A fin 2024, Allianz Maroc a enregistré une croissance globale de 26%, soit «plus de 5 fois supérieure à la moyenne du marché», sur les 5 dernières années. Au titre de l'exercice écoulé, la compagnie d'assurance s'apprête ainsi à servir «des taux de revalorisation nets parmi les plus élevés du marché aux assurés bénéficiant de solutions de retraite ou de capitalisation, allant jusqu'à 3,60% net». A l'issue de la deuxième édition de son Séminaire partenaires, tenu du 31 janvier au 1er février à Marrakech, l'établissement a par ailleurs annoncé avoir obtenu la certification NM ISO 9001 – 2015 pour sa direction des sinistres auto-matériels. Sous le thème «Nouveaux enjeux économiques à l'ère de la multipolarité : Opportunités et défis pour le Maroc», le séminaire après lequel ces chiffres ont été dévoilés a eu pour objectif d'«échanger sur les transformations en cours, les dynamiques émergentes et les perspectives prometteuses pour le Maroc, ainsi que d'identifier des leviers que le secteur de l'assurance peut activer pour accompagner efficacement le développement économique et social» du pays, fait savoir la compagnie. Administrateur et directeur général d'Allianz Maroc, Abderrahim Dbich affirme que cette rencontre se tient «à un moment crucial où notre pays se trouve à un carrefour historique, prêt à saisir des opportunités inédites». «Nous avons le devoir de nous mobiliser pleinement pour accompagner cette dynamique et contribuer à bâtir un Maroc plus résilient, inclusif et résolument tourné vers l'avenir», a-t-il souligné. Ce séminaire a été marqué par la participation de personnalités du monde politique du Maroc et d'ailleurs. Sont intervenus notamment Mankeur Ndiaye, ancien ministre sénégalais des Affaires étrangères, Dominique de Villepin, ancien Premier ministre et ancien chef de la diplomatie française, ou encore Nouzha Skalli, présidente du think-tank Awal Houriates, ancienne ministre du Développement social, de la famille et de la solidarité En marge de cette rencontre, la compagnie a tenu l'exposition «L'arbre qui cache la forêt» du peintre tangérois Ilias Selfati. Selon Abderrahim Dbich, il s'agit d'une extension artistique du thème du séminaire, symbolisant à la fois «les mutations économiques mondiales visibles» et «l'écosystème complexe qu'il nous faut explorer en profondeur pour comprendre pleinement les dynamiques globales».