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CSMD: L'UC, le PPS, le MP et l'AMPCC exposent leurs visions du nouveau modèle de développement
Publié dans 2M le 08 - 01 - 2020

La Commission Spéciale sur le Modèle de Développement (CSMD) a poursuivi, mardi 07 janvier à Rabat, ses séances d'écoute des partis politiques et des syndicats par une réunion avec les représentants de l'Union Constitutionnelle (UC), du Parti du progrès et du socialisme (PPS), du Mouvement Populaire (MP) et de l'Association marocaine des présidents des conseils communaux (AMPCC) qui ont exposé leurs visions du nouveau modèle de développement.
Ainsi, l'UC, représentée par son secrétaire général, Mohamed Sajid, a relevé que le nouveau modèle de développement doit prendre en compte la nécessité d'orienter une grande partie des investissements publics vers les secteurs productifs et pourvoyeurs d'emplois.
L'UC a mis l'accent sur la nécessité de reconsidérer certains aspects du développement au Maroc, de façon à diriger les investissements publics, destinés jusqu'ici dans leur majorité aux infrastructures de base, vers les secteurs productifs et pourvoyeurs d'emplois.
L'Union Constitutionnelle, qui a été également représentée par MM. Driss Radi, Chaoui Belassal, Ismail Hajji, Ahmedou El-Baz, El-Habib Dekkak et Abdellah El-Firdaous, a assuré que la réservation d'une grande partie des potentialités de l'investissement public aux secteurs productifs permettrait la création de davantage d'emplois, en faveur surtout des jeunes, et que le grand défi auquel le Royaume est confronté aujourd'hui est la grande pression sociale née du chômage qui touche certaines grandes villes et leurs agglomérations.
Pour sa part, le PPS, représenté à cette réunion par son secrétaire général, Mohamed Nabil Benabdallah, a estimé que le nouveau modèle de développement doit placer l'individu au centre du processus de développement, et que les fruits du développement doivent bénéficier à l'ensemble des Marocains et Marocaines, notamment aux niveaux de la formation, de la culture et de la santé.
La délégation du bureau politique du PPS a, en outre, souligné l'importance d'adopter une croissance économique rapide, stable et productive, notamment en luttant contre les politiques publiques de rente, en optant pour une économie nationale transparente et une industrialisation créatrice d'emplois, de richesse et de valeur ajoutée, tout en réévaluant certaines orientations dans le domaine agricole et en considérant l'environnement comme un axe essentiel dans la protection des richesses.
La délégation, qui comprenait également Mme Aicha Lablak, membre du bureau politique et présidente du groupe parlementaire du parti, et les membres de son bureau politique, Mme Charafat Afilal et MM. Abdeslam Seddiki et Karim Tej, a aussi mis l'accent sur la nécessité d'améliorer la gouvernance, de réformer la justice et de garantir un climat propice au travail et aux affaires, en luttant contre la corruption et en trouvant une solution aux décisions locale et territoriale et au déséquilibre entre les décisions des élus et les décisions administratives.
Le Mouvement populaire (MP), quant à lui, a souligné que le nouveau modèle de développement doit tenir compte de l'importance de venir à bout des disparités territoriales et de développer le monde rural.
Le Mouvement populaire, représenté à cette réunion par son secrétaire général Mohand Laenser, et les membres de son bureau politique, MM. Mohamed Hassad, Said Ameskan, Mohamed Ouhli, Mohamed Jaouad et Mme Wafae El Bouamri, a dit ériger en priorité l'élimination des disparités territoriales et le développement du monde rural, tout en relevant que le développement global et inclusif passe inéluctablement par le développement du monde rural.
De même, le MP accorde une importance particulière à la culture et à la généralisation de la langue amazighe, deux éléments qui contribuent à la dynamique de développement, sans pour autant perdre de vue l'importance de la culture dans le processus éducatif de l'étudiant et dans le façonnement de sa personnalité.
