Depuis la création d'Amnesty International (AI) une opacité, confidentialité et secrets entourent toutes les informations concernant cette Fondation/Société à responsabilité limitée qui utilise tous types de subterfuge abracadabresques pour ne pas se soumettre aux règles de bonne gouvernance, de bonne gestion, de transparence financière et de reddition des comptes dictées par le droit des sociétés des Etats où elle est représentée. Agora Vox s'interroge, dans un article assez édifiant publié le 13 octobre 2017, qui manipule cette organisation dont le Chiffre d'Affaires dépassait en 2015 la somme conséquente de plus de 278 000 000 euros. Selon la journaliste Christelle Néant, « on peut affirmer avec assurance qu'Amnesty International est un mercenaire international engagé par des organisations d'État et des entreprises pour défendre leurs intérêts économiques et politiques ». Les statuts de sociétés de Al sont confirmés par AI elle-même selon les données suivantes recueillies sur son site officiel : * « Amnesty International Charity est une société enregistrée en Angleterre et au pays de Galles, limitée par garantie (n° 02007475) et un organisme de bienfaisance enregistré (n ° 294230), dont le siège social est situé 1 Easton Street, Londres WC1X ODW. * Le travail effectué par le biais du Secrétariat international d'Amnesty International est organisé en deux entités juridiques, conformément à la législation du Royaume-Uni. Il s'agit d'Amnesty International Limited (« AIL ») et d'Amnesty International Charity Limited (« AICL »). * Amnesty International Limited est une société enregistrée en Angleterre et au pays de Galles, limitée par garantie (n ° 01606776), ayant son siège social à 1 Easton Street, Londres WCIX ODW. * Amnesty International Charity Limited est une société enregistrée en Angleterre et au Pays de Galles, limitée par garantie (no 02007475) et un organisme de l ° 294230), ayant son siège social à 1 Easton Street, Londres WCIX ODW. Toutefois, Al continue de se prévaloir se de sa qualité de fondation humanitaire sans se soucier de réviser ses statuts en se conformant aux droits des associations des pays où elle est implantée et dans le cadre d'accords définissant clairement la nature de ses missions, ses objectifs réels et de se soumettre à l'obligation d'échanger avec les gouvernements concernés avant la publication de tous rapports et non après leurs publications en privilégiant la procédure inquisitoire rejetée par toutes les instances internationales de justice et droits de l'Homme. Il est donc clairement établi que Al n'a pas la sincère volonté de faire son mea culpa pour savoir pourquoi dans les pays où elle intervient aucun problème n'est résolu de manière définitive et il semble que le soin de son image importe plus que la solution des problèmes qu'elle est sensée résoudre ce qui permet de faciliter énormément la collecte des fonds, en se souciant peu d'éventuels conflits d'intérêts et en jouant beaucoup plus sur l'émotionnel que sur l'opérationnel et sur ses réalisations parfois lourdes de conséquences telle que son initiative malheureuse au profit du terroriste Belge Oussama Atar que Al a fait libérer d'Irak et qui a pris part activement à la préparation en 2016 des attentats de Paris et de Bruxelles. Déjà en 2014, une étude de l'AEGE, une association d'étudiants et d'anciens étudiants de l'École de guerre économique, dirigée par Christian Harbulot, analyse la provenance des financements de l'ONG sous influence de lobbies d'une grande puissance occidentale. Elle questionne aussi sur sa partialité quant au choix des cibles de ses campagnes et de ses positions politiques. Il est donc clairement établit que le choix des causes que AI « défend » et des pays où elle intervient reste complètement aléatoire, despotique et injustifié, à titre d'exemple elle défend une personne en liberté dans un pays démocratique, qui n'encourt aucun risque ou une thématique sociopolitique et économique déjà résolue, alors qu'elle ferme les yeux, en devenant complices par son silence sous forme d'omerta, sur des emprisonnements et des tortures de masses, sur des froides exécutions par centaines, sur des déplacements forcés de population, sur des génocides, sur des milliers de personnes retenues contre leur gré en plein désert, sur des réseaux internationaux de traite des êtres humains, de violences faites aux femmes , aux enfants et aux minorités ethniques, religieuses ou de genre, sur les mafias d'immigration de masse d'un continent vers un autre, avec à chaque fois des drames innommables, ce qui ne semblent aucunement émouvoir Al, ou empêcher certains de ses dirigeants de dormir sur leurs deux oreilles ou de percevoir des salaires et indemnités de départ qui devraient leur faire honte. En témoigne le scandale retentissant des indemnités de départ versées à la septième secrétaire générale d'Amnesty International, Irene