La France veut accueillir deux agitateurs antisémites qui ne remplissent pas les conditions de l'obtention du statut de réfugié. Dans ce domaine, la logique de contrôle prime sur la supposée logique de protection. L'Office français pour la protection des réfugiés et apatrides (ofpra) devra prendre en considération l'ambiguïté qui entoure ces faux demandeurs d'asile et leurs scandales moraux. La Commission européenne l'avait annoncé depuis 2003 : «Le gonflement des flux composés à la fois de personnes ayant légitimement besoin d'une protection et de migrants utilisant les voies et les procédures d'asile pour accéder au territoire des Etats membres constitue une menace réelle pour l'institution de l'asile.» Et les sources de Barlamane.com sont catégoriques : «Le duo Filali, chassé de la Chine, et qui demande l'asile en France ne remplit pas les critères pour être considéré comme pleinement réfugié». L'instruction de la demande que le couple a déposée par les services compétents doit prendre en compte certains vérités que nous dévoilons ci-après. Selon les informations de Barlamane.com, le couple Filali coordonne ses actions avec Zakaria Moumni, «réfugié» au Canada, et profite du savoir-faire dans l'escroquerie de ce dernier pour médiatiser de manière mensongère son cas dans les médias français et auprès des ONG internationales des droits de l'homme, en prétendant « être persécuté » par les autorités marocaines et courir le risque «d'être torturé» s'il venait à «être refoulé» vers le Maroc. Il existe une grande similitude entre, d'une part, le scénario concocté par Moumni pour justifier sa demande d'asile politique au Canada en alléguant avoir échappé en 2016 à une tentative d'assassinat en France, «à la suite de son agression par quatre agents présumés des services marocains», et d'autre part, le narratif fantaisiste des Filali qui soutiennent avoir été victimes du même sort en Chine. Paradoxalement, Moumni soutient que la France ne peut plus assurer sa sécurité, au moment où les Filali sont en train de formaliser une demande d'asile politique dans ce pays, en soulignant qu'ils ne se sentent plus en sécurité en Chine. Grâce à l'entremise de Moumni, vieille connaissance de Adnane, ce dernier et son épouse Dounia ont pu bénéficier du parrainage de Ali Lmrabet, qui voit en eux une nouvelle vague d'opposants marocains « new age », dont il s'attelle à encourager et à légitimer leur activisme contre le Maroc sur les réseaux sociaux, pour faire pression sur les autorités marocaines et nuire à l'image de marque du royaume sur le registre des droits de l'homme. Ali Lmrabet a même publié, le 9 novembre, sur le site qatari Middle East Eye, basé à Londres, un article « dithyrambique » sur Dounia filali, intitulé « la youtubeuse qui fait trembler le régime marocain », visant à en faire une supposée « icône médiatique » et à légitimer les démarches actuelles du couple Filali, pour obtenir l'asile politique en France. Les Filali et Moumni se trouvent désormais au cœur d'une nébuleuse antimonarchique, idéologiquement hétéroclite, qui est composée pêle-mêle des ex-détenus djihadistes Mohamed hajib (Allemagne) et Ali aarras (Belgique), l'agent au service de l'Algérie, Abdelali Achahbi (alias « crabman », établi au Danemark), l'agnostique Belekziz Tachfine (Italie), les activistes du « mrm » établis aux usa, Tarik Yassine et Richard Azouz, le mythomane marginal Farid Boukass (Espagne), le nihiliste Salahedine Belbekri, proche de Mohamed Hajib et promoteur de la chaîne Youtube « fos7a » (Belgique) et également l'égaré Aboubakr Jamai, enseignant en France, qui a déclaré plusieurs fois que Dounia Filali était «une journaliste intègre et persécutée». Rien que ça!! De par les liens d'amitié d'enfance unissant Adnane Filali a l'avocat Ali Réda Ziane, fils de l'ex-bâtonnier Mohamed ziane, interdit d'exercer par la justice, le couple Filali a apporté tout son soutien à ce dernier après les révélations montrant sa relation adultère avec l'ex-fonctionnaire de police Ouahiba Khourchech, en fuite aux Etats-Unis. Dans ce cadre, Dounia filali et Adnane filali ont réalisé sur leurs chaînes YouTube respectives plusieurs interviews de Mohamed Ziane, en lui permettant d'exprimer ses diatribes contre les institutions marocaines, tout en l'affublant de manière saugrenue, du titre de «Nelson Mandela marocain». Dans un échange de bons procédés, et après avoir été appelés à la rescousse par Moumni, les Filali se sont investis pour défendre le cas de ce dernier, en sollicitant l'expertise juridique de Mohamed Ziane et ce, pour soutenir ce faux champion du monde, dont la crédibilité a définitivement volé en éclat, à la suite des révélations fracassantes sur ses vaines tentatives de faire chanter l'Etat marocain, qui ont été diffusées en novembre et décembre 2021, par le site marocain «Al-3omk », à travers plusieurs vidéos. Au vu de ce qui précède, il appert que les pseudos opposants marocains, tels que Moumni, le couple filali et consorts sont en passe de breveter le modus operandi compatible à l'agenda des médias hostiles au Maroc, lesquels sont notoirement instrumentalisés et à des fins bien connues, par l'Etat profond français. En témoignent les prémices de la campagne médiatique lancée à partir du 2 janvier par le quotidien « Libération » autour