Esprit candide
Submergé de convoitises
Absorbé par ce songe béat
Captivé d'extase et d'appât
Et cette passion qui s'étoffe ;
Consternée d'espérance.
De chimères elle se nourrit,
Et seule sa réclusion elle ravit.
Ce cœur, à se (...)
Âme affligée
Cœur en sanglots
Vanité réprimandée
Vivacité étiolée
Tyrannisée par la rancœur
De cette passion morose
Et son exaltation évincée
J'ai pour complice ma réclusion
Et comme supplice ma compassion
Et cette apathie (...)
En souvenir de ce mémorable jour et de son euphorie mélancolique,
Le même acharnement me persécute,
La même nostalgie m'afflige
Cette hantise consternante
De ne jamais plonger dans cette félicité chavirante,
Si amèrement (...)
Le jour où cette âme gracieuse m'a hantée,
Depuis que ce seuil elle avait pénétrée
Mon désespérance elle a pu dérouter,
De mon intuition elle s'était emparée,
Et toute mon existence elle a envoûté.
Cette impression qui m'a tant fait (...)
Depuis peu, les médias nationaux louent les mérites du Maroc quant au développement et à la démocratie, dus notamment aux réformes juridiques du statut de la femme. La propagande est alors sans répit !
Même si réformes il y a, l'avancée (...)
Le sport est une sphère tellement révélatrice de l'opportunisme ''idéologique" des Marocains et de leur chauvinisme, parfois, très mal placé. Le football en particulier, en est une bonne et significative illustration.
Grâce à ce sport on s'est (...)
Dans mes pensées je me suis égarée ;
C'est un monde que je me suis créé
Un rêve que j'avais adoré
Une chimère que j'avais vénérée
Un enchantement que j'avais tant espéré.
Où toute maussaderie est éthérée,
Où les émotions font (...)
Au début des années quatre-vingt-dix, alors que la première chaîne marocaine commençait à diffuser les telenovelas sud-américaines, nous assistâmes à un funeste bouleversement des émotions de toute une population. Ce fut la découverte du nouveau (...)
Depuis l'ère où quelques villes du Maroc avaient le ''privilège'' de capter la première chaîne de télévision égyptienne, ce fut une fierté pour ces citoyens d'avoir le monopole de la culture de ce pays dans leurs propres foyers. Mais c'étaient (...)