Zubaida Khan, qui ont été dénoncées dans un article du Canard enchaîné daté du 23 mars 2011. Cette dernière a touché 533 000 livres sterling, vous obligeant ainsi à tenter de justifier cette somme dans un communiqué par le versement d'une prime de départ (191 697 £), de ses trois derniers mois de salaires (168 731 £), d'arriérés de divers paiements (59 014 £), d'une augmentation rétroactive (58 933 £), d'indemnité de déménagement (34 728 £), et d'une prime non versée (20 000 £). Cette mauvaise gouvernance de « l'ONG », semblable à celle d'une république bananière se confirme également au regard de l'indemnité « généreuse » de licenciement en 2019 versée à cinq des sept membres de sa direction générale qui a suscité la colère, alors que sous prétexte d'une crise financière dans l'organisation Al a jeté à la rue près de cent autres de ses fidèles travailleurs sur décision de M. Kumi NAIDOO qui selon un article du Journal « The Guardian », publié le 27 Avril 2019, révèle que M. NAIDOO a relevé qu'il y avait un trou injustifié dans le budget de l'organisation pouvant aller jusqu'à 17 millions de livres sterling de fonds de donateurs. Cette mauvaise gouvernance de Al a également causé des drames au sein même de ses cadres, aussi il parait indispensable d'informer l'opinion publique internationale sur les véritables causes ayant entraînées les suicides de Feu Gaetan Mootoo âgé de 65 ans à Paris en mai 2018, et de la stagiaire Feue Rosalind McGregor, âgée de 28 ans, à Genève en juillet 2018. Il est également impératif que Al donne son avis sur les rapports internes établis par ses équipes au sujet de ces incidents dramatiques ayant été causés par des manœuvres d'intimidation sur le lieu de travail, de harcèlement, de sexisme et de racisme, causes formant une partie du socle de ses valeurs et principes et principalement la protection de la vie humaine. La démission surprise en 2019 de Monsieur KUMI NAIDOO fraichement coopté en 2018 interpelle sur les véritables raisons de cette mise à la porte déguisée malgré le style mielleux utilisé par vos fins rédacteurs ayant cogité sur le texte du communiqué concernant ce licenciement. La thèse de la maladie n'est pas convaincante surtout lorsque le monde entier s'étonne comment un soit disant « opposant farouche » de l'apartheid chassé du collège en Afrique du Sud à 15 ans, déscolarisé, trouve refuge à bras ouverts au Royaume Uni et bénéficie d'un cursus universitaire doré , boursier Rhodes à l'université d'Oxford couronné par un doctorat en sociologie politique et un diplôme d'avocat dans la foulée ? Il est clair que ce serait plutôt son audit des comptes d'Al et/ou les résultats de l'étude commanditée et publiée par AI en Janvier 2019 sous le titre de : « Etude sur le bien-être du personnel » réalisée par THE KONTERRA GROUP, bureau d'étude peu référencer, à la suite des suicides dramatiques et inexpliqués de deux de ses membres qui aurait précipité son départ, et comme il est d'usage à Al il serait intéressant de faire connaître le montant des indemnités de départ versées à Monsieur Kumi NAIDOO. Toujours dans l'énumération non limitative des innombrables scandales de AI, le plus étonnant concerne le licenciement en 2010 de Mme Gita Sahgal, parce qu'elle a osé qualifier de grosse erreur votre décision de soutenir le terroriste taliban Moazzam Begg et partant d'offrir une plateforme de choix au régime taliban. Al est sommé de s'expliquer sur cette affaire scabreuse rapporté par le très sérieux journal The Guardian dans son édition du 25 Avril 2010. La volonté, empreinte de beaucoup d'amateurisme, qui a poussé Al à se réorganiser et à réorienter ses activités « humanitaro-déstabilisatrices » a été imposée et dictée par ses commanditaires invisibles pour essayer de faire oublier ses scandales et ratages tels que : • Ses liens inexpliqués avec un géant des hydrocarbures confirmée par Jane Birkin à Londres selon le site Bakchich. • Ses manœuvres misérabilistes puis intimidantes pour collecter des fonds auprès de Facebook et Google et que Al a surnommé par dépit: Les géants de la surveillance, parce qu'ils ont refusé de passer à la caisse...ceci rappelle la méthode mafieuse du racket. • Sa « lutte » inexpliquée et inexplicable pour la dépénalisation de la prostitution transformant les femmes qu'elle est sensée défendre en objets sexuels. • Sa prise de position choquante sur l'avortement et son irrespect à l'égard du Vatican ce qui a poussé le cardinal Renato Martino, président du Conseil pontifical Justice et Paix à demander à tous les catholiques et à toutes les institutions catholiques de ne plus accorder de soutien financier à Al. • Son antisémitisme assumé reste inexpliqué et ses accusations d'être espionnée par Israël restent infondées et consacrent la culture de l'intimidation prélude à la l'exigence de donations de la part des grandes entreprises ciblées par ces pratiques mafieuses.