjid Tebboune ne s'est pas privé pour déverser toute sa haine envers le Maroc, la monarchie ainsi que son peuple. C'est une interview indigne d'un chef d'état que vient de donner le président algérien à l'hebdomadaire français Le Point. Abdelmadjid Tebboune s'y est attaqué pêle-mêle au Roi Mohammed VI, au peuple marocain et ses institutions en déversant sa haine viscérale du Royaume. « Le Maroc a toujours été l'agresseur. Nous n'agresserons jamais notre voisin. Nous riposterons si nous sommes attaqués. Mais je doute que le Maroc s'y essaie, les rapports de force étant ce qu'ils sont », commence par expliquer le président algérien lorsque les journalistes lui demande si la rupture du cessez-feu décrétée le 13 novembre 2020 par le Polisario pouvait entraîner un conflit régional. A la question de la reconnaissance de la souveraineté marocain sur son Sahara, Abdelmajid Tebboune enchaine : « Comment peut-on penser offrir à un monarque un territoire entier, avec toute sa population? Où est le respect des peuples? Cette reconnaissance ne veut rien dire. Toutes les résolutions du Conseil de sécurité concernant le Sahara occidental sont présentées par les Etats-Unis. On ne peut pas revenir, verbalement, sur tout ce qui a été fait par Washington pour faire plaisir à un roi ». Le président algérien insinue même que les habitants de nos provinces du Sud se retournerait contre la monarchie : « pourquoi les Marocains refusent-ils l'autodétermination? Parce qu'ils ont procédé à un changement ethnique qui a ses conséquences: les Sahraouis à l'intérieur du Sahara occidental sont aujourd'hui minoritaires par rapport aux Marocains qui s'y sont installés. En cas de vote pour l'autodétermination, les Marocains installés sur le territoire sahraoui vont voter pour l'indépendance parce qu'ils ne voudront plus être les sujets du roi. Il est paradoxal d'avoir une majorité marocaine et de refuser le vote d'autodétermination ». Ainsi, toujours selon l'homme de paille de la junte militaire algérienne, « dans cette relation (ndlr entre le Maroc et l'Algérie), le rôle honorable revient à l'Algérie. La rupture avec le Maroc –et je parle de la monarchie, pas du peuple marocain, que nous estimons– remonte à tellement longtemps qu'elle s'est banalisée ». Des propos surréalistes venant d'un chef d'état mais peu surprenant lorsqu'il s'agit d'Abdelmajid Tebboune toujours prompt à déverser sa haine sur ses voisins marocains.