Il a en outre relevé l'importance de renforcer le rôle des collectivités territoriales et de la Région dans le processus de développement, en insistant sur la nécessité de permettre aux régions de s'acquitter de leur rôle en matière de développement, en particulier dans le cadre de la régionalisation avancée.
De son côté, l'Association marocaine des présidents des conseils communaux (AMPCC), représentée par son président Mohamed Boudra, estime que le nouveau modèle de développement doit reposer sur la construction du Maroc des régions et le renforcement de la régionalisation avancée, notamment en dotant les régions des ressources humaines et matérielles adéquates à même de leur permettre de tirer profit de toutes leurs potentialités.
L'AMPCC, également représentée par des membres de son bureau exécutif, en l'occurrence MM. Mohamed Moubdi, Mohamed El Milahi, Mouloud Bargayou, Mohamed Yassine Daoudi, Lahcen Amrouch, Abdelkrim El Hamss, Mohamed Chrourou, Mohamed Abounour, Saber Kiaf, ainsi que Mmes Wafa Bouamri et Mina Bouhdoud, a relevé que les régions du Royaume regorgent de potentialités importantes en termes d'investissement et de développement, mais ne sont pas exploitées convenablement, puisque les collectivités locales et les régions manquent de ressources humaines et financières adéquates.
Dans le même cadre, la CSMD avait également eu des réunions, samedi à Rabat, avec les représentants de l'Union Générale des Travailleurs du Maroc (UGTM) et la Confédération démocratique du travail (CDT), qui ont eux aussi exposé leurs visions du nouveau modèle de développement.
Ainsi, l'UGTM, représentée par son secrétaire général, M. Mayara Enâam, a estimé que le nouveau Modèle de développement, actuellement en phase de conception, doit immanquablement garantir les droits syndicaux et la protection sociale de la classe ouvrière, étant donné qu'un tel chantier ne peut être conçu sans tenir compte des conditions d'un travail décent pour les travailleurs marocains et de la préservation de leur dignité.
Lors de la séance d'écoute des ses représentants, l'UGTM a souligné l'impératif de faire du mouvement syndical un partenaire à part entière dans le processus développement économique et social, à un moment où s'impose le renforcement des rôles des médiateurs sociaux pour l'élaboration et la mise en œuvre du modèle de développement.
L'Union Générale des Travailleurs du Maroc, également représentée par les membres de son bureau exécutif Khadija Zoumi, Abdesslam Lebbar, Mustapha Mekroum, Mohamed Laabid et Hind Moutou, ainsi que le secrétaire général de la jeunesse ouvrière de l'Union, Hicham Harib, et la présidente de l'organisation de la femme ouvrière Fatiha Sghir, a souligné que la CSMD ne saurait remplir le rôle assigné aux partis politiques qui est celui d'esquisser les stratégies de développement d'autant plus que sa mission va au-delà de l'action partisane pour embrasser l'avenir du Maroc durant les cinquante prochaines années.
L'UGTM n'a pas manqué de se féliciter de l'esprit d'ouverture qui anime la CSMD dès lors qu'elle a veillé à la tenue de concertations sur le modèle escompté, notant que la dynamique de développement économique et social exige l'implication de tous les acteurs et des forces vives de la société.
De son côté, la CDT, représentée par son secrétaire général, Abdelkader Zayer, a appelé à revoir le mode de gouvernance en matière de travail, en accordant une place de choix aux syndicats à travers une présence au sein des conseils d'administration et de surveillance, afin qu'ils participent à la prise des décisions stratégiques qui concernent les travailleurs marocains.
La Confédération démocratique du travail, également représentée par son secrétaire général-adjoint, Khalid Alami Houir, et les membres du bureau exécutif, MM. Abdelkader Omari, Younes Firachine et Abdelmajid Radi ainsi que par deux membres du conseil national du syndicat, MM. Othmane Baka et Khalil Bensami, a insisté sur l'institutionnalisation du dialogue social à travers une loi cadre ou une loi organique relatives au dialogue et à la négociation, au lieu de focaliser sur la loi relative à la grève.
