La police judiciaire de Marrakech a récemment réussi à démanteler un réseau médical clandestin opérant dans le quartier de Guéliz. Ce réseau, composé de trois Turcs et de deux Français, dont une personne d'origine algérienne, pratiquait des interventions de chirurgie esthétique sans autorisation. Les informations fournies par la Direction Générale de la Surveillance du Territoire (DGST) ont permis aux autorités de perquisitionner les lieux et d'arrêter les suspects, en saisissant des preuves essentielles à l'enquête. Les investigations continuent afin d'identifier d'éventuelles connexions internationales et d'autres infractions commises par ce groupe. Les enquêtes menées par la police judiciaire visent à révéler les activités non autorisées des accusés au Maroc et à identifier les complices de ce réseau intercontinental. Installé à Marrakech, ville touristique prisée, le réseau attirait des voyageurs du monde entier. Grâce à des renseignements précis de la DGST, le réseau a été démantelé. Les activités médicales incluaient la chirurgie esthétique, la perte de poids, la greffe de cheveux, entre autres. L'appartement utilisé par le réseau était équipé de matériel médical varié, nécessaire à la réalisation de ces opérations. Lire aussi : Santé : le prix de 29 médicaments revu à la baisse La perquisition de la police judiciaire a abouti à l'arrestation des cinq suspects et à la saisie de données importantes pour l'enquête, comme des documents attestant des interventions chirurgicales illégales et l'identité des patients. À ce jour, la nature exacte des activités illicites et les liens potentiels avec d'autres crimes restent inconnus. Des enquêtes sont en cours pour clarifier les motifs de l'installation de ce réseau au Maroc, ses connexions avec des organisations criminelles internationales et d'autres infractions cachées. Par ailleurs, à Tanger, des révélations choquantes ont été faites lors d'une enquête sur un trafic de stupéfiants. Après six ans de mensonges, une famille a été accusée d'être impliquée dans l'assassinat de son patriarche. Le corps de la victime, torturé et tué par son fils aîné avec la complicité de sa mère, a été transporté dans leur appartement de Tanja Balia et dissimulé dans le ciment. L'épicier, apprécié de ses voisins, avait disparu soudainement, laissant derrière lui une famille en deuil aux motivations troubles. Les enquêteurs de la sûreté nationale, agissant sur un soupçon, ont découvert le corps encastré, révélant ainsi la vérité sur cette affaire.