Selon des rapports médiatiques dignes de foi, la séparatiste Sultana Khaya possède à Alicante, une ville portuaire de la Costa Blanca, au sud-est de l'Espagne, une maison de luxe jusqu'alors non déclarée. La sulfureuse séparatiste Sultana Khaya s'est offert un appartement chic au quartier luxueux Calle Angelita Rodríguez Preciado à Alicante, une ville portuaire de la Costa Blanca, au sud-est de l'Espagne, un achat qui risque de lui coûter cher et entamer la crédibilité de son activisme douteux. Sultana Khaya s'être constitué frauduleusement un patrimoine luxueux à partir de son antagonisme envers le Maroc, alimenté par quelques ONG et par la junte algérienne. Les médias espagnols et marocains multiplient les révélations sur la corruption de séparatistes de premier plan au sein du Polisario. Brahim Ghali lui-même n'échappe pas aux soupçons sur ses déplacements ou son train de vie indécent. Ce scandale intervient alors que plusieurs caciques du pouvoir de Bouteflika sont jugés pour «blanchiment d'argent», «abus de fonction» et «infraction à la législation et à la règlementation des changes et des mouvements de capitaux de et vers l'étranger». L'emplacement de l'appartement luxueux de Sultana Khaya (en jaune), au Calle Angelita Rodríguez Preciado, à Alicante Le Maroc, début juillet, a vigoureusement condamné le rapport sur le Sahara d'une experte indépendante mandatée par l'ONU mais qui ne s'exprime pas par son nom. L'ambassadeur du Maroc auprès des Nations unies à Genève, Omar Zniber, a exprimé, dans une lettre, sa «grande surprise et stupéfaction» face à la communication de Mary Lawlor. Il l'a ainsi appelée, «au titre de l'impartialité», à publier les éléments transmis «démentant de façon catégorique les allégations» citées dans le communiqué. Etrangement, Mme Lawlor, a rappelé les cas des criminels Naâma Asfari et Khatri Dadda, détenus respectivement depuis 2010 et 2019 et qui purgent des peines de trente et vingt ans de prison, accusés d'avoir tué de sang-froid des citoyens marocains. M. Zniber a rappelé qu'une partie des personnes concernées par le rapport «ont été condamnées par la justice marocaine pour des crimes graves, y compris l'assassinat de représentants des forces de l'ordre». L'experte a aussi évoqué le cas de Sultana Khaya. D'après le texte, Sultana et Luara Khaya, membres de «l'Instance sahraouie contre l'occupation marocaine (Isacom)», une organisation factice inféodée à l'Algérie fondée en 2020.