Aussi, la confédération a mis en avant l'importance de cette réunion, laquelle concrétise la revendication du syndicat qui a toujours appelé à l'ouverture d'un dialogue national, soulignant la nécessité de poursuivre la concertation autour du modèle de développement et d'en assurer le suivi, afin de réussir là où les autres plans ont échoué.
Toujours dans le cadre de ses séances d'écoute des partis politiques et des syndicats, la CSMD que préside M. Chakib Benmoussa avait eu une réunion, vendredi 03 janvier, avec les représentants du Mouvement démocratique et social (MDS) et de l'Union marocaine du travail (UMT).
Ainsi, le MDS, représenté par son secrétaire général Abdessamad Archane, a souligné que le nouveau modèle de développement doit être basé sur la consolidation du chantier de la régionalisation avancée, tout en mobilisant les moyens pour atteindre cet objectif.
A l'issue de la réunion du parti avec la CSMD, à laquelle étaient également présents MM. Mahmoud Archane, président de son conseil de présidence, Khalla Saidi, président de son conseil national et Driss Ghandi, coordinateur du bureau politique, il ressort que la perception du MDS concernant le nouveau modèle de développement repose sur quatre piliers fondamentaux à même de permettre l'implémentation des politiques publiques et le changement du quotidien du citoyen marocain, notamment la consolidation du chantier de la régionalisation avancée, tout en mobilisant les moyens pour atteindre cet objectif, en plus d'avoir recours à "des personnes à la hauteur des aspirations".
Les autres piliers concernent l'investissement dans l'élément humain, étant donné le rôle essentiel qu'il assure dans tout programme de développement, tout en accordant de l'importance au secteur de l'éducation et de la formation. La concrétisation de ces objectifs nécessite la promotion du processus démocratique engagé par le Maroc, en plus de l'importance de se doter de partis forts et à la hauteur des attentes, afin d'atteindre les objectifs fixés et conforter la particularité du Maroc au niveau international et son rayonnement qui constitue le socle de ce modèle.
Pour l'Union marocaine du travail (UMT), représentée par son secrétaire général Miloudi Moukharik, Amal Omari, Miloud Maasid, Ahmed Bahnis, Mohamed Haytoum, Noureddine Soulaik et Bachir Al Houssaïni, le nouveau modèle de développement devra prendre en considération le respect des lois sociales, la garantie des conditions de travail décentes et la réalisation de la justice fiscale.
En effet, l'UMT a mis l'accent sur la nécessité de garantir des conditions de travail et des salaires décents, ainsi que de couvertures sociale et médicale convenables, soulignant l'importance de résoudre la problématique de la justice fiscale, vu "la grande injustice" subie par la classe ouvrière, alourdie par le fardeau des impôts, notamment l'impôt sur le revenu.
La délégation de l'Union marocaine du travail s'est focalisée également sur le problème de la vulnérabilité dans le travail, qui "menace la cohésion sociale", étant donné que plusieurs secteurs professionnels embauchent avec des contrats à durée déterminée, outre la présence de plusieurs agences et sociétés de médiation.
En outre, l'UMT présentera à la CSMD un document comprenant ses différentes propositions afin que ce modèle de développement soit à la hauteur des aspirations du peuple marocain, à leur tête la classe ouvrière.
Jeudi dernier (02 janvier), La CSMD avait entamé ces séances d'écoute par une réunion avec les représentants du Parti Justice et Développement (PJD), de l'Union socialiste des forces populaires (USFP) et du Parti de l'Istiqlal (PI).
A cette occasion, le PJD, représenté par son Secrétaire général adjoint Slimane El-Amrani, avait mis l'accent sur un nouveau modèle de développement "basé sur la promotion des valeurs sociétales, la consécration du choix démocratique et la bonne gouvernance".