de la demande d'asile politique du couple filali en France et relayée après 24h par la chaîne France 24 et par le reportage biaisé qui leur a été consacré sur la chaîne TV5 Monde. Il convient également de noter que l'article publié par la « journaliste » Margot Davier sur les colonnes du journal Libération, s'assimile dans la forme à un véritable « publi-rédactionnel » sur les Filali, au regard du portrait exclusivement positif qui en a été fait. Margot Davier avait contacté le ressortissant sénégalais Mountaga Diop, établi au Maroc et président fondateur de l'association interculturelle «Kirikou-Maroc», pour le questionner sur la plainte, déposée par cette association devant la justice marocaine, à la suite de propos racistes tenus par Dounia Filali sur les réseaux sociaux contre les ressortissants subsahariens. Finalement, cette «journaliste» qui travaille au journal Libération en vertu d'un contrat en alternance, a choisi de ne pas aborder ce sujet dans son article du fait qu'il risque très manifestement de susciter des remous au sein de l'opinion publique française et fragiliser la stature de Dounia comme victime du régime marocain, que certains milieux tendancieux français s'évertuent à forger en la personne du couple Filali. Sauf que cette volonté des milieux journalistiques français anti-marocains de magnifier le portrait médiatique des filali en s'évertuant à les présenter comme étant « des victimes de la pseudo répression du régime marocain », ne résiste pas à l'analyse, au vu de leurs nombreuses publications sur les réseaux sociaux, à caractère antisémite et xénophobe et faisant même l'apologie du Hezbollah, de l'armée iranienne et accusant le Mossad et la CIA d'être les créateurs de Daech, en allant jusqu'à diffuer un photomontage de la statue de la liberté brandissant un étendard de Daech, sans omettre les multiples photographies où le couple Filali fait une quenelle, en soutien à l'humoriste français antisémite Dieudonné et à l'essayiste négationniste Alain Soral. De même, Adnane filali n'a pas hésité, il y a tout juste un an, à critiquer sur sa chaîne YouTube, baptisée prétentieusement «Lord Adn», l'Etat profond français qu'il accuse d'être le responsable des actes terroristes perpétrés sur son sol, arguant que les politiciens de l'hexagone ont les moyens d'éradiquer ce fléau, mais s'abstiennent de le faire en préférant poursuivre leur collaboration avec des Etats du Moyen-Orient qui, selon lui, ont la mainmise sur la France et souhaitent y semer le désordre et le chaos pour mieux contrôler ce pays. Il sied de rappeler qu'Adnane filali n'est autre que le fils de Mohamed filali, ancien caricaturiste au journal l'Opinion, et beau-frère de feu Abdeljalil fenjiro, ancien directeur de l'agence MAP (1974-1999). C'est ce dernier qui a présenté Mohamed Filali au tout puissant ministre de l'intérieur marocain de l'époque, Driss Basri, lequel aspirait à détourner le lectorat marocain de la presse engagée de l'opposition et ce, en créant une presse de caniveau, selon les sources de barlamane.com. Basri a offert un soutien financier total à Mohamed Filali, lui permettant d'acquérir une imprimerie pour y publier une série de tabloïds (Al Ousboue Syassi Dahik, Akhbar Assouk, Kikh Kikh...), aujourd'hui disparus des kiosques. Plusieurs témoignages au sein du microcosme journalistique marocain accusent Mohamed filali d'avoir très souvent extorqué des fonds à des personnalités, en les menaçant de salir leur réputation sur ses journaux. Grâce au soutien financier paternel, Adnane Filali qui était en échec scolaire au lycée Descartes de Rabat et n'a aucun diplôme, a tenté avec beaucoup de mégalomanie, de se lancer dans l'entreprenariat, en essayant sans succès de développer un ensemble d'activités interlopes, dont une maison d'édition, un commerce de vente en ligne d'appareils téléphoniques contrefaits et d'autres gadgets sexuels importés de Chine, ainsi qu'une société de street marketing et d'événementiel, avant d'opter lui et sa femme pour l'immigration en Chine, après avoir laissé de lourdes ardoises au fisc auquel il ne faisait aucune déclaration, et escroqué plusieurs clients mécontents d'avoir acheté chez lui des téléphones défectueux. Adnane filali et son épouse ont tenté de redémarrer sans aucune réussite un commerce de vente en ligne d'appareils téléphoniques contrefaits à partir de la Chine, mais se sont finalement résignés à mettre en veille en fin 2020, leur société créée en l'objet à Hong-Kong et baptisée «Hkdn Limited Company», avant de se consacrer à l'animation de leurs chaînes YouTube, dont ils escomptaient tirer des gains grâce aux redevances versées par cette plate-forme numérique (Adsense) C'est dans ce sillage que le couple Filali a commencé à radicaliser sciemment son discours contre les institutions nationales, en prétendant être persécuté par les services marocains, en allant jusqu'à scénariser une tentative d'assassinat fictive et ce, en vue de justifier une demande de protection du HCR et de s'ouvrir la voie de la demande d'asile en France. C'est sur ce duo que le «Makhzen» français -l'Etat profond qui gouverne réellement la France- compte pour mener une campagne médiatique contre le royaume du Maroc. C'est dire que c'est perdu d'avance! Comme pour les nombreuses tentatives passées.