Suite à la publication, dans notre précédent numéro (7 juin), dun article intitulé «LONA cédera-t-il Sopriam ?», la Direction du Groupe a tenu à faire une mise au point dont nous publions lintégralité : «Conformément aux dispositions légales en vigueur, et surtout pour la bonne information de vos lecteurs, nous vous prions de bien vouloir publier, avec une mise en page proportionnée à celle que vous avez consacrée à larticle intitulé «lONA cède-t-il Sopriam ?», le démenti le plus catégorique du Groupe ONA SA sur chacun des points factuels ainsi que sur lensemble des interprétations que larticle en question en a inférées. 1- Aucune tractation daucune sorte na lieu ni na eu lieu au sujet dune quelconque cession à quiconque de SOPRIAM, dont le métier, les résultats et le partenaire français ont toujours recueilli et continuent de recueillir lattachement et la confiance du Groupe ONA. Ces tractations nayant pas existé, elles ne pouvaient donc pas comme la affirmé votre publication être «suspendues». 2- Quant à linvocation de «perturbations survenues au sein de la filiale bancaire du holding» comme motif de la «suspension» desdites tractations, outre quelle est sans rapport avec lobjet de votre article, elle est également dénuée de tout fondement, cet établissement ayant à linverse renforcé ses règles de gouvernance et, dans le même temps, engagé un dialogue social dynamique et rénové avec les représentants syndicaux de ses collaborateurs. 3- Par ailleurs, les «rumeurs» dont votre article indique quelles «courent toujours» sur la «cession de Lesieur à son concurrent» - et dont vous observez dans la même phrase quelles ne sont pas confirmées ne sont que des allégations tout aussi dénuées de fondement. 4- Attaché à la transparence et lintelligibilité de son information en direction de toutes ses parties prenantes, ONA SA déclare purement spéculatives les allégations de recentrage de sa stratégie, en faisant observer quelles sont imputées selon la formule bien connue mais peu tangibles à «plusieurs observateurs» et diffusées sans vérification aucune auprès du Groupe. En vous remerciant de la diligente attention que vous voudrez bien accorder à la bonne diffusion de ces précisions, je vous prie de croire, chère Madame, à lassurance de nos salutations les plus cordiales». NDLR : La Rédaction prend acte; lavenir est meilleur juge.