A l'issue de la réunion du Parti avec la CSMD, à laquelle étaient également présents MM. Mohamed Touil, Mohamed Naji et Driss Skelli, il ressort que les propositions du PJD relatives au nouveau modèle de développement s'articulent autour de trois thèmes principaux, à savoir "la nécessité de s'appuyer sur l'ensemble des valeurs sociétales inclusives et authentiques, la consécration du choix démocratique et le renforcement du système de gouvernance" et "la nécessité d'aller de l'avant et jusqu'au bout" dans le choix démocratique.
S'ajoutent à ces deux propositions, la "nécessité de renforcer le système de gouvernance", comme stipulé par la Constitution et ce, vu l'importance de ce volet dans la redynamisation du développement et la lutte contre l'économie de rente.
Pour l'USFP, représentée par le premier secrétaire du parti Driss Lachgar, Mme Khaoula Lachgar et MM. Hamid Jmahri, Mehdi Mezouari, Tarik El Malki, Machij El Karkri et Ahmed Aked, le pilier institutionnel se trouve au cœur de la vision du nouveau modèle de développement élaborée par le Parti autour de cinq principaux axes, que sont les piliers institutionnel, économique, social, sociétal et culturel.
En effet, par la voix de ses représentants, l'USFP a présenté plusieurs propositions dans le cadre de l'axe institutionnel, notamment en ce qui concerne la garantie de l'équilibre des pouvoirs et de l'acquittement de leurs rôles conformément à la Constitution et la réussite du renouvellement des élites et des compétences politiques, partant du principe: "pas de démocratie sans partis et pas de partis sans citoyens engagés dans l'action partisane".
Par ailleurs, et conformément au projet socialiste et démocrate adopté par l'USFP, le parti considère "fondamentale" la question de la modernité, tout comme la question de l'égalité, qui permet à la moitié de la société de jouer pleinement son rôle.
Pour le Parti de l'Istiqlal, représenté lors de cette réunion par son secrétaire général Nizar Baraka, le nouveau modèle de développement doit rompre avec l'économie de rente et des privilèges et adopter une gouvernance basée sur l'efficacité et la globalité.
Lors de la réunion de la CSMD avec le PI, représenté également par Chiba Mae El Aynane, président du Conseil national du Parti et Karim Ghellab, membre du Comité exécutif du parti et président de la commission du parti, chargée du modèle de développement, le parti appelle à passer d'une société de l'économie de rente et de privilèges vers une société où tous ses membres jouissent des mêmes droits et obligations et à passer de la gouvernance basée sur clientélisme et le favoritisme vers une gouvernance fondée essentiellement sur l'efficacité, le ciblage, la globalité et l'inclusion.
Le parti souligne aussi l'importance du renforcement de la cohésion sociale et de la réduction des disparités territoriales et sociales, mettant l'accent sur la nécessité d'investir dans les ressources humaines et de renforcer les capacités des entreprises, des institutions, des partis politiques, de la société civile et des syndicats.
Le PI a également jugé nécessaire de gérer les ressources rares d'une manière raisonnable, en l'occurrence l'eau, l'immobilier et les ressources financières, et d'économiser la consommation de ces ressources vitales, pour le bien des générations futures.
La CSMD poursuivra ses séances d'écoute des partis politiques et des syndicats jusqu'à mercredi. Ces réunions s'inscrivent dans le droit fil de la volonté de la commission d'approfondir les concertations avec les institutions et les forces vives de la nation incluant les partis politiques, les syndicats, le secteur privé et les associations et ce, dans un esprit d'ouverture et de construction commune.
Cette écoute large et ouverte vise, selon la Commission, à recueillir les contributions et les avis des parties sollicitées en vue de l'élaboration d'un modèle de développement.
Dans cette même logique de participation et d'inclusion, la CSMD avait fait savoir qu'elle mettra en place une plateforme digitale permettant de recevoir et de collecter les contributions et les idées soumises par les citoyens afin d'enrichir le débat et de partager les expériences et les réflexions.


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